SNES - Parlons jeu
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Re: SNES - Parlons jeu
Aah ok, donc meme pour un meme titre, on peut avoir des matériaux différents pour le carton sur les boites SFC, ça marche, merci Pops.
C'est la 1re fois que je le vois, d'où mes questions.
Minuit chez moi, bonne nuit
C'est la 1re fois que je le vois, d'où mes questions.
Minuit chez moi, bonne nuit
Luke- Guéri miraculeux
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Date d'inscription : 10/01/2021
Re: SNES - Parlons jeu
Titre : Fire emblem : Thracia 776 (Jap' only)
Genre : Tactical RPG
Nombre de joueurs : 1
Sortie : 1999 (Jap' only)
Développeur : Intelligent Systems
Éditeur : Nintendo
Autres plateformes : -
En parallèle de FFX je tente Fire emblem : Thracia. En gros, le matin je joue à Fire emblem, et le reste de la journée à FFX.
J'ai bien avancé, mais il est chaud couillant cet opus. Je viens tout juste de passer le chapitre 7. Au début ça passe mais au bout du 4ème ou du 5ème chapitre, ça commence à faire mal. Alors je fais en sorte de faire au mieux, sans perte, en farmant un max. Je sais qu'à la fin c'est toujours compliqué cette licence, donc j'essaie d'assurer mes arrières ^^ On verra ce que ça donne...
Je ne me rappelle plus les détails de chaque épisode donc il m'est difficile de comparer, pointer les nouveautés etc. Mais il me semble que la fatigue n'était pas présent dans les opus précédents. De même pour le sauvetage allié ou la capture des monstres pour les dépouiller. Franchement c'est top tout ça. J'aime beaucoup ce système de capture.
Bref, je me régale. D'un côté j'ai un RPG qui se fait tout seul (FF X), sans galérer. Et de l'autre j'ai le cerveau qui fume ^^
wiiwii007- Docteur *
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Age : 43
Localisation : Cordelle
Date d'inscription : 17/05/2013
Re: SNES - Parlons jeu
Pour Fire Emblem Thracia tu y joue sur Emulateur?
CentTroisCailloux- Patient contaminé
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Age : 38
Localisation : Poitiers
Date d'inscription : 02/10/2022
Re: SNES - Parlons jeu
Non sur Everdrive. Je sais pas trop si on peut parler d'émulateur ou pas.
wiiwii007- Docteur *
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Localisation : Cordelle
Date d'inscription : 17/05/2013
Re: SNES - Parlons jeu
ah c'est qu'il était seulement en langue Japonaise celui là , mais pour le coup c'est pratique cette everdrive
CentTroisCailloux- Patient contaminé
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Localisation : Poitiers
Date d'inscription : 02/10/2022
Re: SNES - Parlons jeu
J'ai bien entamé Marvelous : Mô Hitotsu no Takarajima (qu'on pourrait traduire par " Marvelous : une autre île au trésor " ) :
Le nom du jeu ne va sûrement pas parler à grand monde, vu qu'il n'est jamais sorti du Japon (par contre, je crois qu'il existe maintenant un patch en anglais, mais je n'ai pas vraiment vérifié). Par contre, son créateur principal devrait vous dire quelque chose : un certain Eiji Aonuma. Donc oui, c'est son premier jeu avant qu'il ne travaille sur les Zelda.
Là, j'ai terminé le premier chapitre (sur un total de cinq, visiblement) et lu toute la notice en japonais, donc je vais pouvoir en faire une première description. Drôle de jeu, c'est ce qu'on se dit au début. Après un petit texte introductif qui nous parle d'un vieux trésor pirate perdu depuis des lustres, puis un petit prologue où on nous montre un vieux sage qui confie une mission hyper importante à un jeune singe accompagné d'un oiseau doré, on commence dans... un camp de vacances d'écoliers (typiquement américains), avec leurs professeurs façon scout, sur une île. D'entrée de jeu, le titre nous montre sa singularité : une interface point 'n' click avec gros plan " haute définition " sur un personnage façon Visual Novel, avec la prof des trois héros qu'on peut " inspecter " en déplaçant un curseur en forme de main sur différentes parties de ses vêtements... ce qui est l'occasion de, hum, " inspecter " à de nombreuses reprises ses poches de la poitrine, ce qui ne manque pas de la faire d'abord rougir, puis de plus en plus exaspérer à force d'insister en répondant " Non, il n'y a rien dans mes poches, pourquoi insistez-vous dans cet endroit ? " ... jusqu'à ce qu'elle nous envoie chier en disant " ça suffit, maintenant ! " . Je crois que c'est la toute première fois que je vois un jeu Nintendo qui nous permet de tripoter les seins d'une fille, c'est assez étonnant !
Après cette petite présentation, la prof nous confie une mission somme toute banale : ramasser six morceaux de bois afin de préparer le dîner pour l'espèce de camp scout. On dirige alors non pas un, mais trois héros : on désigne un meneur, mais on peut en changer autant de fois qu'on veut. Quand on a désigné un meneur, soit celui-ci se déplace tout seul tandis que les autres restent sur place, soit il utilise son sifflet de rassemblement pour que les deux autres le suivent (s'ils ne sont pas trop loin du chef de groupe, sachant qu'on doit nommer le groupe avant le lancer l'aventure pour la première fois).
Je lis souvent que ce jeu est une sorte de clone de Zelda 3, comme si Aonuma aurait voulu faire un Zelda qui n'en porte pas le nom. Alors, à moins que ça ne change vraiment par la suite, mais honnêtement, absolument rien ne me fait penser à Zelda 3 ! Non, il s'agit d'un autre jeu d'aventure non conventionnel et obscur de Nintendo, un peu comme Pour la Grenouille Sonne le Glas (Kaeru no Tame ni Kane wa Naru) sur Game Boy (mais le gameplay est encore très différent, ce jeu ayant d'ailleurs lui-même été souvent comparé à Link's Awakening alors qu'il n'a absolument rien à voir non plus dans sa structure et son gameplay). A vrai dire, le premier jeu auquel j'ai pensé en entamant celui-ci, pour son ambiance de " microcosme de civilisation américaine contemporaine avec des gosses dans une ambiance fantaisiste " , c'est Earthbound. Puis, de fil en aiguille, oui, on pense de plus en plus au film Les Goonies, et évidemment que le titre signifiant " Une autre île au Trésor " est un gros clin d'oeil au fameux roman " L'Île au Trésor " de Robert Stevenson.
Et par ailleurs, je me demande même si Capcom ne s'en est pas un peu inspiré pour leur jeu Zack & Wiki (un excellent jeu Wii qui avait malheureusement bidé).
Le camp des enfants et de leurs profs, au début de l'aventure.
Bon, allez, si, un petit truc qui fait penser à Zelda 3 : ces chaussures qui nous permettent de foncer à toute berzingue et de faire tomber des objets en se cognant contre le mur, façon Bottes de Pégase (à la différence près qu'ici, on peut changer de direction - on se déplace d'ailleurs dans quatre directions seulement, pas de diagonales - autant de fois qu'on veut en gardant la vitesse).
Mais autrement, le coeur du jeu, c'est vraiment l'exploration et les énigmes à base d'interaction avec le décor (en déplaçant donc ce fameux curseur façon point 'n' click) et les objets à trouver et à utiliser au bon endroit pour résoudre des énigmes. J'ai beau réfléchir, mais je crois que ce jeu est un cas unique de point 'n' click conçu par Nintendo, ce qui en fait vraiment un OVNI chez eux.
Il y a toutefois des ennemis, qu'il faudra principalement esquiver, même si on disposera parfois de quelques petites attaques à distance ; des simili phases de plateforme avec des bottes permettant de sauter ; quelques moments d'esquives d'obstacles qui tombent sur tout. En bref, on peut donc mourir dans ce jeu, mais on a aussi la possibilité de ramasser des tomates qui nous redonnent de la vie. Cela dit (en tout cas, pour l'instant), l'action action n'est que très ponctuelle, le reste du jeu consistant vraiment à explorer, interagir et résoudre des énigmes.
Un petit mini-jeu consistant à marquer un but avec le ballon pour obtenir un morceau de bois.
Quelques exemples d'objets qu'on peut obtenir, la plupart nécessitant de respecter un petit timing :
- des bottes pour botter un ballon ;
- des chaussures pour foncer à toute vitesse ;
- une canne à pêche, pour pêcher des poissons... et pas que ;
- des lunettes de plongée pour nager sous l'eau et ramasser des objets au fond ;
- un marteau pour enfoncer des clous géants qui nous barrent la route (oui, d'accord, là, on peut éventuellement penser à Zelda 3) ;
- des chaussures pour sauter par-dessus des trous ;
- un gant de base-ball pour lancer des balles à l'infini.
L'un des trois héros dispose même d'une télécommande pour nous permettre de diriger un robot en lui indiquant les directions à suivre.
Vu qu'on dirige trois personnages, leurs différences ne réside pas tant dans leur différence de corpulence (même si, par exemple, le petit est le seul qui peut passer sous les tuyaux) que par le fait que les objets que j'ai cités plus haut sont réservés à un et un seul personnage (et sans compter que certains PNJ n'accepteront de parler qu'à un seul des trois personnages, voire que si les trois en même temps sont présents).
Oui, seul le petit peut passer à travers le tuyau.
Et une chose importante : il existe des obstacles qui ne peuvent être surmontés que si les trois sont présents en même temps, via la commande appelée " Teamwork " . Cette commande a des effets divers :
- matraquer le bouton A pour soulever une grosse pierre... mais à condition que les trois personnages soient disposés aux bons angles (parfois, le jeu fait exprès d'obliger le joueur à laisser deux héros face au rocher depuis le bas, pour nous faire diriger le troisième larron qui parcourt un looong détour que lui seul peut franchi avec ses capacités propres, pour qu'il arrive ensuite en haut du rocher afin que la commande Teamworks puisse fonctionner et donc ouvrir un raccourci) ;
- maintenir une direction ou appuyer à la chaîne sur une direction afin de déplacer un objet ;
- faire la courte échelle afin de pouvoir actionner certains mécanismes autrement inaccessibles.
En bref, le jeu nous demandera constamment de changer de meneur pour que soit les deux autres le suivent, soit séparer le groupe afin qu'ils puissent actionner divers mécanismes à travers des chemins qu'un seul personnage peut franchir. Plus tard, on nous donnera des talkies walkies afin que, où qu'on soit, on puisse appeler le personnage qu'on souhaite afin qu'il devienne le meneur (donc qu'il devienne le personnage dirigé par le joueur), où qu'il soit (même s'il est éloigné de plusieurs écrans).
On aura encore l'occasion de " taquiner " certains personnages vus en gros plan avec l'interface point 'n' click, comme un singe à qui on peut tirailler la bouche, les joues, et appuyer plein de fois sur son nez (ça fait vraiment penser à l'écran-titre de Super Mario 64, jeu sorti la même année au Japon me semble-t-il ! ).
Les cinq ou six premières heures que m'a demandé le premier chapitre (le jeu n'est pas si simple au niveau des énigmes, il faut un peu tâtonner parfois, chercher un peu et réfléchir), sont une sorte de gros tutoriel avant que l'aventure ne commence vraiment : des pirates convoitent le trésor d'un ancien pirate disparu, et en chemin ils finissent par enlever la prof des trois héros qui ont trouvé une sorte d'artefact (une boussole magique, en gros) qui mène au trésor en question, avec une ambiance qui s'assombrit brusquement (la musique de l'île change, et tous les enfants et profs se sont retranchés dans leurs tentes, alors qu'au début, on voyait les gosses assis autour du feu et de la marmite, l'un d'entre eux jouant de la guitare). Une fois les enjeux clairement définis, à savoir rassembler quatre autres joyaux qui mèneront à l'île au trésor, le bateau abandonné qu'on avait croisé... devient notre propre bateau nous permettant de changer d'île ! C'est très sympa, en plus, dans la manière dont c'est fait : ce n'est pas juste une bête cinématique à la con, mais on nous demande d'abord d'alimenter la chaudière en " luck rocks " (un objet qui nous sert à d'autres choses dans le jeu, comme par exemple obtenir des indices de la part de l'oiseau doré qu'on voyait au prologue), d'activer une manivelle, de faire un truc au niveau de la barre, puis de " flâner " sur le pont pendant que le bateau vogue vers de nouveaux horizons avec une musique enjouée, puis on revient à la cabine du capitaine afin d'actionner à nouveau le levier pour que le bateau puisse appareiller. C'est sympa comme tout, franchement, ça fonctionne !
Notre futur bateau (qui n'est pas encore à flot) !
Là, j'ai à peine entamé l'exploration de la seconde île... qui est super jolie, comparée à la première île qui était sympa, mais pas non plus renversante graphiquement (à part quelques effets sympas comme l'ombre des nuages qui se déplace en temps réel). On est dans une sorte d'environnement de campagne américaine, limite western, avec des paysans en train de bêcher le champ, toutes sortes de maison... C'est vachement cool. En plus, là où on avait avant essentiellement des bruitages d'ambiance et des petites mélodies assez discrètes (mais très sympas pour certaines), on a droit à une très jolie musique pour cette seconde île.
La musique à partir de 22 min 26 s est de toute beauté !
Bref, pour l'instant, ce jeu me fait un peu le même effet que Pour la Grenouille Sonne le Glas : assez bizarre et déconcertant durant les premières heures, avec un gameplay un peu minimaliste de prime abord, n'ayant finalement rien à voir avec du Zelda... et puis, on se laisse peu à peu captiver par cet OVNI, sa bizarrerie, sa fantaisie, et finalement son système de jeu assez original. Et puis, l'air de rien, on voit effectivement d'où vient en partie l'inspiration de Zelda Wind Waker.
" C'est pas un peu fini, oui ? Il n'y a vraiment rien, dans cette poche ! "
Le nom du jeu ne va sûrement pas parler à grand monde, vu qu'il n'est jamais sorti du Japon (par contre, je crois qu'il existe maintenant un patch en anglais, mais je n'ai pas vraiment vérifié). Par contre, son créateur principal devrait vous dire quelque chose : un certain Eiji Aonuma. Donc oui, c'est son premier jeu avant qu'il ne travaille sur les Zelda.
Là, j'ai terminé le premier chapitre (sur un total de cinq, visiblement) et lu toute la notice en japonais, donc je vais pouvoir en faire une première description. Drôle de jeu, c'est ce qu'on se dit au début. Après un petit texte introductif qui nous parle d'un vieux trésor pirate perdu depuis des lustres, puis un petit prologue où on nous montre un vieux sage qui confie une mission hyper importante à un jeune singe accompagné d'un oiseau doré, on commence dans... un camp de vacances d'écoliers (typiquement américains), avec leurs professeurs façon scout, sur une île. D'entrée de jeu, le titre nous montre sa singularité : une interface point 'n' click avec gros plan " haute définition " sur un personnage façon Visual Novel, avec la prof des trois héros qu'on peut " inspecter " en déplaçant un curseur en forme de main sur différentes parties de ses vêtements... ce qui est l'occasion de, hum, " inspecter " à de nombreuses reprises ses poches de la poitrine, ce qui ne manque pas de la faire d'abord rougir, puis de plus en plus exaspérer à force d'insister en répondant " Non, il n'y a rien dans mes poches, pourquoi insistez-vous dans cet endroit ? " ... jusqu'à ce qu'elle nous envoie chier en disant " ça suffit, maintenant ! " . Je crois que c'est la toute première fois que je vois un jeu Nintendo qui nous permet de tripoter les seins d'une fille, c'est assez étonnant !
Après cette petite présentation, la prof nous confie une mission somme toute banale : ramasser six morceaux de bois afin de préparer le dîner pour l'espèce de camp scout. On dirige alors non pas un, mais trois héros : on désigne un meneur, mais on peut en changer autant de fois qu'on veut. Quand on a désigné un meneur, soit celui-ci se déplace tout seul tandis que les autres restent sur place, soit il utilise son sifflet de rassemblement pour que les deux autres le suivent (s'ils ne sont pas trop loin du chef de groupe, sachant qu'on doit nommer le groupe avant le lancer l'aventure pour la première fois).
Je lis souvent que ce jeu est une sorte de clone de Zelda 3, comme si Aonuma aurait voulu faire un Zelda qui n'en porte pas le nom. Alors, à moins que ça ne change vraiment par la suite, mais honnêtement, absolument rien ne me fait penser à Zelda 3 ! Non, il s'agit d'un autre jeu d'aventure non conventionnel et obscur de Nintendo, un peu comme Pour la Grenouille Sonne le Glas (Kaeru no Tame ni Kane wa Naru) sur Game Boy (mais le gameplay est encore très différent, ce jeu ayant d'ailleurs lui-même été souvent comparé à Link's Awakening alors qu'il n'a absolument rien à voir non plus dans sa structure et son gameplay). A vrai dire, le premier jeu auquel j'ai pensé en entamant celui-ci, pour son ambiance de " microcosme de civilisation américaine contemporaine avec des gosses dans une ambiance fantaisiste " , c'est Earthbound. Puis, de fil en aiguille, oui, on pense de plus en plus au film Les Goonies, et évidemment que le titre signifiant " Une autre île au Trésor " est un gros clin d'oeil au fameux roman " L'Île au Trésor " de Robert Stevenson.
Et par ailleurs, je me demande même si Capcom ne s'en est pas un peu inspiré pour leur jeu Zack & Wiki (un excellent jeu Wii qui avait malheureusement bidé).
Le camp des enfants et de leurs profs, au début de l'aventure.
Bon, allez, si, un petit truc qui fait penser à Zelda 3 : ces chaussures qui nous permettent de foncer à toute berzingue et de faire tomber des objets en se cognant contre le mur, façon Bottes de Pégase (à la différence près qu'ici, on peut changer de direction - on se déplace d'ailleurs dans quatre directions seulement, pas de diagonales - autant de fois qu'on veut en gardant la vitesse).
Mais autrement, le coeur du jeu, c'est vraiment l'exploration et les énigmes à base d'interaction avec le décor (en déplaçant donc ce fameux curseur façon point 'n' click) et les objets à trouver et à utiliser au bon endroit pour résoudre des énigmes. J'ai beau réfléchir, mais je crois que ce jeu est un cas unique de point 'n' click conçu par Nintendo, ce qui en fait vraiment un OVNI chez eux.
Il y a toutefois des ennemis, qu'il faudra principalement esquiver, même si on disposera parfois de quelques petites attaques à distance ; des simili phases de plateforme avec des bottes permettant de sauter ; quelques moments d'esquives d'obstacles qui tombent sur tout. En bref, on peut donc mourir dans ce jeu, mais on a aussi la possibilité de ramasser des tomates qui nous redonnent de la vie. Cela dit (en tout cas, pour l'instant), l'action action n'est que très ponctuelle, le reste du jeu consistant vraiment à explorer, interagir et résoudre des énigmes.
Un petit mini-jeu consistant à marquer un but avec le ballon pour obtenir un morceau de bois.
Quelques exemples d'objets qu'on peut obtenir, la plupart nécessitant de respecter un petit timing :
- des bottes pour botter un ballon ;
- des chaussures pour foncer à toute vitesse ;
- une canne à pêche, pour pêcher des poissons... et pas que ;
- des lunettes de plongée pour nager sous l'eau et ramasser des objets au fond ;
- un marteau pour enfoncer des clous géants qui nous barrent la route (oui, d'accord, là, on peut éventuellement penser à Zelda 3) ;
- des chaussures pour sauter par-dessus des trous ;
- un gant de base-ball pour lancer des balles à l'infini.
L'un des trois héros dispose même d'une télécommande pour nous permettre de diriger un robot en lui indiquant les directions à suivre.
Vu qu'on dirige trois personnages, leurs différences ne réside pas tant dans leur différence de corpulence (même si, par exemple, le petit est le seul qui peut passer sous les tuyaux) que par le fait que les objets que j'ai cités plus haut sont réservés à un et un seul personnage (et sans compter que certains PNJ n'accepteront de parler qu'à un seul des trois personnages, voire que si les trois en même temps sont présents).
Oui, seul le petit peut passer à travers le tuyau.
Et une chose importante : il existe des obstacles qui ne peuvent être surmontés que si les trois sont présents en même temps, via la commande appelée " Teamwork " . Cette commande a des effets divers :
- matraquer le bouton A pour soulever une grosse pierre... mais à condition que les trois personnages soient disposés aux bons angles (parfois, le jeu fait exprès d'obliger le joueur à laisser deux héros face au rocher depuis le bas, pour nous faire diriger le troisième larron qui parcourt un looong détour que lui seul peut franchi avec ses capacités propres, pour qu'il arrive ensuite en haut du rocher afin que la commande Teamworks puisse fonctionner et donc ouvrir un raccourci) ;
- maintenir une direction ou appuyer à la chaîne sur une direction afin de déplacer un objet ;
- faire la courte échelle afin de pouvoir actionner certains mécanismes autrement inaccessibles.
En bref, le jeu nous demandera constamment de changer de meneur pour que soit les deux autres le suivent, soit séparer le groupe afin qu'ils puissent actionner divers mécanismes à travers des chemins qu'un seul personnage peut franchir. Plus tard, on nous donnera des talkies walkies afin que, où qu'on soit, on puisse appeler le personnage qu'on souhaite afin qu'il devienne le meneur (donc qu'il devienne le personnage dirigé par le joueur), où qu'il soit (même s'il est éloigné de plusieurs écrans).
On aura encore l'occasion de " taquiner " certains personnages vus en gros plan avec l'interface point 'n' click, comme un singe à qui on peut tirailler la bouche, les joues, et appuyer plein de fois sur son nez (ça fait vraiment penser à l'écran-titre de Super Mario 64, jeu sorti la même année au Japon me semble-t-il ! ).
Les cinq ou six premières heures que m'a demandé le premier chapitre (le jeu n'est pas si simple au niveau des énigmes, il faut un peu tâtonner parfois, chercher un peu et réfléchir), sont une sorte de gros tutoriel avant que l'aventure ne commence vraiment : des pirates convoitent le trésor d'un ancien pirate disparu, et en chemin ils finissent par enlever la prof des trois héros qui ont trouvé une sorte d'artefact (une boussole magique, en gros) qui mène au trésor en question, avec une ambiance qui s'assombrit brusquement (la musique de l'île change, et tous les enfants et profs se sont retranchés dans leurs tentes, alors qu'au début, on voyait les gosses assis autour du feu et de la marmite, l'un d'entre eux jouant de la guitare). Une fois les enjeux clairement définis, à savoir rassembler quatre autres joyaux qui mèneront à l'île au trésor, le bateau abandonné qu'on avait croisé... devient notre propre bateau nous permettant de changer d'île ! C'est très sympa, en plus, dans la manière dont c'est fait : ce n'est pas juste une bête cinématique à la con, mais on nous demande d'abord d'alimenter la chaudière en " luck rocks " (un objet qui nous sert à d'autres choses dans le jeu, comme par exemple obtenir des indices de la part de l'oiseau doré qu'on voyait au prologue), d'activer une manivelle, de faire un truc au niveau de la barre, puis de " flâner " sur le pont pendant que le bateau vogue vers de nouveaux horizons avec une musique enjouée, puis on revient à la cabine du capitaine afin d'actionner à nouveau le levier pour que le bateau puisse appareiller. C'est sympa comme tout, franchement, ça fonctionne !
Notre futur bateau (qui n'est pas encore à flot) !
Là, j'ai à peine entamé l'exploration de la seconde île... qui est super jolie, comparée à la première île qui était sympa, mais pas non plus renversante graphiquement (à part quelques effets sympas comme l'ombre des nuages qui se déplace en temps réel). On est dans une sorte d'environnement de campagne américaine, limite western, avec des paysans en train de bêcher le champ, toutes sortes de maison... C'est vachement cool. En plus, là où on avait avant essentiellement des bruitages d'ambiance et des petites mélodies assez discrètes (mais très sympas pour certaines), on a droit à une très jolie musique pour cette seconde île.
La musique à partir de 22 min 26 s est de toute beauté !
Bref, pour l'instant, ce jeu me fait un peu le même effet que Pour la Grenouille Sonne le Glas : assez bizarre et déconcertant durant les premières heures, avec un gameplay un peu minimaliste de prime abord, n'ayant finalement rien à voir avec du Zelda... et puis, on se laisse peu à peu captiver par cet OVNI, sa bizarrerie, sa fantaisie, et finalement son système de jeu assez original. Et puis, l'air de rien, on voit effectivement d'où vient en partie l'inspiration de Zelda Wind Waker.
" C'est pas un peu fini, oui ? Il n'y a vraiment rien, dans cette poche ! "
Dernière édition par Rudolf III. le Dim 2 Juil 2023 - 7:59, édité 1 fois
Rudolf III.- Docteur *
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Alucardark offre 1 suppo à ce post!
Re: SNES - Parlons jeu
Sympa. Merci pour la découverte.
Maxicrash- Interne
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Re: SNES - Parlons jeu
Ah, un jeu que j'ai failli lancé il y a un an... Mais j'ai préféré faire des jeux plus connue pour combler mon manque ^^ Il faudra que je m'y mette un jour. Merci Rudolf pourle rappel.
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Titre : Darius force (Jap'), Super nova (USA)
Genre : Shoot them up
Nombre de joueurs : 1
Sortie : 1993
Développeur : Act Japan
Éditeur : Taito Corporation
Autres plateformes : -
- Mon avis 2023 -
Je l'ai enfin terminé en Easy, les vies au max et en ligne droite ^^ C'est un jeu que je tente quand je ne sais pas quoi faire. A chaque fois que je perds dans ce jeu, je n'ai pas forcément envie de continuer. Pourtant je l'aime bien, mais je sais pas, j'aime le mettre de côté pour y revenir plus tard, refaire les mêmes erreurs comme un con car j'ai tout oublié, re perdre etc.
Sauf qu'aujourd'hui c'est passé. Va comprendre...
Au final, je pense que je vais continuer à y jouer régulièrement pour voir les autres stages. Un petit shoot sympathique ce Darius ^^
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Titre : Darius force (Jap'), Super nova (USA)
Genre : Shoot them up
Nombre de joueurs : 1
Sortie : 1993
Développeur : Act Japan
Éditeur : Taito Corporation
Autres plateformes : -
- Mon avis 2023 -
Je l'ai enfin terminé en Easy, les vies au max et en ligne droite ^^ C'est un jeu que je tente quand je ne sais pas quoi faire. A chaque fois que je perds dans ce jeu, je n'ai pas forcément envie de continuer. Pourtant je l'aime bien, mais je sais pas, j'aime le mettre de côté pour y revenir plus tard, refaire les mêmes erreurs comme un con car j'ai tout oublié, re perdre etc.
Sauf qu'aujourd'hui c'est passé. Va comprendre...
Au final, je pense que je vais continuer à y jouer régulièrement pour voir les autres stages. Un petit shoot sympathique ce Darius ^^
wiiwii007- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Apparemment, le jeu aurait bien été patché en anglais (pas d'autres langues a priori), mais de ce que j'ai compris, il aurait été cauchemardesque à hacker, au point que certains éléments seraient restés en japonais (je crois savoir quel genre d'élément : genre, les inscriptions en japonais pouvant être écrites sur certaines images qui, à mon avis, n'ont sûrement pas pu être modifiées alors qu'il s'agissait parfois d'un indice, mais je n'ai pas été vérifier la chose sur la version hackée).
Là, j'ai terminé le chapitre 2 (ça m'a encore pris 6 ou 7heures, ce n'est pas court du tout, certains ont fumé en disant que le jeu se termine soi-disant en 10 heures, à moins de connaître déjà par coeur le jeu et ses énigmes) : excellent, mais vraiment !
Alors, je reconfirme le fait que le jeu n'a rien à voir avec Zelda 3 dans son gameplay et sa progression (on penserait plus à du Monkey Island, quelque part). Par contre, il y a bel et bien des choses qui sont apparues dans Marvelous et qu'on retrouvera par la suite dans d'autres Zelda. Déjà, il y a cet environnement maritime et de piraterie que j'ai cité, mais pas seulement, car dans le chapitre 2, il y a vraiment une mécanique particulière mais que j'indique en spoil au cas où :
Et j'ai eu droit à mon premier vrai boss (on en a même un second plus ou moins optionnel afin de récolter davantage de Luck Rocks). Mais encore une fois, les combats sont très rares, dans ce jeu.
Il est vraiment étonnant, ce jeu. En plus, le dénouement du chapitre est assez émouvant : j'ai pris le temps de flâner un peu, de reparler à tout le monde et de profiter de l'ambiance qui a radicalement changé par rapport au début du chapitre avant de reprendre mon bateau pour la nouvelle île. Donc j'ai dû revenir à la salle des machines pour alimenter la chaudière en carburants, actionner le levier pour que le bateau démarre, régler manuellement la barre, puis actionner à nouveau le levier pour que le bateau appareille.
D'ailleurs, je ne l'avais pas dit, mais quand le bateau navigue, ils ont même pris la peine de nous faire un petit effet de tangage (l'écran bouge un petit peu), tandis qu'on peut encore aller faire un tour à la salle des machines pour voir tous les pistons et engrenages en train de tourner. On a même le coup de la tempête, d'abord annoncée par un vol d'oiseaux migrateurs qui fuient le danger, la musique qui change pour laisser place aux bruits du tangage et des machines au sous-sol, c'est vraiment sympa.
Là, j'ai terminé le chapitre 2 (ça m'a encore pris 6 ou 7heures, ce n'est pas court du tout, certains ont fumé en disant que le jeu se termine soi-disant en 10 heures, à moins de connaître déjà par coeur le jeu et ses énigmes) : excellent, mais vraiment !
Alors, je reconfirme le fait que le jeu n'a rien à voir avec Zelda 3 dans son gameplay et sa progression (on penserait plus à du Monkey Island, quelque part). Par contre, il y a bel et bien des choses qui sont apparues dans Marvelous et qu'on retrouvera par la suite dans d'autres Zelda. Déjà, il y a cet environnement maritime et de piraterie que j'ai cité, mais pas seulement, car dans le chapitre 2, il y a vraiment une mécanique particulière mais que j'indique en spoil au cas où :
- Spoiler:
Du voyage dans le temps, avec des actions qu'on accomplit dans le passé et qui se répercutent alors dans le présent !!!
Et j'ai eu droit à mon premier vrai boss (on en a même un second plus ou moins optionnel afin de récolter davantage de Luck Rocks). Mais encore une fois, les combats sont très rares, dans ce jeu.
Il est vraiment étonnant, ce jeu. En plus, le dénouement du chapitre est assez émouvant : j'ai pris le temps de flâner un peu, de reparler à tout le monde et de profiter de l'ambiance qui a radicalement changé par rapport au début du chapitre avant de reprendre mon bateau pour la nouvelle île. Donc j'ai dû revenir à la salle des machines pour alimenter la chaudière en carburants, actionner le levier pour que le bateau démarre, régler manuellement la barre, puis actionner à nouveau le levier pour que le bateau appareille.
D'ailleurs, je ne l'avais pas dit, mais quand le bateau navigue, ils ont même pris la peine de nous faire un petit effet de tangage (l'écran bouge un petit peu), tandis qu'on peut encore aller faire un tour à la salle des machines pour voir tous les pistons et engrenages en train de tourner. On a même le coup de la tempête, d'abord annoncée par un vol d'oiseaux migrateurs qui fuient le danger, la musique qui change pour laisser place aux bruits du tangage et des machines au sous-sol, c'est vraiment sympa.
Rudolf III.- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Oui c'est la version que j'ai, US.
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Titre : Super E.D.F. : Earth Defense Force (Jap'), Earth Defense Force (EUR, USA)
Genre : Shoot them up
Nombre de joueurs : 1
Sortie : 1991 (Jap'), 1992 (EUR, USA)
Développeur : Jaleco Entertainment
Éditeur : Jaleco Entertainment
Autres plateformes : Arcade, iOS, Switch, PS4
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Re: SNES - Parlons jeu
Chapitre 3 terminé (ça m'a encore pris une demi-douzaine d'heures, mais je n'ai pas utilisé les indices payants de l'oiseau, je préférais réfléchir et chercher un peu). Peut-être un poil moins marquant que le second à mon goût, mais disons que c'est un style différent, plus orienté aventure, voire assez angoissant par moments. Plus que jamais, dans ce chapitre, j'ai vraiment eu l'impression de jouer à Earthbound (on a même un personnage qui fait penser aux membres de la secte Happy Happiest), y compris par le fait que, jusqu'à maintenant, le jeu consiste à ramener la paix et l'harmonie dans chaque contrée qu'on visite (d'abord dans le but de rassembler des joyaux devant nous mener au trésor du pirate), avec la musique qui change complètement à la fin des chapitres pour devenir beaucoup plus joyeuse après une phase assez sombre. Et sans oublier le fait qu'on dirige un groupe d'enfants dans un monde contemporain un peu décalé, vivant des aventures rocambolesques exploitant délicieusement toutes sortes de clichés du récit d'aventure. Dans ce chapitre, il s'agissait donc :
Autre truc assez surprenant :
Et alors, le dialogue qui m'a tué ! Voir ça dans un jeu Nintendo, là encore, ça surprend :
C'est... je ne m'y attendais pas dans un jeu Nintendo : il se lâchait, le père Aonuma, dans sa jeunesse !
Par ailleurs, là, c'est vraiment du pur point 'n' click, je confirme ! Beaucoup d'énigmes consistant à examiner le décor, trouver des objets et trouver leur utilité au bon endroit et avec le bon personnage, mais aussi interagir avec certains objets du décor (y compris une petite énigme faisant intervenir un jukebox et les différentes musiques qu'il propose) ; des énigmes délicieusement absurdes comme on aime bien en trouver dans du Lucas Arts, mais avec quand même une certaine logique dans l'absurde. C'est même assez ingénieux, par moments (et, en y repensant, ça me semble assez moderne et rare pour l'époque, dans du point 'n' click, le fait d'avoir instauré un système d'indices facultatifs et payants avec l'oiseau à qui on doit donner des Luck Rocks si, vraiment, on coince).
Non, dans ce qu'il propose par rapport au précédent (tout est une question de sensibilité), il est vraiment excellent également, très bien fichu au niveau de ses énigmes. Et son boss est plutôt sympa, faisant intervenir les compétences des trois héros.
Dans ce jeu, on a aussi plein, plein, plein de petits dialogues plus ou moins facultatifs, surtout une fois qu'on a terminé un chapitre (en soi, on pourrait tracer directement vers le bateau pour voguer vers l'île suivante, mais le jeu nous laisse vraiment la possibilité de flâner un peu et discuter avec tout le monde, dans un environnement ayant retrouvé joie, paix et stabilité, ce qui me fait donc penser pas mal à du Earthbound de ce côté-là ; on peut même faire une ou deux BA complètement facultatives avant de quitter l'île définitivement). Tout est délicieusement fantaisiste et on a plein de petits dialogues très sympas à lire, avec toutes sortes de personnages hauts en couleurs qui marquent les esprits (on a donc beaucoup, beaucoup plus de textes que dans Zelda 3, ça n'a rien à voir ! ).
Du coup, le premier jeu d'Aonuma était donc un pur point 'n' click, et peut-être le seul jeu du genre jamais réalisé par Nintendo : je ne l'avais pas vue venir, celle-là ! On en regrette presque qu'ils n'aient pas rendu le jeu compatible avec la souris de Mario Paint pour le fun (quitte à rendre l'accessoire facultatif tout de même). En plus, malgré leur rareté, elles ne sont pas si mal, les petites phases d'action/combat et mini-jeux qui pimentent l'aventure.
J'ai juste entamé le chapitre 4, qui s'annonce bien lui aussi (dès le début, un mystère qui survenait au début du jeu concernant un personnage commence à s'éclaircir). Après, j'ai cru comprendre que le dernier chapitre ne serait pas terrible, mais je verrai bien.
Bref, rien à voir avec du Zelda, en dehors de quelques éléments plus ou moins repris par la suite, je le redis. Et c'est encore un autre délire bien différent par rapport à Kaeru no Tame ni Kane wa Naru sur Game Boy, qui proposait lui aussi une vision tout à fait singulière du jeu d'action/aventure et donc radicalement différente d'un Zelda.
- Spoiler:
- d'une île tropicale, envahie par les singes, mais aussi divers explorateurs et savants qui font toutes sortes d'expériences sur la flore, avant de virer peu à peu vers une ambiance inquiétante et anxiogène qui lorgne limite vers L'Invasion des Profanateurs).
Autre truc assez surprenant :
- Spoiler:
- voir une femelle gorille se dandiner avec un joli fessier rebondissant pour séduire les singes, on ne voit pas ça souvent dans un jeu Nintendo. ^^
Le petit dénouement de cet épisode avec le gorille féroce qui nous barre la route avant qu'on lui " présente " (malgré lui) la femelle gorille, est bien marrant.
Et alors, le dialogue qui m'a tué ! Voir ça dans un jeu Nintendo, là encore, ça surprend :
- Spoiler:
(une mère qui reparle à nos héros au sujet de sa petite fille encore bébé, une fois qu'on a sauvé l'île à la fin)
" Ca vous dirait, de la prendre comme fiancée, quand elle aura grandi ? Je plaisante, espèce de lolicon ! "
C'est... je ne m'y attendais pas dans un jeu Nintendo : il se lâchait, le père Aonuma, dans sa jeunesse !
Par ailleurs, là, c'est vraiment du pur point 'n' click, je confirme ! Beaucoup d'énigmes consistant à examiner le décor, trouver des objets et trouver leur utilité au bon endroit et avec le bon personnage, mais aussi interagir avec certains objets du décor (y compris une petite énigme faisant intervenir un jukebox et les différentes musiques qu'il propose) ; des énigmes délicieusement absurdes comme on aime bien en trouver dans du Lucas Arts, mais avec quand même une certaine logique dans l'absurde. C'est même assez ingénieux, par moments (et, en y repensant, ça me semble assez moderne et rare pour l'époque, dans du point 'n' click, le fait d'avoir instauré un système d'indices facultatifs et payants avec l'oiseau à qui on doit donner des Luck Rocks si, vraiment, on coince).
Non, dans ce qu'il propose par rapport au précédent (tout est une question de sensibilité), il est vraiment excellent également, très bien fichu au niveau de ses énigmes. Et son boss est plutôt sympa, faisant intervenir les compétences des trois héros.
Dans ce jeu, on a aussi plein, plein, plein de petits dialogues plus ou moins facultatifs, surtout une fois qu'on a terminé un chapitre (en soi, on pourrait tracer directement vers le bateau pour voguer vers l'île suivante, mais le jeu nous laisse vraiment la possibilité de flâner un peu et discuter avec tout le monde, dans un environnement ayant retrouvé joie, paix et stabilité, ce qui me fait donc penser pas mal à du Earthbound de ce côté-là ; on peut même faire une ou deux BA complètement facultatives avant de quitter l'île définitivement). Tout est délicieusement fantaisiste et on a plein de petits dialogues très sympas à lire, avec toutes sortes de personnages hauts en couleurs qui marquent les esprits (on a donc beaucoup, beaucoup plus de textes que dans Zelda 3, ça n'a rien à voir ! ).
Du coup, le premier jeu d'Aonuma était donc un pur point 'n' click, et peut-être le seul jeu du genre jamais réalisé par Nintendo : je ne l'avais pas vue venir, celle-là ! On en regrette presque qu'ils n'aient pas rendu le jeu compatible avec la souris de Mario Paint pour le fun (quitte à rendre l'accessoire facultatif tout de même). En plus, malgré leur rareté, elles ne sont pas si mal, les petites phases d'action/combat et mini-jeux qui pimentent l'aventure.
J'ai juste entamé le chapitre 4, qui s'annonce bien lui aussi (dès le début, un mystère qui survenait au début du jeu concernant un personnage commence à s'éclaircir). Après, j'ai cru comprendre que le dernier chapitre ne serait pas terrible, mais je verrai bien.
Bref, rien à voir avec du Zelda, en dehors de quelques éléments plus ou moins repris par la suite, je le redis. Et c'est encore un autre délire bien différent par rapport à Kaeru no Tame ni Kane wa Naru sur Game Boy, qui proposait lui aussi une vision tout à fait singulière du jeu d'action/aventure et donc radicalement différente d'un Zelda.
Rudolf III.- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Enfin terminé en mode normal (Super E.D.F), shield au max ! Purée il est chaud bouillant celui là.
J'ai dû mettre totalement en pause Fire emblem pour me concentrer sur ce Super E.D.F. J'en ai fait une affaire personnelle.
En tout cas, c'est encore un bon (voir très bon) shoot sur Snes que je découvre. Alors oui il est un peu pourri par de gros ralentissements mais au final ils ne gênent pas tant que ça, au contraire, ils aident bien. D'ailleurs dans deux trois passages, je faisais exprès de mettre les options libres pour faire ralentir l'action afin de m'en sortir vivant. On peut presque dire qu'ils servent le gameplay... Ouai j'en étais à ce point là ^^
Mais mise à part ce défaut, et la simplicité du gameplay qui va à l'essentiel : Rien à récupérer dans les stages, ni d'évolution d'arme en chopant des pastilles. J'avoue que ça ne m'a pas du tout dérangé. L'action intense et la plastique du titre comblant largement tout ça. J'ai trouvé le jeu beau à voir et à entendre. Rien n'est complexe, mais tout est bon. Les événements mode 7 sont sympathiques à découvrir également, les ziks bien entrainantes pour certaines, quelques phases bien bourrines et difficiles à gérer... Non franchement ça déboite bien. Puis alors les stages 4, 5 et 6 et leur boss... Très très chaud à gérer. Ya vraiment du monde à l'écran c'est flippant ^^
Bref, j'ai beaucoup aimé.
J'ai dû mettre totalement en pause Fire emblem pour me concentrer sur ce Super E.D.F. J'en ai fait une affaire personnelle.
En tout cas, c'est encore un bon (voir très bon) shoot sur Snes que je découvre. Alors oui il est un peu pourri par de gros ralentissements mais au final ils ne gênent pas tant que ça, au contraire, ils aident bien. D'ailleurs dans deux trois passages, je faisais exprès de mettre les options libres pour faire ralentir l'action afin de m'en sortir vivant. On peut presque dire qu'ils servent le gameplay... Ouai j'en étais à ce point là ^^
Mais mise à part ce défaut, et la simplicité du gameplay qui va à l'essentiel : Rien à récupérer dans les stages, ni d'évolution d'arme en chopant des pastilles. J'avoue que ça ne m'a pas du tout dérangé. L'action intense et la plastique du titre comblant largement tout ça. J'ai trouvé le jeu beau à voir et à entendre. Rien n'est complexe, mais tout est bon. Les événements mode 7 sont sympathiques à découvrir également, les ziks bien entrainantes pour certaines, quelques phases bien bourrines et difficiles à gérer... Non franchement ça déboite bien. Puis alors les stages 4, 5 et 6 et leur boss... Très très chaud à gérer. Ya vraiment du monde à l'écran c'est flippant ^^
Bref, j'ai beaucoup aimé.
wiiwii007- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Titre : Magic Sword
Genre : BTU
Nombre de joueurs : 1
Sortie : 1992 (Jap', USA), 1993 (EUR)
Développeur : Capcom
Éditeur : Capcom
Autres plateformes : Arcade
- Mon avis 2023 -
Je l'avais commencé il y a un bail avec le petit de ma copine. On faisait un stage chacun en se passant la manette. Les stages étant très très courts, c'était bien sympa comme ça. On était arrivé pas loin de la fin, à 5 niveau si je me souviens bien. Le temps a passé, on ne l'a jamais retenté... Je me suis dit qu'il fallait en finir avec lui. C'est chose faite en "easy".
Même en "easy", il ne faut pas le prendre à la légère ce BTU. On avance sur un plan, les ennemis se font défoncer en un coup la plupart du temps, et les niveaux sont courts. On a tendance à penser que ça va être pépère. Sauf qu'il y a 50 stages à parcourir. Et sur le long terme, ça peut vite devenir tendu au niveau des continus disponibles. On en a trois en tout et pour tout.
J'ai bien aimé le jeu, c'est très arcade dans le feeling. On se prend pas la tête, on avance, on défonce des gus, on ouvre pleins de coffres, chope es items, des bonus, change de perso secondaire (un allié nous rejoint pour jouer "automatiquement" à côté de nous) en un clin d'œil. Ca le fait bien. Les musiques soutiennent bien l'action, l'ambiance est cool. La seule ombre au tableau que je vois, ce sont les ralentissements qui interviennent assez fréquemment. Mais bon, je ne trouve pas ça si dérangeant... C'est chiant mais ça va.
Un bon BTU sur Snes.
wiiwii007- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Il est bien mais le problème de ce genre de jeu, à notre époque et non dans les années 90, est que si tu joues en émulation autant prendre la version arcade.
Schmurz- Patient contaminé
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Re: SNES - Parlons jeu
Chapitre 4 terminé (une demi douzaine d'heures, une fois de plus). Encore une ambiance bien différente, faisant davantage référence :
Quelques énigmes sympas, dont une un peu " méchante " :
D'autres m'ont fait un peu réfléchir.
Un peu d'action aussi, avec un certain nombre de mini-jeux qui exploitent les diverses capacités de nos trois héros, et quelques combats où il faut un peu réfléchir et faire preuve d'un minimum de timing.
Petit moment un peu triste, entre la fin du chapitre 4 et le début du chapitre 5 :
Pas mal de trucs facultatifs dans ce que je dis juste au-dessus, donc on peut passer à côté de ce genre de révélation très sympa.
Du coup, avec ce chapitre 5 que j'ai à peine entamé, c'est "presque" un retour à la case départ, mais cette fois, l'accès à ce qui semble être le donjon final a été débloqué : le trésor est à notre portée ! On verra bien si, réellement, ce chapitre ne serait pas terrible comme j'ai pu le lire à plusieurs reprises (pour l'instant, je trouve la musique du donjon plutôt sympa)...
- Spoiler:
- aux Voyages de Gulliver, plus particulièrement dans un royaume de lilliputiens (ou plutôt un royaume qui a été rapetissé sous l'effet du joyau), aux prises avec les insectes devenus géants de leur point de vue (en particulier une colonie de fourmis hostiles).
Quelques énigmes sympas, dont une un peu " méchante " :
- Spoiler:
- la pauvre grenouille ! Mais en même temps, elle nous a cherché des noises en ne tenant pas sa promesse de nous refiler sa queue, donc zou ! On réactive le courant sur le fil électrique plongé dans l'eau !
Mais bon, ça va, après, j'ai quand même coupé à nouveau le courant, je ne suis pas si méchant. ^^
D'autres m'ont fait un peu réfléchir.
Un peu d'action aussi, avec un certain nombre de mini-jeux qui exploitent les diverses capacités de nos trois héros, et quelques combats où il faut un peu réfléchir et faire preuve d'un minimum de timing.
Petit moment un peu triste, entre la fin du chapitre 4 et le début du chapitre 5 :
- Spoiler:
- Le départ de Polly, la lilliputienne qui nous avait accompagné tout au long de l'aventure, mais qui a maintenant retrouvé sa taille normale. Petit pincement au coeur quand on examine à nouveau le message "SOS" inscrit sur le sable dans l'île du début du jeu. D'ailleurs, si on a bien examiné la chambre de Polly dans le chapitre 4, on découvre une photo de sa mère... un peu enrobée et qui ressemble à Max, le gros du trio, ce qui semble expliquer pourquoi Polly semblait plus attachée à Max dès le début.
Pas mal de trucs facultatifs dans ce que je dis juste au-dessus, donc on peut passer à côté de ce genre de révélation très sympa.
Du coup, avec ce chapitre 5 que j'ai à peine entamé, c'est "presque" un retour à la case départ, mais cette fois, l'accès à ce qui semble être le donjon final a été débloqué : le trésor est à notre portée ! On verra bien si, réellement, ce chapitre ne serait pas terrible comme j'ai pu le lire à plusieurs reprises (pour l'instant, je trouve la musique du donjon plutôt sympa)...
Rudolf III.- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Oui bien sur, j'imagine qu'il doit être bien mieux en arcade. Là, c'est juste pour la découverte de la ludothèque Snes que je joue. Puis je ne joue pas en émulation donc ça m'arrange aussi ^^Schmurz a écrit:Il est bien mais le problème de ce genre de jeu, à notre époque et non dans les années 90, est que si tu joues en émulation autant prendre la version arcade.
wiiwii007- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Et voilà, chapitre 5 et jeu terminés ! Une petite trentaine d'heures en tout. Et finalement, tout est faisable sans soluce sur Internet, le jeu proposant déjà tout ce qu'il faut en matière d'indices facultatifs. C'est bien conçu.
Finalement, j'ai trouvé ce chapitre un peu plus court que les autres, pas très compliqué, mais super sympa : je n'ai pas bien compris les reproches que j'ai pu en lire. Par exemple, je lisais à droite et à gauche qu'il y avait un jeu du taquin horrible, alors que bon, non, c'est super simple, comme truc (d'ailleurs, on a ça aussi dans Wind Waker sous forme de mini-jeu facultatif, donc peut-être un clin d'oeil). Ou encore une histoire de chemin invisible à révéler avec un robot à téléguider, mais bon : juste une question de mémoire, je n'ai pas vraiment compris en quoi c'était censé être horrible.
En tout cas, ce chapitre est effectivement une suite d'épreuves à faire dans un ordre assez libre, mais c'est tout à fait dans l'esprit d'une cachette au trésor où il faut faire plein d'énigmes pour accéder au trésor. Le petit final :
c'était plutôt sympa.
Et à la fin du générique, on comptabilise le nombre de BA qu'on a pu faire (j'ai eu 100%) et le nombre de Luck Rocks : mon équipe a été qualifiée de "Marvelous".
Bref, vraiment un chouette jeu, une petite perle de la console dans un genre point 'n' click très peu représenté (il doit peut-être y avoir aussi Wonder Project J un peu dans le même genre, sur SNES : lui aussi, il va falloir que je j'y joue, avant de me faire le volet N64).
Un jeu victime de sa sortie hyper tardive en 1996, quand la N64 était déjà (presque) là, et sachant que l'échec commercial d'Earthbound aux Etats-Unis avait dû les refroidir méchamment pour le sortir en occident en le traduisant ne serait-ce qu'en anglais. Mais visiblement, Nintendo n'a pas dû être trop ingrat car, juste après, Aonuma s'est donc vu attribuer un rôle important dans Zelda Ocarina of Time et surtout dans Zelda Majora's Mask.
Maintenant, de là à ce qu'ils traduisent un jour officiellement le jeu... j'ai cru comprendre qu'il y aurait encore une histoire de problème de code source inaccessible, ou de grosse difficulté à traduire (le hack aurait d'ailleurs été très délicat à faire). Donc à la limite, ce qu'il faudrait pour ça, c'est qu'ils en fassent un remake : on verra s'ils le font un jour, vu que, quand même, Aonuma a acquis un statut important chez Nintendo. Ce serait bien, quand même.
Finalement, j'ai trouvé ce chapitre un peu plus court que les autres, pas très compliqué, mais super sympa : je n'ai pas bien compris les reproches que j'ai pu en lire. Par exemple, je lisais à droite et à gauche qu'il y avait un jeu du taquin horrible, alors que bon, non, c'est super simple, comme truc (d'ailleurs, on a ça aussi dans Wind Waker sous forme de mini-jeu facultatif, donc peut-être un clin d'oeil). Ou encore une histoire de chemin invisible à révéler avec un robot à téléguider, mais bon : juste une question de mémoire, je n'ai pas vraiment compris en quoi c'était censé être horrible.
En tout cas, ce chapitre est effectivement une suite d'épreuves à faire dans un ordre assez libre, mais c'est tout à fait dans l'esprit d'une cachette au trésor où il faut faire plein d'énigmes pour accéder au trésor. Le petit final :
- Spoiler:
- avec le compte à rebours pour s'échapper du donjon (et la découverte de la vraie nature du trésor du pirate Maverick
c'était plutôt sympa.
Et à la fin du générique, on comptabilise le nombre de BA qu'on a pu faire (j'ai eu 100%) et le nombre de Luck Rocks : mon équipe a été qualifiée de "Marvelous".
Bref, vraiment un chouette jeu, une petite perle de la console dans un genre point 'n' click très peu représenté (il doit peut-être y avoir aussi Wonder Project J un peu dans le même genre, sur SNES : lui aussi, il va falloir que je j'y joue, avant de me faire le volet N64).
Un jeu victime de sa sortie hyper tardive en 1996, quand la N64 était déjà (presque) là, et sachant que l'échec commercial d'Earthbound aux Etats-Unis avait dû les refroidir méchamment pour le sortir en occident en le traduisant ne serait-ce qu'en anglais. Mais visiblement, Nintendo n'a pas dû être trop ingrat car, juste après, Aonuma s'est donc vu attribuer un rôle important dans Zelda Ocarina of Time et surtout dans Zelda Majora's Mask.
Maintenant, de là à ce qu'ils traduisent un jour officiellement le jeu... j'ai cru comprendre qu'il y aurait encore une histoire de problème de code source inaccessible, ou de grosse difficulté à traduire (le hack aurait d'ailleurs été très délicat à faire). Donc à la limite, ce qu'il faudrait pour ça, c'est qu'ils en fassent un remake : on verra s'ils le font un jour, vu que, quand même, Aonuma a acquis un statut important chez Nintendo. Ce serait bien, quand même.
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Re: SNES - Parlons jeu
Titre : Gradius III
Genre : Shoot them up
Nombre de joueurs : 1 ou 2 alternativement
Sortie : 1990 (Jap'), 1991 (USA)
Développeur : Konami
Éditeur : Konami
Autres plateformes : Arcade (Konami GX945), PS2, Wii (CV)
- Mon avis 2023 -
Terminé en "Easy".
C'était pas une mince affaire. Sur la fin, c'était assez tendu. Shoot classique lorsque l'on connait la licence, ou les Parodius qui utilisent le même système. Ce Gradius III est un peu un megamix des opus 1 et 2. On retrouve les même stages, boss, ou autres vagues d'ennemis etc. C'est dommage car cela donne l'impression de rejouer une énième fois au même jeu ou presque. Personnellement, ça ne me dérange pas car j'aime la licence. Mais pour les autres, ça risque de mal passer. De plus, dans ce titre, l'animation souffre... Mais alors bien comme il faut. Comme un certain Super R Type, rien que ça ! On se retrouve donc avec cette fameuse sensation d'être dans de l'eau, à deux à l'heure ^^ Je crains pas, je préfère largement ça aux effacements de sprite, mais bon, c'est quand même pas très optimisé tout ça. Surtout quand tu vois le premier Parodius. Mais bon, trois ans d'écart les sépare...
Un petit shoot sympa, l'ambiance reste vraiment bonne, le gameplay au top, et le trip cool.
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Re: SNES - Parlons jeu
Titre : Acrobat Mission (Jap' only)
Genre : Shoot them up
Nombre de joueurs : 1
Sortie : 1992 (Jap' only)
Développeur : Micronics
Éditeur : Techiku
Autres plateformes : Arcade
- Mon avis 2023 -
Terminé en "Easy".
Shoot très sommaire avec des ziks moyennes et des graphismes un peu limite. Seuls quelques effets viennent "impressionner" un minimum. La petite particularité du titre qui m'a fait rigoler c'est qu'on peut tamponner les ennemis et les décors. Ca sert à rien, juste tu rebondis, mais c'est marrant. C'est tellement pas habituel que ça m'a suffit ^^
En dehors de tout ça, le gameplay est quand même sympa. C'est juste un peu trop léger face aux cadors du genre. Du coup pour moi c'est un shoot moyen.
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Re: SNES - Parlons jeu
Titre : Dimension Force (Jap'), D-Force (USA)
Genre : Shoot them up
Nombre de joueurs : 1
Sortie : 1991
Développeur : ISCO
Éditeur : Asmik Corporation of America
Autres plateformes : -
- Mon avis 2023 -
Terminé en "Easy". Il faut savoir qu'il y a des continues infini dans celui là. C'est cool, ça permet de ne pas se retaper tout le jeu à chaque fois. Mais bon, a-t-on envie d'aller au bout de ce jeu ? Moi ça va, j'y suis allé, il n'est pas bien long. Mais bon, je pense que je ne le toucherais plus jamais. Il y a tellement mieux sur MD et Snes...
Donc voilà, un peu comme pourrait l'être Fire Mustang sur MD, c'est moyen. Les musiques prennent la tête et les graphismes sont très limites. Le gameplay n'est pas évolué pour un sou et comble du comble, lorsque l'on perd une vie ou un continue, t'as quasiment aucune pénalité. Donc tu n'as même plus besoin de choper des items pour booster ton armement, il est déjà à fond ou presque. Alors peut-être que ça vient du mode "Easy", à voir dans les autres difficultés. La seule originalité c'est de pouvoir jongler à l'envie (Bouton R) sur deux plans : Haute altitude, basse altitude. Sur le papier c'est top, quand tu le découvres aussi mais ils ne l'ont pas du tout exploité (du moins en easy). Donc au final, tu ne t'en sers pas... Vraiment dommage car il y avait de quoi proposer des trucs de dingues.
C'tout !
wiiwii007- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
De plus, dans ce titre, l'animation souffre... Mais alors bien comme il faut. Comme un certain Super R Type, rien que ça !
Gradius III, je l'avais fait en version US il y a deux-trois ans, et j'avais trouvé que les critiques sur les ralentissements de l'animation étaient un brin exagérées, mais puisqu'elles sont quasi-unanimes...
Faut dire aussi que mon principal élément de comparaison à l'époque était Super R-Type... en PAL Le jeu est tellement lent qu'il constitue à sa manière une excellente initiation aux shmups, accessible à tous les joueurs qui ont laaaaargement le temps de voir venir les projectiles ennemis
François- Patient incurable
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Re: SNES - Parlons jeu
Comme tu dis tout dépend de l'expérience que l'on a dans le genre. Si tu n'as que Super R-Type comme comparatif, oui Gradius III est un poil moins violent je crois. Mais en comparaison avec les autres shoots, c'est ouf' !
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Re: SNES - Parlons jeu
Terminé !
Petit jeu d'action plateforme avec beaucoup de dialogues. On alterne les niveaux "action" de profil avec une partie un peu plus "aventure" en vue de dessus avec des villages, des pnj que l'on peut interroger etc. Alors attention, on n'est clairement pas dans un jeu d'aventure, c'est juste de la poudre aux yeux. Il n'y a quasiment rien à faire dans ces villages, pas d'énigme, pas de quêtes secondaires, rien. C'est juste un petit plus qui permet d'apporter un peu de consistance à un jeu d'action. Et pour ma part, j'ai trouvé ça moyen. Je m'explique : En soit j'aime bien l'idée. Le hic c'est que pour que ça fonctionne il aurait fallu, soit que les stages actions soient vraiment très bons dans leur conceptions, soit que la partie aventure ajoute un véritable plus avec des quêtes à faire, des objets à trouver etc. Là t'as ni l'un, ni l'autre, on se retrouve dans un entre deux pas dégueu, mais pas génial.
C'est vraiment dommage car le gameplay est bon et évolutif. Ca coince au niveau du level design trop gentil. Ca ne va pas assez loin pour que ce soit vraiment intéressant à jouer, et la facilité du jeu plombe encore un peu plus l'intérêt. Les musiques pareil, elles ne sont pas mauvaises, mais elles n'ajoutent pas la plus-value qui rendrait le titre marquant.
Ca peut paraître assez négatif comme avis et pourtant c'était pas si mal ^^
Petit jeu d'action plateforme avec beaucoup de dialogues. On alterne les niveaux "action" de profil avec une partie un peu plus "aventure" en vue de dessus avec des villages, des pnj que l'on peut interroger etc. Alors attention, on n'est clairement pas dans un jeu d'aventure, c'est juste de la poudre aux yeux. Il n'y a quasiment rien à faire dans ces villages, pas d'énigme, pas de quêtes secondaires, rien. C'est juste un petit plus qui permet d'apporter un peu de consistance à un jeu d'action. Et pour ma part, j'ai trouvé ça moyen. Je m'explique : En soit j'aime bien l'idée. Le hic c'est que pour que ça fonctionne il aurait fallu, soit que les stages actions soient vraiment très bons dans leur conceptions, soit que la partie aventure ajoute un véritable plus avec des quêtes à faire, des objets à trouver etc. Là t'as ni l'un, ni l'autre, on se retrouve dans un entre deux pas dégueu, mais pas génial.
C'est vraiment dommage car le gameplay est bon et évolutif. Ca coince au niveau du level design trop gentil. Ca ne va pas assez loin pour que ce soit vraiment intéressant à jouer, et la facilité du jeu plombe encore un peu plus l'intérêt. Les musiques pareil, elles ne sont pas mauvaises, mais elles n'ajoutent pas la plus-value qui rendrait le titre marquant.
Ca peut paraître assez négatif comme avis et pourtant c'était pas si mal ^^
wiiwii007- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Trop bon ce Gradius.wiiwii007 a écrit:
Titre : Gradius III
Genre : Shoot them up
Nombre de joueurs : 1 ou 2 alternativement
Sortie : 1990 (Jap'), 1991 (USA)
Développeur : Konami
Éditeur : Konami
Autres plateformes : Arcade (Konami GX945), PS2, Wii (CV)
- Mon avis 2023 -
Terminé en "Easy".
C'était pas une mince affaire. Sur la fin, c'était assez tendu. Shoot classique lorsque l'on connait la licence, ou les Parodius qui utilisent le même système. Ce Gradius III est un peu un megamix des opus 1 et 2. On retrouve les même stages, boss, ou autres vagues d'ennemis etc. C'est dommage car cela donne l'impression de rejouer une énième fois au même jeu ou presque. Personnellement, ça ne me dérange pas car j'aime la licence. Mais pour les autres, ça risque de mal passer. De plus, dans ce titre, l'animation souffre... Mais alors bien comme il faut. Comme un certain Super R Type, rien que ça ! On se retrouve donc avec cette fameuse sensation d'être dans de l'eau, à deux à l'heure ^^ Je crains pas, je préfère largement ça aux effacements de sprite, mais bon, c'est quand même pas très optimisé tout ça. Surtout quand tu vois le premier Parodius. Mais bon, trois ans d'écart les sépare...
Un petit shoot sympa, l'ambiance reste vraiment bonne, le gameplay au top, et le trip cool
Olida- Patient en incubation
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Re: SNES - Parlons jeu
J'ai terminé Little Magic, content de moi ^^
Franchement pas simple à la fin. Heureusement que ma copine était là pour m'aider sur 2, 3 stages, sinon j'y serais encore !
Je me suis toujours dit qu'il était dommage qu'il n'y ait eu aucun Adventure of Lolo sur Snes. J'aurais aimé 1 ou 2 opus... Et ben voilà, c'est réparé, Little Magic est le digne successeur des Lolo NES. De l'action réflexion comme j'aime. Simple au départ, et bien galère à la fin. Il y a 100 stages à terminer. Le gameplay est fixe mais le level design évolutif. Ca renouvelle les mécaniques constamment et permet au joueur de ne pas s'emmerder. Le délire avec les bulles est vraiment bien trouvé.
Je commence à avoir quelques très bons titres orienté réflexion sur Snes, c'est plaisant. Entre les Lost Viking, Equinox (tuerie celui là), Goof Troop, les Bomberman, Kirby's avalanche etc. Ca commence à être vraiment pas mal.
Bref, testez le, il vaut le coup.
Franchement pas simple à la fin. Heureusement que ma copine était là pour m'aider sur 2, 3 stages, sinon j'y serais encore !
Je me suis toujours dit qu'il était dommage qu'il n'y ait eu aucun Adventure of Lolo sur Snes. J'aurais aimé 1 ou 2 opus... Et ben voilà, c'est réparé, Little Magic est le digne successeur des Lolo NES. De l'action réflexion comme j'aime. Simple au départ, et bien galère à la fin. Il y a 100 stages à terminer. Le gameplay est fixe mais le level design évolutif. Ca renouvelle les mécaniques constamment et permet au joueur de ne pas s'emmerder. Le délire avec les bulles est vraiment bien trouvé.
Je commence à avoir quelques très bons titres orienté réflexion sur Snes, c'est plaisant. Entre les Lost Viking, Equinox (tuerie celui là), Goof Troop, les Bomberman, Kirby's avalanche etc. Ca commence à être vraiment pas mal.
Bref, testez le, il vaut le coup.
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Re: SNES - Parlons jeu
Essaies Power Soukoban...je m'en étais séparé il y a qques mois. Puzzle game exclu JP sur SFC. Pas courant.wiiwii007 a écrit:Je commence à avoir quelques très bons titres orienté réflexion sur Snes, c'est plaisant. Entre les Lost Viking, Equinox (tuerie celui là), Goof Troop, les Bomberman, Kirby's avalanche etc. Ca commence à être vraiment pas mal.
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Re: SNES - Parlons jeu
Et aussi Marvelous : Môhitotsu no Takarajima (et peut-être Wonder Project J également).
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Re: SNES - Parlons jeu
Oui je l'avais essayé celui là. Je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas continué, peut-être pas le bon moment. Il est sur ma listePops a écrit:Essaies Power Soukoban...je m'en étais séparé il y a qques mois. Puzzle game exclu JP sur SFC. Pas courant.wiiwii007 a écrit:Je commence à avoir quelques très bons titres orienté réflexion sur Snes, c'est plaisant. Entre les Lost Viking, Equinox (tuerie celui là), Goof Troop, les Bomberman, Kirby's avalanche etc. Ca commence à être vraiment pas mal.
J'ai essayé aujourd'hui "Marvelous" mais j'ai pas accroché au début. Peut-être une autre fois, là je sens que c'est pas le bon moment pour moi. Le deuxième je connais pas, à voir, merciRudolf III. a écrit:Et aussi Marvelous : Môhitotsu no Takarajima (et peut-être Wonder Project J également).
wiiwii007- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
Je comprends car c'était pareil pour moi la première fois, il y a quelques mois : le début de Marvelous m'avait bien perturbé, loin des jeux Nintendo habituels, donc j'avais laissé tomber également. Là, à ma récente tentative, j'ai mis 3 ou 4 heures avant d'adhérer à fond, et ce jusqu'à la fin (non pas parce que le jeu devient meilleur par la suite, même s'il le devient réellement, mais surtout parce qu'on rentre enfin dans le délire et qu'on s'acclimate pour de bon à son gameplay).
Ça m'a fait pareil avec d'autres jeux d'aventure atypiques de Nintendo, comme Pour la Grenouille Sonne le Glas sur Game Boy, ou Tout nouveau tout beau, Tingle voit la Vie en Rose à Rubis Land sur DS, ou même Chibi Robo sur Gamecube : jeux d'aventure/action très spéciaux, donc début de partie un peu difficile pour bien rentrer dedans, mais alors après deux ou trois heures, j'ai accroché à fond jusqu'à la fin (quand bien même je comprendrais très bien que d'autres joueurs n'y accrochent jamais car ils sont vraiment très atypiques pour des jeux Nintendo, tandis que les joueurs n'aimant pas spécialement les jeux Nintendo en temps normal ne penseraient pas spécialement à tester ces jeux-là qui sortent vraiment de ce qu'ils font habituellement).
Sinon, je pense vraiment que je ferai dans pas trop longtemps les deux Wonder Project J, sur SNES et N64. D'ici quelques mois, peut-être.
Ça m'a fait pareil avec d'autres jeux d'aventure atypiques de Nintendo, comme Pour la Grenouille Sonne le Glas sur Game Boy, ou Tout nouveau tout beau, Tingle voit la Vie en Rose à Rubis Land sur DS, ou même Chibi Robo sur Gamecube : jeux d'aventure/action très spéciaux, donc début de partie un peu difficile pour bien rentrer dedans, mais alors après deux ou trois heures, j'ai accroché à fond jusqu'à la fin (quand bien même je comprendrais très bien que d'autres joueurs n'y accrochent jamais car ils sont vraiment très atypiques pour des jeux Nintendo, tandis que les joueurs n'aimant pas spécialement les jeux Nintendo en temps normal ne penseraient pas spécialement à tester ces jeux-là qui sortent vraiment de ce qu'ils font habituellement).
Sinon, je pense vraiment que je ferai dans pas trop longtemps les deux Wonder Project J, sur SNES et N64. D'ici quelques mois, peut-être.
Rudolf III.- Docteur *
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Re: SNES - Parlons jeu
wiiwii007 a écrit:J'ai terminé Little Magic, content de moi ^^
Franchement pas simple à la fin. Heureusement que ma copine était là pour m'aider sur 2, 3 stages, sinon j'y serais encore !
Je me suis toujours dit qu'il était dommage qu'il n'y ait eu aucun Adventure of Lolo sur Snes. J'aurais aimé 1 ou 2 opus... Et ben voilà, c'est réparé, Little Magic est le digne successeur des Lolo NES. De l'action réflexion comme j'aime. Simple au départ, et bien galère à la fin. Il y a 100 stages à terminer. Le gameplay est fixe mais le level design évolutif. Ca renouvelle les mécaniques constamment et permet au joueur de ne pas s'emmerder. Le délire avec les bulles est vraiment bien trouvé.
Je commence à avoir quelques très bons titres orienté réflexion sur Snes, c'est plaisant. Entre les Lost Viking, Equinox (tuerie celui là), Goof Troop, les Bomberman, Kirby's avalanche etc. Ca commence à être vraiment pas mal.
Bref, testez le, il vaut le coup.
Me fait penser a Kickle Cubicle sur NES , un jeu que j'avais eu petit (je devais avoir 8/9 ans) et que j'avais adoré .
Pour moi meilleur que les LOLO mais sans doute la nostalgie qui parle car un de mes premier JVD .(idem pour Boxxle sur GB)
RPG- Patient incurable
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