[test]Overblood
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[test]Overblood
Editeur : Electronic Arts
Développeur : Riverhill Soft
Support : Playstation
Année : 1997
Riverhill soft se fait remarquer en 1995 en publiant sur 3DO un survival-horror, fortement inspiré de Alone In The Dark. Un grand manoir rempli de pièges mortels, surnaturels ou mécaniques ; seuls les monstres sont absents.
Grande particularité du titre (sorti uniquement au Japon) : en lieu et place des décors en 3D a plans fixes, le jeu est en 3D réelle, et propose 3 caméras différentes.
Le second jeu de RiverHill Soft sort en 1997, c'est encore un survival-horror, il s'agit bien entendu d'OverBlood. On reprend la même recette que le précédent : prendre les bons éléments d'un jeu (ici, Resident Evil), rajouter la sauce RiverHill Soft sous la forme d'un jeu 3D futuriste, et voilà.
Vous vous réveillez dans une salle d'hibernation, vous vous levez et tremblez de froid. Il vous faut rapidement trouver comment sortir de la salle à -10°c avant de mourir de froid. Bien entendu, vous ne vous rappelez de rien...
Le scénario est au départ tout à fait classique, presque ennuyeux (surtout après plus de 15 ans de survival-horror et 100 ans de cinéma). Raz Karcy, le personnage principal, est le cobaye d'une expérience des laboratoires Lystra, qui travaillent sur le clonage humain et la recherche bactériologique.
En déambulant dans les couloirs désert et fracassés du laboratoire souterrain, on découvre des monstres...disons-le, des zombies, et Raz découvre qu'il est lui aussi infecté. Dès lors la course à la guérison commence.
S'accroupir pour trouver des objets et interagir : indispensable dès les premières secondes du jeu
Le jeu commence donc par une séquence rapidité. On remarque tout de suite l'environnement en 3D, comme promis. Le jeu nous offre 3 caméras : une caméra « semi-fixe » type Resident Evil, mais qui peut pivoter, nous suivre, bref un peu plus dynamique. La seconde est la caméra classique des jeux en 3D de cette époque, la caméra suiveuse. Et la troisième est une caméra à la 1e personne.
Ce triple choix est non seulement agréable mais aussi nécessaire, car les lieux offrent des pièces variées (dans la forme) ou certaines caméras seront plus pratique que d'autre. Et surtout, la caméra suiveuse possède le défaut des caméras de l'époque, en ce sens qu'elle a tendance a sauter partout dès que vous êtes près d'un mur ou dans une pièce trop petite.
La vue "FPS" permet d'apprécier les détails de la modélisation et aussi de résoudre certaines énigmes.
La modélisation pour un jeu de 1997 est plus que correcte. Même si on reste sur une Playstation, la 3D est soignée, et surtout contrairement à beaucoup d'autres jeux de la PS (même des jeux bien plus récents) on n'y croise que peu le phénomène des « polygones détachés » et de déformation des textures qui parsèment d'autres jeux PS pourtant plus célèbres.
Un gros effort a aussi été fait au niveau des textures. Certes on n'est pas au niveau de finesse des images de Resident Evil 2, mais RE2 n'est pas en vraie 3D.
Les textures sont assez détaillées et pas trop pixelisées, sauf sur certains sols, et surtout les murs offrent des textures variées, on est pas sur une texture unique collé sur toutes les surfaces.
Les personnages eux-mêmes ont dans le jeu des textures relativement détaillées pour les visages, on est loin des bouillies de pixel de Resident Evil ou même de Silent Hill (sorti 2 ans plus tard!).
Bonjour, je suis le Doc. Bienvenue sur Gamopat.
La mode des premiers jeux CD se fait encore sentir, le jeu est truffé de cinématiques. Détail plaisant, les cinématiques précalculées utilisent une modélisation un peu supérieure à la Playstation, et des textures légèrement améliorées ; le raccord avec le jeu se fait assez aisément. Détail qui agacera les barbus Gamopat : il est strictement impossible de passer ces cinématiques !
Les décors sont un peu vides et tendent à se répéter selon les zones, mais bon, on est en 1997 sur Playstation, ce n'est pas anormal de trouver un peu de répétition et des décors vides.
Pour comparer, on est à peu près au même niveau graphique que Tomb Raider II sorti la même année... Avec la différence que dans OverBlood, on n'a pas droit aux maisons grande comme des gares et des meubles qui donnent l'impression de faire 1,15mètres de haut !
Les animations des personnages sont un peu raides, mais encore une fois, dans la moyenne des jeux de l'époque.
La danse des canards
Pour se déplacer, rien de plus classique, on a droit à du déplacement 3D : on avance avec la touche Haut et on tourne à droite avec Droite, etc... ceci quel que soit la caméra, ce qui évite les maux de tête.
Les commandes sont un peu bizarres : Rond sert à courir mais aussi à pousser ; dans les endroits exigus, on se trouvera parfois en train de pousser un mur ou le vide au lieu de courir.
Carré sert à sauter.
Triangle sert à s'accroupir. Cette fonction sera indispensable dans le jeu, en effet, certains objets posés au sol, dans des tiroirs, etc... ne peuvent être trouvés et pris qu'en se baissant !
Heureusement la plupart du temps, un bruit venant du mur, un tiroir grand ouvert ou une valise ouverte vous avertissent de la présence d'un objet (pas d'objet scintillant à la Resident Evil).
R1 sert à changer de personnage : car dans le jeu, vous travaillerez la plupart du temps en équipe, avec un robot puis une femme. Vous pouvez incarner les deux à volonté, mais bien entendu certains passages vous demanderont de diriger Raz spécifiquement. Ou au contraire, votre allié, selon ses capacités.
Cette perspective pourrait être pénible, mais votre inventaire est partagé (et infini, au passage), en cas de combat, le personnage secondaire est mis de côté, il ne se fait pas attaquer, et même si le personnage se coince dans tous les angles, il suffit de passer une porte pour qu'il vous accompagne. Donc ces personnages ne sont pas les boulets insupportables de Resident Evil Zero ou Silent Hill 2.
Et en plus, elle est jolie.
Les combats sont les moments les plus pénibles, de par l'absence de visée automatique, de la lenteur du personnage... comme dans le premier Resident Evil.
Il est d'ailleurs impossible de fuir un combat, car une fois le monstre apparu, le bouton Croix sert à frapper ou tirer et rien d'autre, donc impossible de fuir par une porte.
Heureusement, les combats sont rares, OverBlood, malgré son titre, est avant tout un jeu d'exploration.
Un jardin souterrain... Ils sont fous ces scientifiques.
Le jeu se permet de petites moqueries face à Resident Evil et à d'autres jeux ou l'on trouve des munitions de partout. Quand Raz trouve une « bombe cicatrisante » dans une cafétéria, il commente « mais qu'est-ce que ça fait ici ? ». Même chose avec un chargeur trouvé près (ou dans?) un incinérateur « je me demande qui a mis ça là ? ». Moqueries d'autant plus justifiées que OverBlood privilégie le combat à mains nues : il doit y avoir a peine 6 chargeurs dans tout le jeu, sachant que deux chargeurs entiers ne sont pas suffisant pour abattre un monstre... Quand à la santé, une fois le combat terminé, elle disparaît. Autrement dit, les objets de santé ne servent que pendant les combats.
Pour sauvegarder, vous trouvez un dictaphone au début du jeu. Contrairement a d'autres survival-horror, ici on peut se faire plaisir et sauvegarder à la volée, à volonté ! Sauvegarder souvent est d'ailleurs une bonne idée, car certaines séquences de jeux sont mortelles... littéralement.
La musique qui accompagne le jeu est adaptée au style, bien que les morceaux soient peu variés et semblent pour la plupart êtres constitués de boucles de 10 à 15 secondes sur laquelle s'ajoute de temps en temps une seconde boucle, ce qui varie le morceau sans trop forcer. Les sons par contre sont tout à fait ordinaires. On les apprécie dans le jeu, mais on aura vite fait de les oublier.
Un compagnon mécanique attachant.
OverBlood est un petit survival-horror bien sympathique, bien que plus axé exploration que combat/survival-horror. On pourra regretter la durée de vie, 6 heures environ pour une première partie, l'histoire qui se dévoile un peu trop vite, le peu d'intérêt d'y rejouer une fois fini. Mais pour le fan de survival-horror, une pièce à ajouter à sa collection, d'autant plus que le jeu est peu recherché et possède un petit charme daté.
Anecdote : Overblood 2, sorti quelques années plus tard, n'a quasi rien à voir avec le premier jeu si ce n'est le côté science-fiction. Le jeu prend un style plus complexe, plus RPG mais toujours très exploration. Celui qui le cherche se tournera du côté de l'Angleterre, l'Italie et l'Allemagne, car la version PAL semble n'être sortie que dans ces pays? (Ou bien la version JAP car il n'existe pas de version US).
Scénario/contenu : L'histoire est classique mais bien amenée. Dommage que contrairement à d'autres survival-horror, il y ait peu de documents à trouver. Encore pire si on considère que le jeu se veut "exploration".
Graphismes : Pour de la PS1 de cette époque, on est dans le haut du panier, clairement. Quelques textures trop étirées, mais très peu de bugs graphiques et un bon texturage.
Sons : La musique colle bien à l'ambiance, même si il y a assez peu de musiques différentes. Les sons sont ordinaires. Le jeu est doublé en Français, et c'est assez médiocre, même si on sent que les doubleurs ont voulu bien faire.
Jouabilité : La double commande courir/pousser et le manque de visée automatique vont faire grincer des dents. Autrement c'est tout à fait correct, même mieux qu'un Resident Evil.
Durée de vie : Si on aime ce genre, on peut quasiment le faire d'une traite. Les sauvegardes à volonté permettent de ne pas rager de devoir refaire 30 minutes de jeu à cause d'une mort subite. Il n'y aura quasiment pas d'intérêt à le refaire, mais on peut dire la même chose de pas mal de jeux de cette époque.
Note finale :
Follow me... ah non c'est pas le même jeu.
Développeur : Riverhill Soft
Support : Playstation
Année : 1997
Riverhill soft se fait remarquer en 1995 en publiant sur 3DO un survival-horror, fortement inspiré de Alone In The Dark. Un grand manoir rempli de pièges mortels, surnaturels ou mécaniques ; seuls les monstres sont absents.
Grande particularité du titre (sorti uniquement au Japon) : en lieu et place des décors en 3D a plans fixes, le jeu est en 3D réelle, et propose 3 caméras différentes.
Le second jeu de RiverHill Soft sort en 1997, c'est encore un survival-horror, il s'agit bien entendu d'OverBlood. On reprend la même recette que le précédent : prendre les bons éléments d'un jeu (ici, Resident Evil), rajouter la sauce RiverHill Soft sous la forme d'un jeu 3D futuriste, et voilà.
Vous vous réveillez dans une salle d'hibernation, vous vous levez et tremblez de froid. Il vous faut rapidement trouver comment sortir de la salle à -10°c avant de mourir de froid. Bien entendu, vous ne vous rappelez de rien...
Le scénario est au départ tout à fait classique, presque ennuyeux (surtout après plus de 15 ans de survival-horror et 100 ans de cinéma). Raz Karcy, le personnage principal, est le cobaye d'une expérience des laboratoires Lystra, qui travaillent sur le clonage humain et la recherche bactériologique.
En déambulant dans les couloirs désert et fracassés du laboratoire souterrain, on découvre des monstres...disons-le, des zombies, et Raz découvre qu'il est lui aussi infecté. Dès lors la course à la guérison commence.
S'accroupir pour trouver des objets et interagir : indispensable dès les premières secondes du jeu
Le jeu commence donc par une séquence rapidité. On remarque tout de suite l'environnement en 3D, comme promis. Le jeu nous offre 3 caméras : une caméra « semi-fixe » type Resident Evil, mais qui peut pivoter, nous suivre, bref un peu plus dynamique. La seconde est la caméra classique des jeux en 3D de cette époque, la caméra suiveuse. Et la troisième est une caméra à la 1e personne.
Ce triple choix est non seulement agréable mais aussi nécessaire, car les lieux offrent des pièces variées (dans la forme) ou certaines caméras seront plus pratique que d'autre. Et surtout, la caméra suiveuse possède le défaut des caméras de l'époque, en ce sens qu'elle a tendance a sauter partout dès que vous êtes près d'un mur ou dans une pièce trop petite.
La vue "FPS" permet d'apprécier les détails de la modélisation et aussi de résoudre certaines énigmes.
La modélisation pour un jeu de 1997 est plus que correcte. Même si on reste sur une Playstation, la 3D est soignée, et surtout contrairement à beaucoup d'autres jeux de la PS (même des jeux bien plus récents) on n'y croise que peu le phénomène des « polygones détachés » et de déformation des textures qui parsèment d'autres jeux PS pourtant plus célèbres.
Un gros effort a aussi été fait au niveau des textures. Certes on n'est pas au niveau de finesse des images de Resident Evil 2, mais RE2 n'est pas en vraie 3D.
Les textures sont assez détaillées et pas trop pixelisées, sauf sur certains sols, et surtout les murs offrent des textures variées, on est pas sur une texture unique collé sur toutes les surfaces.
Les personnages eux-mêmes ont dans le jeu des textures relativement détaillées pour les visages, on est loin des bouillies de pixel de Resident Evil ou même de Silent Hill (sorti 2 ans plus tard!).
Bonjour, je suis le Doc. Bienvenue sur Gamopat.
La mode des premiers jeux CD se fait encore sentir, le jeu est truffé de cinématiques. Détail plaisant, les cinématiques précalculées utilisent une modélisation un peu supérieure à la Playstation, et des textures légèrement améliorées ; le raccord avec le jeu se fait assez aisément. Détail qui agacera les barbus Gamopat : il est strictement impossible de passer ces cinématiques !
Les décors sont un peu vides et tendent à se répéter selon les zones, mais bon, on est en 1997 sur Playstation, ce n'est pas anormal de trouver un peu de répétition et des décors vides.
Pour comparer, on est à peu près au même niveau graphique que Tomb Raider II sorti la même année... Avec la différence que dans OverBlood, on n'a pas droit aux maisons grande comme des gares et des meubles qui donnent l'impression de faire 1,15mètres de haut !
Les animations des personnages sont un peu raides, mais encore une fois, dans la moyenne des jeux de l'époque.
La danse des canards
Pour se déplacer, rien de plus classique, on a droit à du déplacement 3D : on avance avec la touche Haut et on tourne à droite avec Droite, etc... ceci quel que soit la caméra, ce qui évite les maux de tête.
Les commandes sont un peu bizarres : Rond sert à courir mais aussi à pousser ; dans les endroits exigus, on se trouvera parfois en train de pousser un mur ou le vide au lieu de courir.
Carré sert à sauter.
Triangle sert à s'accroupir. Cette fonction sera indispensable dans le jeu, en effet, certains objets posés au sol, dans des tiroirs, etc... ne peuvent être trouvés et pris qu'en se baissant !
Heureusement la plupart du temps, un bruit venant du mur, un tiroir grand ouvert ou une valise ouverte vous avertissent de la présence d'un objet (pas d'objet scintillant à la Resident Evil).
R1 sert à changer de personnage : car dans le jeu, vous travaillerez la plupart du temps en équipe, avec un robot puis une femme. Vous pouvez incarner les deux à volonté, mais bien entendu certains passages vous demanderont de diriger Raz spécifiquement. Ou au contraire, votre allié, selon ses capacités.
Cette perspective pourrait être pénible, mais votre inventaire est partagé (et infini, au passage), en cas de combat, le personnage secondaire est mis de côté, il ne se fait pas attaquer, et même si le personnage se coince dans tous les angles, il suffit de passer une porte pour qu'il vous accompagne. Donc ces personnages ne sont pas les boulets insupportables de Resident Evil Zero ou Silent Hill 2.
Et en plus, elle est jolie.
Les combats sont les moments les plus pénibles, de par l'absence de visée automatique, de la lenteur du personnage... comme dans le premier Resident Evil.
Il est d'ailleurs impossible de fuir un combat, car une fois le monstre apparu, le bouton Croix sert à frapper ou tirer et rien d'autre, donc impossible de fuir par une porte.
Heureusement, les combats sont rares, OverBlood, malgré son titre, est avant tout un jeu d'exploration.
Un jardin souterrain... Ils sont fous ces scientifiques.
Le jeu se permet de petites moqueries face à Resident Evil et à d'autres jeux ou l'on trouve des munitions de partout. Quand Raz trouve une « bombe cicatrisante » dans une cafétéria, il commente « mais qu'est-ce que ça fait ici ? ». Même chose avec un chargeur trouvé près (ou dans?) un incinérateur « je me demande qui a mis ça là ? ». Moqueries d'autant plus justifiées que OverBlood privilégie le combat à mains nues : il doit y avoir a peine 6 chargeurs dans tout le jeu, sachant que deux chargeurs entiers ne sont pas suffisant pour abattre un monstre... Quand à la santé, une fois le combat terminé, elle disparaît. Autrement dit, les objets de santé ne servent que pendant les combats.
Pour sauvegarder, vous trouvez un dictaphone au début du jeu. Contrairement a d'autres survival-horror, ici on peut se faire plaisir et sauvegarder à la volée, à volonté ! Sauvegarder souvent est d'ailleurs une bonne idée, car certaines séquences de jeux sont mortelles... littéralement.
La musique qui accompagne le jeu est adaptée au style, bien que les morceaux soient peu variés et semblent pour la plupart êtres constitués de boucles de 10 à 15 secondes sur laquelle s'ajoute de temps en temps une seconde boucle, ce qui varie le morceau sans trop forcer. Les sons par contre sont tout à fait ordinaires. On les apprécie dans le jeu, mais on aura vite fait de les oublier.
Un compagnon mécanique attachant.
OverBlood est un petit survival-horror bien sympathique, bien que plus axé exploration que combat/survival-horror. On pourra regretter la durée de vie, 6 heures environ pour une première partie, l'histoire qui se dévoile un peu trop vite, le peu d'intérêt d'y rejouer une fois fini. Mais pour le fan de survival-horror, une pièce à ajouter à sa collection, d'autant plus que le jeu est peu recherché et possède un petit charme daté.
Anecdote : Overblood 2, sorti quelques années plus tard, n'a quasi rien à voir avec le premier jeu si ce n'est le côté science-fiction. Le jeu prend un style plus complexe, plus RPG mais toujours très exploration. Celui qui le cherche se tournera du côté de l'Angleterre, l'Italie et l'Allemagne, car la version PAL semble n'être sortie que dans ces pays? (Ou bien la version JAP car il n'existe pas de version US).
Scénario/contenu : L'histoire est classique mais bien amenée. Dommage que contrairement à d'autres survival-horror, il y ait peu de documents à trouver. Encore pire si on considère que le jeu se veut "exploration".
Graphismes : Pour de la PS1 de cette époque, on est dans le haut du panier, clairement. Quelques textures trop étirées, mais très peu de bugs graphiques et un bon texturage.
Sons : La musique colle bien à l'ambiance, même si il y a assez peu de musiques différentes. Les sons sont ordinaires. Le jeu est doublé en Français, et c'est assez médiocre, même si on sent que les doubleurs ont voulu bien faire.
Jouabilité : La double commande courir/pousser et le manque de visée automatique vont faire grincer des dents. Autrement c'est tout à fait correct, même mieux qu'un Resident Evil.
Durée de vie : Si on aime ce genre, on peut quasiment le faire d'une traite. Les sauvegardes à volonté permettent de ne pas rager de devoir refaire 30 minutes de jeu à cause d'une mort subite. Il n'y aura quasiment pas d'intérêt à le refaire, mais on peut dire la même chose de pas mal de jeux de cette époque.
Note finale :
Follow me... ah non c'est pas le même jeu.
Lesarthois- Infirmier
- Nombre de messages : 3211
Age : 35
Localisation : Au grenier
Date d'inscription : 21/11/2011
Re: [test]Overblood
Merci pour ce test.
Tu continues dans l'exploration des Survival Horror, je vois, du coup: vas-tu nous faire un test de Cursed Mountain sur Wii?
Je crois me souvenir que tu y joues en ce moment.
Tu continues dans l'exploration des Survival Horror, je vois, du coup: vas-tu nous faire un test de Cursed Mountain sur Wii?
Je crois me souvenir que tu y joues en ce moment.
Invité- Invité
Re: [test]Overblood
J'y jouais, et j'ai reçu Calling sur Wii donc j'ai arrêté, parce que Cursed Mountain j'ai pas trop trop accroché Je m'y remettrais quand je serais plus d'humeur.
Lesarthois- Infirmier
- Nombre de messages : 3211
Age : 35
Localisation : Au grenier
Date d'inscription : 21/11/2011
Re: [test]Overblood
Faut que je reçoive pas "Fragile Dreams : Farewell Ruins of the Moon" avant alors sinon je vais me jeter dessus.
De toutes façons, je ne publie un test de jeu qu'après l'avoir fini deux fois : une fois je teste le jeu, s'il me plait, je commence à rédiger, je jette des idées sur le papier (numérique), la seconde fois, je prend les photos, je décortique le jeu (prendre une photo, ça oblige à choisir, donc à observer, donc à "voir" le jeu d'une autre manière) et j'ajoute des éléments...
Une fois fini, je remet dans l'ordre, je met en forme, et voilà.
Honnêtement si un jeu m'a ennuyé ou frustré au point de ne pas pouvoir ou vouloir le refaire, c'est pas la peine, soit c'est pas pour moi (Resident Evil 4) soit c'est trop pourri (Silent Hill origins)
Mais Calling, je vais faire le test, c'est sûr.
C'est pas un jeu exceptionnel, mais c'est sympa, pas trop prise de tête, une bonne petite ambiance... Mine de rien, on se met facilement dedans, et l'effet "bouh un fantôme" sur lequel repose le jeu fonctionne assez bien, du coup. Après faut aimer le survival-horror sur Wii, et savoir se mettre dans le jeu.
De toutes façons, je ne publie un test de jeu qu'après l'avoir fini deux fois : une fois je teste le jeu, s'il me plait, je commence à rédiger, je jette des idées sur le papier (numérique), la seconde fois, je prend les photos, je décortique le jeu (prendre une photo, ça oblige à choisir, donc à observer, donc à "voir" le jeu d'une autre manière) et j'ajoute des éléments...
Une fois fini, je remet dans l'ordre, je met en forme, et voilà.
Honnêtement si un jeu m'a ennuyé ou frustré au point de ne pas pouvoir ou vouloir le refaire, c'est pas la peine, soit c'est pas pour moi (Resident Evil 4) soit c'est trop pourri (Silent Hill origins)
Mais Calling, je vais faire le test, c'est sûr.
C'est pas un jeu exceptionnel, mais c'est sympa, pas trop prise de tête, une bonne petite ambiance... Mine de rien, on se met facilement dedans, et l'effet "bouh un fantôme" sur lequel repose le jeu fonctionne assez bien, du coup. Après faut aimer le survival-horror sur Wii, et savoir se mettre dans le jeu.
Lesarthois- Infirmier
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Date d'inscription : 21/11/2011
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