JE VIENS DE MATER UN FILM !
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
c'est cathédrale qui en avait parlé il me semble?
Faudra que je me décide à regarder un de ces 4..(j'aime bien clive owen)
Faudra que je me décide à regarder un de ces 4..(j'aime bien clive owen)
"Envoyez plus de flics.."fofo.rider a écrit:Je viens de déterrer Le Retour des Morts vivants !!
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
cathédrale a très bon goût ... pour une foisavalon471 a écrit:c'est cathédrale qui en avait parlé il me semble ?
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Surement le meilleur rôle de sa carrière.avalon471 a écrit:c'est cathédrale qui en avait parlé il me semble?
Faudra que je me décide à regarder un de ces 4..(j'aime bien clive owen)
Lequintal- Interne
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
avalon471 a écrit:"Envoyez plus de flics.."fofo.rider a écrit:Je viens de déterrer Le Retour des Morts vivants !!
Oui.. ce film est exceptionnel !
Faut impérativement que j'arrive à mettre la main sur Le retour de Morts vivants II .. rien que le trailer vaut le détour !
iwillbeback- Interne
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
J'ai rematé les 2 woody Allen avec Emma Stone ...
Magic in the Moonlight nous emmène sur la French Riviera, dans les années 20 et en compagnie du duo Colin Firth-Emma Stone. L'alchimie ne semble pas être évidente entre les 2 acteurs et on sent que Colin Firth n'est pas très à l'aise dans l'univers de Woody Allen. Par contre Emma Stone est impeccable et est bien plus à l'aise que son partenaire masculin. A l'image de Scarlett Johansson quelques années auparavant, elle rayonne de milles feux sous la caméra de Woody Allen et correspond parfaitement au profil que l'on se fait de l'héroïne "allénienne", belle, fraiche et enjouée.
Woody Allen est très économe dans sa mise en scène et par conséquent le film ressemble beaucoup à une pièce de théâtre filmée. Les dialogues teintés d’humour font souvent (mais pas toujours) mouche, ce qui bien souvent (mais pas toujours) nous sauve de l'ennuie. De plus le tout est léger et charmant, mais un peu trop léger à mon goût. Les beaux paysages et la reconstitution des années 20 est très réussie, les images sont léchées, mais un manque de rythme rend le tout bien trop ennuyeux par moment. Le scénario tourne en rond autour de la question de la croyance et la confrontation entre Colin Firth "le rationnel" et Emma Stone "la croyante" s'essouffle trop vite. On comprends très vite que le personnage incarné par Emma Stone n'est pas si croyante que ça et qu'elle s'amuse de ce magicien (Colin Firth) aigri, misanthrope et rationnel. On espère que le film nous réserve des surprises sur la fin, mais non elles ne viennent jamais. Woody Allen est un réalisateur très méthodique, il expose sa théorie, mais au final il s’enfonce dedans. C'est que le réalisateur new yorkais a alors 78 ans lors du tournage du film et ça se ressent, il peine à retrouver la fougue de ses premiers films.
La recette allénienne ne prend pas cette fois-ci et le crue 2014 se révèle être un peu décevant, pas totalement raté mais bien loin du meilleur que ce que peut nous offrir Woody Allen.
L'Homme Irrationnel fait suite à Magic in the Moonlight et se révèle être fort heureusement bien plus réussi que ce dernier. Dès les premiers instants, on est fasciné par le jeu d'acteur de Joachim Phoenix en professeur dépressif et alcoolique (y compris en cours). Tout le film tourne autour de ce personnage, de ses 2 histoires d'amour avec une collègue (Parker Posey) et une jeune étudiante (Emma Stone), ainsi que de la préparation d'un meurtre.
Ce cru 2015 est un pur moment de délectation, tout s'enchaîne très vite et on n'a jamais le temps de s'ennuyer. Le scénario révèle de nombreuses surprises et même le dénouement final de cette terrible histoire est inattendu, sauf bien sûr pour les habitués du cinéma de Woody Allen qui auront vite compris les intentions du réalisateur. Mais peu importe que l'on ait deviné ou pas le dénouement final, ça ne diminue en rien notre plaisir en tant que spectateur, car le plaisir est ailleurs, dans le jeu des acteurs, les dialogues jubilatoires et l'énergie qui s'en dégage de l'ensemble. On retrouve la fausse légèreté, le ton désabusé, l’agressivité et enfin la violence d’un Match Point. Dés les premières minutes du film on se sent donc en terre connue, mais pas forcément en terrains conquis de crainte que Woody Allen nous ressorte une fois de plus sa recette habituelle, mais sans saveur. Les premiers instants nous avaient mis la puce à l’oreille, une mise en scène dynamique, un ton méchant et acerbe, le charisme naturel de Joachim Phoenix, la séduction d'Emma Stone ... et au final le film prend la forme exacte qu’on supposait et surtout il tient toutes ses promesses.
Les fans de Woody Allen ne pourront s’empêcher de constater une certaine prévisibilité dans la mécanique de ce cru 2015. Mais voilà, on prend énormément de plaisir à nous faire balader par l’intelligence du scénario et on sent que Woody Allen s’amuse vraiment de et avec nous en brouillant les pistes.
Magic in the Moonlight nous emmène sur la French Riviera, dans les années 20 et en compagnie du duo Colin Firth-Emma Stone. L'alchimie ne semble pas être évidente entre les 2 acteurs et on sent que Colin Firth n'est pas très à l'aise dans l'univers de Woody Allen. Par contre Emma Stone est impeccable et est bien plus à l'aise que son partenaire masculin. A l'image de Scarlett Johansson quelques années auparavant, elle rayonne de milles feux sous la caméra de Woody Allen et correspond parfaitement au profil que l'on se fait de l'héroïne "allénienne", belle, fraiche et enjouée.
Woody Allen est très économe dans sa mise en scène et par conséquent le film ressemble beaucoup à une pièce de théâtre filmée. Les dialogues teintés d’humour font souvent (mais pas toujours) mouche, ce qui bien souvent (mais pas toujours) nous sauve de l'ennuie. De plus le tout est léger et charmant, mais un peu trop léger à mon goût. Les beaux paysages et la reconstitution des années 20 est très réussie, les images sont léchées, mais un manque de rythme rend le tout bien trop ennuyeux par moment. Le scénario tourne en rond autour de la question de la croyance et la confrontation entre Colin Firth "le rationnel" et Emma Stone "la croyante" s'essouffle trop vite. On comprends très vite que le personnage incarné par Emma Stone n'est pas si croyante que ça et qu'elle s'amuse de ce magicien (Colin Firth) aigri, misanthrope et rationnel. On espère que le film nous réserve des surprises sur la fin, mais non elles ne viennent jamais. Woody Allen est un réalisateur très méthodique, il expose sa théorie, mais au final il s’enfonce dedans. C'est que le réalisateur new yorkais a alors 78 ans lors du tournage du film et ça se ressent, il peine à retrouver la fougue de ses premiers films.
La recette allénienne ne prend pas cette fois-ci et le crue 2014 se révèle être un peu décevant, pas totalement raté mais bien loin du meilleur que ce que peut nous offrir Woody Allen.
L'Homme Irrationnel fait suite à Magic in the Moonlight et se révèle être fort heureusement bien plus réussi que ce dernier. Dès les premiers instants, on est fasciné par le jeu d'acteur de Joachim Phoenix en professeur dépressif et alcoolique (y compris en cours). Tout le film tourne autour de ce personnage, de ses 2 histoires d'amour avec une collègue (Parker Posey) et une jeune étudiante (Emma Stone), ainsi que de la préparation d'un meurtre.
Ce cru 2015 est un pur moment de délectation, tout s'enchaîne très vite et on n'a jamais le temps de s'ennuyer. Le scénario révèle de nombreuses surprises et même le dénouement final de cette terrible histoire est inattendu, sauf bien sûr pour les habitués du cinéma de Woody Allen qui auront vite compris les intentions du réalisateur. Mais peu importe que l'on ait deviné ou pas le dénouement final, ça ne diminue en rien notre plaisir en tant que spectateur, car le plaisir est ailleurs, dans le jeu des acteurs, les dialogues jubilatoires et l'énergie qui s'en dégage de l'ensemble. On retrouve la fausse légèreté, le ton désabusé, l’agressivité et enfin la violence d’un Match Point. Dés les premières minutes du film on se sent donc en terre connue, mais pas forcément en terrains conquis de crainte que Woody Allen nous ressorte une fois de plus sa recette habituelle, mais sans saveur. Les premiers instants nous avaient mis la puce à l’oreille, une mise en scène dynamique, un ton méchant et acerbe, le charisme naturel de Joachim Phoenix, la séduction d'Emma Stone ... et au final le film prend la forme exacte qu’on supposait et surtout il tient toutes ses promesses.
Les fans de Woody Allen ne pourront s’empêcher de constater une certaine prévisibilité dans la mécanique de ce cru 2015. Mais voilà, on prend énormément de plaisir à nous faire balader par l’intelligence du scénario et on sent que Woody Allen s’amuse vraiment de et avec nous en brouillant les pistes.
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
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Bon petit film de fin du monde
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
J'ai rematé 127 heures ...
127 heures, c'est du 100% Danny Boyle. On y retrouve tous les tics de réalisation qui traversent sa filmo et tous les thèmes qui l'obsèdent. Si vous n'aimez pas le style Danny Boyle, ce n'est pas ce film qui va vous réconcilier avec le bonhomme.
127 heures c'est l'histoire vraie d'un jeune alpiniste Aron Ralston, pourtant expérimenté, qui se retrouve bloqué au fond d'un canyon isolé lorsqu'un rocher s'éboule, lui emprisonnant le bras. Comme tous les films de Danny Boyle, 127 heures c'est un film centré sur son personnage principal (character storyline). On suit donc l'évolution psychologique de Aron Ralston, qui passe par tous les états, le désespoir, l’aliénation, l’espérance, le regret, le salut et la rédemption. Ce sont tous les thèmes qui traversent la filmo de Boyle, de Trainspotting à Slumdog Millionaire, en passant par Sunshine et 28 jours plus tard. Le réalisateur use et abuse de ses effets de style, les plans ultra cuttés, les plans à la première personne, les split screen, la caméra en perpétuel mouvement, la photo ultra travaillée avec des couleurs très vives et une narration non linéaire. Et la mise en scène colle à l'état d'esprit du personnage, avec mise en images très "stylisée" des hallucinations et des souvenirs passés du personnage qui la lutte pour sa survie. Danny Boyle c'est tout pour la forme, ce qui sera parfaitement illustré à la fin du film, lorsque arrive l'insoutenable (et limite racoleuse) dernière scène dans le canyon. Inutile de préciser ici de quoi il s'agit, vous le savez probablement déjà ... sinon je vous laisse la surprise. Et pour une fois, James Franco est très bon. L'idée que je me faisait de l'acteur, égocentrique et irritant au possible, colle parfaitement au caractère égoïste et assez branleur du personnage qu'il incarne.
Forcément, l'intérêt principal de 127 heures réside dans le fait que c'est une histoire vraie. C'est toujours plus alléchant pour l'amateur de drames bien réels, même si cela désamorce en partie le suspense. Mais ce qui fait passer le film à un niveau encore supérieur, c'est la vision unique de Danny Boyle et la performance d'acteur de James Franco.
127 heures, c'est du 100% Danny Boyle. On y retrouve tous les tics de réalisation qui traversent sa filmo et tous les thèmes qui l'obsèdent. Si vous n'aimez pas le style Danny Boyle, ce n'est pas ce film qui va vous réconcilier avec le bonhomme.
127 heures c'est l'histoire vraie d'un jeune alpiniste Aron Ralston, pourtant expérimenté, qui se retrouve bloqué au fond d'un canyon isolé lorsqu'un rocher s'éboule, lui emprisonnant le bras. Comme tous les films de Danny Boyle, 127 heures c'est un film centré sur son personnage principal (character storyline). On suit donc l'évolution psychologique de Aron Ralston, qui passe par tous les états, le désespoir, l’aliénation, l’espérance, le regret, le salut et la rédemption. Ce sont tous les thèmes qui traversent la filmo de Boyle, de Trainspotting à Slumdog Millionaire, en passant par Sunshine et 28 jours plus tard. Le réalisateur use et abuse de ses effets de style, les plans ultra cuttés, les plans à la première personne, les split screen, la caméra en perpétuel mouvement, la photo ultra travaillée avec des couleurs très vives et une narration non linéaire. Et la mise en scène colle à l'état d'esprit du personnage, avec mise en images très "stylisée" des hallucinations et des souvenirs passés du personnage qui la lutte pour sa survie. Danny Boyle c'est tout pour la forme, ce qui sera parfaitement illustré à la fin du film, lorsque arrive l'insoutenable (et limite racoleuse) dernière scène dans le canyon. Inutile de préciser ici de quoi il s'agit, vous le savez probablement déjà ... sinon je vous laisse la surprise. Et pour une fois, James Franco est très bon. L'idée que je me faisait de l'acteur, égocentrique et irritant au possible, colle parfaitement au caractère égoïste et assez branleur du personnage qu'il incarne.
Forcément, l'intérêt principal de 127 heures réside dans le fait que c'est une histoire vraie. C'est toujours plus alléchant pour l'amateur de drames bien réels, même si cela désamorce en partie le suspense. Mais ce qui fait passer le film à un niveau encore supérieur, c'est la vision unique de Danny Boyle et la performance d'acteur de James Franco.
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
J'ai rematé Her ...
Spike Jonze est un réalisateur qui, au vu de sa filmographie, se fait bien trop rare, avec seulement 4 films sur ces 20 dernières années et toujours aucune sortie depuis Her (2013). Mais toujours est-il que peu de réalisateurs peuvent se targuer de manier aussi bien et avec autant d'habilité, originalité du scénario et intelligence du propos, d'où une filmographie d'exception.
Her est un film SF d'anticipation qui se démarque de la concurrence de part son originalité, ainsi que par la sensibilité de son scénario avec des touches humoristiques vraiment bien senties. En instance de divorce, Théodore (Joaquim Phoenix) trouve un palliatif à sa solitude auprès d'un programme informatique fort original qui, par le biais d'une simple voix (Scarlett Johansson), va le bouleverser à tel point qu'elle va devenir sa nouvelle compagne "virtuelle". Il en découle beaucoup de sensibilité dans les sentiments amoureux "cyber-humain" qui animent ces 2 êtres, mais aussi quelques situations fort cocasses. On se prend très vite d'affection, voir même on s'identifie à notre héros au regard si triste. Les dialogues percutants ainsi que les nombreuses surprises du scénario, font qu'on ne s'ennuie jamais. Les scènes d'anthologie sont nombreuses, à commencer par les tentatives maladroites (et à l'issue désastreuse) de l'héroïne, pour provoquer son union avec Théodore. C'est parfois drôle et toujours tendre, révélant la force des sentiments réciproques animant ces 2 êtres si différents. C'est brillamment réalisé, mais aussi et surtout superbement interprété avec un Joaquin Phoenix hors normes, la voix enivrante de Scarlett Johansson et un casting secondaire impressionnant (Rooney Mara, Amy Adams, Olivia Wilde ...).
Her est le genre de film qui vous pousse à réfléchir sur les dérives de notre société actuelle et qui vous hante pendant un bon moment. C'est un film hautement recommandable, qui rappelle par bien des côtés le génie déjà perçu précédemment dans Adaptation et Dans la peau de John Malkovich.
Spike Jonze est un réalisateur qui, au vu de sa filmographie, se fait bien trop rare, avec seulement 4 films sur ces 20 dernières années et toujours aucune sortie depuis Her (2013). Mais toujours est-il que peu de réalisateurs peuvent se targuer de manier aussi bien et avec autant d'habilité, originalité du scénario et intelligence du propos, d'où une filmographie d'exception.
Her est un film SF d'anticipation qui se démarque de la concurrence de part son originalité, ainsi que par la sensibilité de son scénario avec des touches humoristiques vraiment bien senties. En instance de divorce, Théodore (Joaquim Phoenix) trouve un palliatif à sa solitude auprès d'un programme informatique fort original qui, par le biais d'une simple voix (Scarlett Johansson), va le bouleverser à tel point qu'elle va devenir sa nouvelle compagne "virtuelle". Il en découle beaucoup de sensibilité dans les sentiments amoureux "cyber-humain" qui animent ces 2 êtres, mais aussi quelques situations fort cocasses. On se prend très vite d'affection, voir même on s'identifie à notre héros au regard si triste. Les dialogues percutants ainsi que les nombreuses surprises du scénario, font qu'on ne s'ennuie jamais. Les scènes d'anthologie sont nombreuses, à commencer par les tentatives maladroites (et à l'issue désastreuse) de l'héroïne, pour provoquer son union avec Théodore. C'est parfois drôle et toujours tendre, révélant la force des sentiments réciproques animant ces 2 êtres si différents. C'est brillamment réalisé, mais aussi et surtout superbement interprété avec un Joaquin Phoenix hors normes, la voix enivrante de Scarlett Johansson et un casting secondaire impressionnant (Rooney Mara, Amy Adams, Olivia Wilde ...).
Her est le genre de film qui vous pousse à réfléchir sur les dérives de notre société actuelle et qui vous hante pendant un bon moment. C'est un film hautement recommandable, qui rappelle par bien des côtés le génie déjà perçu précédemment dans Adaptation et Dans la peau de John Malkovich.
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
J'ai regardé MASH hier, enfin seulement 40 minutes, puis j'ai coupé tellement je trouvais ça chiant. Pourtant je l'avais vu il y a une quinzaine d'années et j'en gardais un assez bon souvenir. Il me semble que j'avais eu un peu de mal à rentrer dedans, mais qu'au final ça m'avait bien plu.
Mais alors là... En 40 minutes je n'ai même pas souri une seule fois.
Mais alors là... En 40 minutes je n'ai même pas souri une seule fois.
Carzou- Guéri miraculeux
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
+1, très beau film, il aborde le sujet avec beaucoup d'habileté : la déception, le détachement, qui contrastent avec ce besoin fondamental de se raccrocher à quelque chose.lessthantod a écrit:J'ai rematé Her ...
[...]
Her est le genre de film qui vous pousse à réfléchir sur les dérives de notre société actuelle et qui vous hante pendant un bon moment. C'est un film hautement recommandable, qui rappelle par bien des côtés le génie déjà perçu précédemment dans Adaptation et Dans la peau de John Malkovich.
Dans la même veine, et pour des raisons diverses, je recommande :
- Black Mirror (les dérives de la technologie). Super déprimant, par contre .
- Ex Machina (la séduction homme/IA).
- le jeu Firewatch (un héros isolé avec pour seule compagnie sa collègue au talkie-walkie).
Bon, ce ne sont que des trucs connus, vous avez certainement déjà vu.
TheoSaeba- Guéri miraculeux
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Ohhh, il est génial ce film et Donald Sutherland est encore plus que génial dedans (et en plus il est encore vivant, lui). Je ne suis pas le plus grand fan du cinéma de Robert Altman, mais alors MASH, The Player et Short Cuts, c'est vraiment excellent.Carzou a écrit:J'ai regardé MASH hier, enfin seulement 40 minutes, puis j'ai coupé tellement je trouvais ça chiant. Pourtant je l'avais vu il y a une quinzaine d'années et j'en gardais un assez bon souvenir. Il me semble que j'avais eu un peu de mal à rentrer dedans, mais qu'au final ça m'avait bien plu.
Mais alors là... En 40 minutes je n'ai même pas souri une seule fois.
Merci, je note :)TheoSaeba a écrit:Dans la même veine, et pour des raisons diverses, je recommande :
- Black Mirror (les dérives de la technologie). Super déprimant, par contre .
TheoSaeba a écrit:Ex Machina (la séduction homme/IA).
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
On évoluent tous différemment,perso je crois qu'aujourd'hui j'aurais beaucoup de mal à regarder du Charlie Chaplin ou Laurel et Hardy (je ne tente même pas de peur d'être déçu de mes souvenirs) par contre MASH ça passe toujours très bien!TheoSaeba a écrit:regardé MASH En 40 minutes je n'ai même pas souri une seule fois.
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Je viens de voir 1917
On voit quand même facilement à quels moments le "plan" a été découpé. J'ai eu du mal à accrocher à l'histoire.
Pour moi, c'est à voir une fois.
On voit quand même facilement à quels moments le "plan" a été découpé. J'ai eu du mal à accrocher à l'histoire.
Pour moi, c'est à voir une fois.
Maxicrash- Interne
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Date d'inscription : 21/11/2017
Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
je m'étais dit
-quand ils entrent dans la galerie allemande (écran noir)
-quand ils en sortent
-quand il s'évanouit après le choc à la tête
-lors du plongeon dans la rivière
Mais même avec ça le film reste immersif et très bon!
-quand ils entrent dans la galerie allemande (écran noir)
-quand ils en sortent
-quand il s'évanouit après le choc à la tête
-lors du plongeon dans la rivière
Mais même avec ça le film reste immersif et très bon!
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Je viens de regarder "l'homme qui a tué hitler et puis le big-foot".
Passé la torture du doublage Français vraiment a chier, c'est un bon petit film sans grande surprise mais avec deux ou trois bonnes morales ici et la.
Tout est dans le titre, et c'est ce dernier qui m'a attiré (drole de titre non ?), et aussi le casting (Sam Elliott, Aidan turner...).
Par contre, c'est trés...calme..lent...j'aime quoi...
Passé la torture du doublage Français vraiment a chier, c'est un bon petit film sans grande surprise mais avec deux ou trois bonnes morales ici et la.
Tout est dans le titre, et c'est ce dernier qui m'a attiré (drole de titre non ?), et aussi le casting (Sam Elliott, Aidan turner...).
Par contre, c'est trés...calme..lent...j'aime quoi...
dav1974- Interne
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
je zappe et je tombe sur l'aventure fantastique sur le sat
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Aventure_fantastique
je regarde quelques minutes , ne connaissant pas.
les deux personnages principaux arrivent dans une maison où se trouve plusieurs hommes et là, c'est la cata !!
Plusieurs voix de doubles ont des accents Marseillais
Jamais vu ça. dans un film US style western. mazette
Bon, je pense quand même retenter le coup.
Mais ça va pas être facile.
Dernière édition par rhod-atari le Dim 7 Fév 2021 - 13:25, édité 1 fois
Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Revu Gravity ...
Après ce second visionnage depuis sa sortie ciné, mon avis n'aura pas changé. Gravity c'est d'abord une véritable prouesse technique au service d'une mise en scène prodigieuse avec tous ces longs plans séquences parfaitement étudiés. Pour commencer, les premières 15 minutes sont excellentes en nous mettant directement au cœur de l'histoire, sans épilogue inutile. Ensuite, on est haleté pendant presque 1H00 de film par les catastrophes qui se succèdent à un rythme soutenu et seul le dernier 1/4 d'heure semble un peu précipité. En tout cas, on est tout de suite happé par le film et il nous laisse aucun temps de répit, en multipliant les rebondissements et les scènes de tensions pour les personnages. D'un point de vue technique, c'est une réalisation numérique et ça se sent. La caméra semble faire des mouvements irréels et repousse les limites de l'impossible. Non vraiment, c'est un pur bonheur de mise en scène.
Par contre un petit défaut qui apparaît lors de ce premier visionnage en DVD, c'est l'omniprésence des CGI. On porte plus attention aux petits détails qui trahissent l'imagerie numérique, ce qui rend le film un chouilla artificiel. Bon je chipote, l'immersion est quasi totale !
Bref, Gravity c'est une totale réussite sur la forme, mais c'est un peu faiblard sur le fond. Certains pourront lui reprocher une histoire simple, voir un peu simpliste !
Après ce second visionnage depuis sa sortie ciné, mon avis n'aura pas changé. Gravity c'est d'abord une véritable prouesse technique au service d'une mise en scène prodigieuse avec tous ces longs plans séquences parfaitement étudiés. Pour commencer, les premières 15 minutes sont excellentes en nous mettant directement au cœur de l'histoire, sans épilogue inutile. Ensuite, on est haleté pendant presque 1H00 de film par les catastrophes qui se succèdent à un rythme soutenu et seul le dernier 1/4 d'heure semble un peu précipité. En tout cas, on est tout de suite happé par le film et il nous laisse aucun temps de répit, en multipliant les rebondissements et les scènes de tensions pour les personnages. D'un point de vue technique, c'est une réalisation numérique et ça se sent. La caméra semble faire des mouvements irréels et repousse les limites de l'impossible. Non vraiment, c'est un pur bonheur de mise en scène.
Par contre un petit défaut qui apparaît lors de ce premier visionnage en DVD, c'est l'omniprésence des CGI. On porte plus attention aux petits détails qui trahissent l'imagerie numérique, ce qui rend le film un chouilla artificiel. Bon je chipote, l'immersion est quasi totale !
Bref, Gravity c'est une totale réussite sur la forme, mais c'est un peu faiblard sur le fond. Certains pourront lui reprocher une histoire simple, voir un peu simpliste !
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Vu "Sparring" (Netflix). Petite tranche de vie sur un boxeur avec une carrière "moyenne", un peu mytho, un peu frustré, mais bon père de famille qui se prend les pieds dans le tapis pour faire plaisir a sa fille et ne pas passer pour une merde.
Quelques scènes qui m'ont fait "mal" (les chiottes remplis de sang...et vite tirer la chasse pour pas que maman le voit, ou plus tard ma femme), Un Kassovitz qui m'a retourné parce que le film pourrait être la bio d'un ami complétement démonté par sa carrière merdique (kikou Lucas). Voila, a pas regarder un jour de pluie.
Quelques scènes qui m'ont fait "mal" (les chiottes remplis de sang...et vite tirer la chasse pour pas que maman le voit, ou plus tard ma femme), Un Kassovitz qui m'a retourné parce que le film pourrait être la bio d'un ami complétement démonté par sa carrière merdique (kikou Lucas). Voila, a pas regarder un jour de pluie.
dav1974- Interne
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Revu Blue Jasmine ...
Avec Blue Jasmine, Woody Allen décrit très bien comment des gens aisés peuvent s'enfermer dans le malheur, ceci pour des raisons de pudeur sociale et d'incompatibilité avec la notion de "bonheur".
Cate Blanchett fait ici son entrée dans le cinéma de Woody Allen et elle est éblouissante dans le rôle de cette millionnaire qui, du jour au lendemain, doit renoncer à une vie dorée où tout n'est que confort, luxe et argent. Elle parvient avec aisance et grand naturel à nous faire ressentir comment son personnage Blue Jasmine, la reine de la haute société new yorkaise, chute de son trône puis enchaine déceptions et désillusions. Les différents flashbacks insérés tout au long du film nous dévoilent peu à peu les engrenages de cette chute et donnent un nouveau éclairage sur la trajectoire de ce personnage.
Blue Jasmine est un personnage merveilleusement bien écrit et qui se révèle être un rôle en or pour Kate Blanchette. C'est un personnage "aux mille facettes", un personnage effrayant à bien des égards, parfois folle, parfois alcoolique, menteuse pathologique qui essaie de sauver les apparences, alors que c'est une femme tout simplement paumée. Cette femme qui semblait forte au premier abord et déterminée à trouver le bonheur en faisant un "bon" mariage (bon=fortuné), s'est cachée toute sa vie derrière un bouclier protecteur, car se savant en réalité trop fragile. Quant à sa sœur, elle qui semblait plus fragile au premier abord et moins ambitieuse, sera au final plus forte et encline à trouver le bonheur. Woody Allen s'attaque ici aux faux-semblants et à la perception erronée qu'on peut avoir d'autrui.
Bref, Blue Jasmine c'est du grand Woody Allen, l'œuvre miroir et encore plus sombre de Une Autre Femme avec Cate Blanchett dans le rôle de Gena Rowlands. La morale du film est à la fois simple et belle, à savoir que l'argent ne fait pas toujours le bonheur. Alors certes, cela ne suffit pas à en faire un bon scénario, avec son lot de clichés bien connus au sujet de l'argent, mais l'essentiel est ailleurs ... à savoir l'écriture des personnages, des dialogues délicieux et des situations jubilatoires.
Au cas où je ne l'aurais pas suffisant dit et histoire d'en remettre une dernière couche, Cate Blanchett est absolument sublime.
Avec Blue Jasmine, Woody Allen décrit très bien comment des gens aisés peuvent s'enfermer dans le malheur, ceci pour des raisons de pudeur sociale et d'incompatibilité avec la notion de "bonheur".
Cate Blanchett fait ici son entrée dans le cinéma de Woody Allen et elle est éblouissante dans le rôle de cette millionnaire qui, du jour au lendemain, doit renoncer à une vie dorée où tout n'est que confort, luxe et argent. Elle parvient avec aisance et grand naturel à nous faire ressentir comment son personnage Blue Jasmine, la reine de la haute société new yorkaise, chute de son trône puis enchaine déceptions et désillusions. Les différents flashbacks insérés tout au long du film nous dévoilent peu à peu les engrenages de cette chute et donnent un nouveau éclairage sur la trajectoire de ce personnage.
Blue Jasmine est un personnage merveilleusement bien écrit et qui se révèle être un rôle en or pour Kate Blanchette. C'est un personnage "aux mille facettes", un personnage effrayant à bien des égards, parfois folle, parfois alcoolique, menteuse pathologique qui essaie de sauver les apparences, alors que c'est une femme tout simplement paumée. Cette femme qui semblait forte au premier abord et déterminée à trouver le bonheur en faisant un "bon" mariage (bon=fortuné), s'est cachée toute sa vie derrière un bouclier protecteur, car se savant en réalité trop fragile. Quant à sa sœur, elle qui semblait plus fragile au premier abord et moins ambitieuse, sera au final plus forte et encline à trouver le bonheur. Woody Allen s'attaque ici aux faux-semblants et à la perception erronée qu'on peut avoir d'autrui.
Bref, Blue Jasmine c'est du grand Woody Allen, l'œuvre miroir et encore plus sombre de Une Autre Femme avec Cate Blanchett dans le rôle de Gena Rowlands. La morale du film est à la fois simple et belle, à savoir que l'argent ne fait pas toujours le bonheur. Alors certes, cela ne suffit pas à en faire un bon scénario, avec son lot de clichés bien connus au sujet de l'argent, mais l'essentiel est ailleurs ... à savoir l'écriture des personnages, des dialogues délicieux et des situations jubilatoires.
Au cas où je ne l'aurais pas suffisant dit et histoire d'en remettre une dernière couche, Cate Blanchett est absolument sublime.
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
J'ai vu La La Land.
Je ne suis pas trop sensible aux comédies musicales, mais là, j'ai vraiment bien aimé: l'ambiance rétro, les costumes, les danses, les musiques, et le duo Gosling/Stone .
J'en suis encore tout ému!
Je ne suis pas trop sensible aux comédies musicales, mais là, j'ai vraiment bien aimé: l'ambiance rétro, les costumes, les danses, les musiques, et le duo Gosling/Stone .
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TheoSaeba- Guéri miraculeux
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
C'est impossible de ne pas tomber amoureux d'Emma Stone dans ce filmTheoSaeba a écrit:J'ai vu La La Land.
Je ne suis pas trop sensible aux comédies musicales, mais là, j'ai vraiment bien aimé: l'ambiance rétro, les costumes, les danses, les musiques, et le duo Gosling/Stone .
J'en suis encore tout ému!
polton- Infirmier
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Je n'ai pas vu beaucoup de films avec elle, mais elle est émouvante à chaque fois.
Dans La Couleur des Sentiments, quoi!
Ryan Gosling n'est pas en reste, quel charmeur celui-là!
Dans La Couleur des Sentiments, quoi!
Ryan Gosling n'est pas en reste, quel charmeur celui-là!
TheoSaeba- Guéri miraculeux
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Perso , j étais déjà acquis à sa cause depuis longtemps. C est bien le seul film où je trouve que Ryan Gosling apporte une plus-value. Il n'y a rien à faire il me sort des films quasi à chaque fois. Dans la la Land il exteriorise un peu son jeu c'est appréciableTheoSaeba a écrit:Je n'ai pas vu beaucoup de films avec elle, mais elle est émouvante à chaque fois.
Dans La Couleur des Sentiments, quoi!
Ryan Gosling n'est pas en reste, quel charmeur celui-là!
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Le seul ? Tsss, tsss, tssspolton a écrit:C est bien le seul film où je trouve que Ryan Gosling apporte une plus-value.
- Spoiler:
Dans L'homme irrationnel, quoi !TheoSaeba a écrit:Je n'ai pas vu beaucoup de films avec elle, mais elle est émouvante à chaque fois.
Dans La Couleur des Sentiments, quoi!
Et dans Crazy Stupid Love aussi
(et encore avec Ryan Gosling)
Dernière édition par lessthantod le Lun 8 Fév 2021 - 12:42, édité 1 fois
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Pour moi refn est un imposteurlessthantod a écrit:Tsss, tsss, tsss ...polton a écrit:C est bien le seul film où je trouve que Ryan Gosling apporte une plus-value.Et dans Crazy Stupid Love aussiTheoSaeba a écrit:Je n'ai pas vu beaucoup de films avec elle, mais elle est émouvante à chaque fois.
Dans La Couleur des Sentiments, quoi!
(et encore avec Ryan Goslin)
Et sans carey Mulligan je n'aurais pas fini le film
polton- Infirmier
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Pour moi refn est un Masterpolton a écrit:Pour moi refn est un imposteur
Et sans carey Mulligan je n'aurais pas fini le film
La trilogie Pusher, Valhalla Rising et Drive font parti des mes films préférés de ces 2 dernières décennies.
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Soit. Ryan Gosling il m'a bien fait rire dans the nice guys. En fait je ne suis pas sensible à ses rôles d'introvertilessthantod a écrit:Pour moi refn est un Masterpolton a écrit:Pour moi refn est un imposteur
Et sans carey Mulligan je n'aurais pas fini le film
La trilogie Pusher, Valhalla Rising et Drive font parti des mes films préférés de ces 2 dernières décennies.
polton- Infirmier
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Jason X.. histoire de sortir des films tout publics (vive le 2nd degré) :)
iwillbeback- Interne
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Je viens de mater "Monster Hunter"...
Heu...
...
...
Ben...putain avec ce budget ils auraient pu faire un méga film épique....pis ça commence pas si trop mal..pendant 2 minutes j'ai presque cru au miracle..puis la moumoute de Ron Perlman..pis le montage...pis rien quoi...de la merde..Paul Ws anderson a encore chié sur une licence.
Heu...
...
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Ben...putain avec ce budget ils auraient pu faire un méga film épique....pis ça commence pas si trop mal..pendant 2 minutes j'ai presque cru au miracle..puis la moumoute de Ron Perlman..pis le montage...pis rien quoi...de la merde..Paul Ws anderson a encore chié sur une licence.
dav1974- Interne
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Date d'inscription : 20/08/2013
Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
Avez vous remarqué que les doublages de certains films (..typiak) sont passé du Français canadien a une sorte d'accent Allemand tout chelou ?
On a regardé "wrong turn" par exemple, et j'arrive vraiment pas a savoir par qui c'est doublé (en VF je veux dire). Ça fait même pas petit budget, c'est vraiment l'accent qui cloche et la façon de découper les phrases, presque synthétique.
Et hier soir même topo avec Sputnik (le soit disant nouvel alien...on en est loin)...les doublages sont..froids...alors peut être a cause du Covid et que les équipes de doublages ne sont pas des Francophones qui doublent les acteurs sans même comprendre ce qu'ils disent (ça donne vraiment cette impression dans Wrong turn par exemple)...
Enfin pour resumer, deux films qui ne valent pas le coup de les louer en VOD, c'est vraiment du bas de gamme.
On a regardé "wrong turn" par exemple, et j'arrive vraiment pas a savoir par qui c'est doublé (en VF je veux dire). Ça fait même pas petit budget, c'est vraiment l'accent qui cloche et la façon de découper les phrases, presque synthétique.
Et hier soir même topo avec Sputnik (le soit disant nouvel alien...on en est loin)...les doublages sont..froids...alors peut être a cause du Covid et que les équipes de doublages ne sont pas des Francophones qui doublent les acteurs sans même comprendre ce qu'ils disent (ça donne vraiment cette impression dans Wrong turn par exemple)...
Enfin pour resumer, deux films qui ne valent pas le coup de les louer en VOD, c'est vraiment du bas de gamme.
dav1974- Interne
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Re: JE VIENS DE MATER UN FILM !
sputnik peut être doublé par des russes bilingues plus ou moins vu que le film est russe ? détour mortel pareil vu que c'est un film allemand en partie ? t'aurais pas eu de bol coup sur coupdav1974 a écrit:Avez vous remarqué que les doublages de certains films (..typiak) sont passé du Français canadien a une sorte d'accent Allemand tout chelou ?
On a regardé "wrong turn" par exemple, et j'arrive vraiment pas a savoir par qui c'est doublé (en VF je veux dire). Ça fait même pas petit budget, c'est vraiment l'accent qui cloche et la façon de découper les phrases, presque synthétique.
Et hier soir même topo avec Sputnik (le soit disant nouvel alien...on en est loin)...les doublages sont..froids...alors peut être a cause du Covid et que les équipes de doublages ne sont pas des Francophones qui doublent les acteurs sans même comprendre ce qu'ils disent (ça donne vraiment cette impression dans Wrong turn par exemple)...
Enfin pour resumer, deux films qui ne valent pas le coup de les louer en VOD, c'est vraiment du bas de gamme.
puis il faudrait voir la source et la version qui a servi au rip
polton- Infirmier
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