[Test]Ristar pour Game Gear
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drfloyd
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[Test]Ristar pour Game Gear
Éditeur : Sega
Développeur : Sonic Team
Genre : plateforme
Nombre de joueurs : un
Support: Game Gear
Existe aussi sur : Megadrive, console virtuelle Wii, Playstation 2 ( déblocable dans Sonic Mega Collection Plus) et Gamecube ( déblocable dans Sonic Mega Collection ).
Sortie : 1995
J'ai aussi le livret ... quelque part dans la maison ...
1995, une année où les joueurs découvraient ébahis la Playstation et la Saturn, raz de marée 32 bits avec support CD. Le front de la guerre des consoles semble s'être déplacé et pourtant à la même époque, Sega sortait encore un jeu pour sa Megadrive et sa Game Gear. Ultime chant du cygne ou pétard mouillé, nous allons découvrir ca.
Ristar est donc l'un des derniers jeux Sega officiels sortis sur cartouche. Le titre met en scène une étoile filante réveillée pour protéger le système solaire de Valdi envahi par le pirate de l'espace Greedy. Ristar devra nettoyer 6 planètes, et ce n'est pas parce qu'elle a une bouille adorable qu'elle est sans défense !
Après une petite introduction vous expliquant le contexte du jeu, vous accédez à l'écran titre où vous pouvez aller dans les options : pas de de niveaux de difficultés sélectionnables, mais la possibilité d'écouter les différentes musiques du jeu et de rentrer un mot de passe pour reprendre votre progression.
On notera au passage que les versions Game Gear et Megadrive se distinguent au niveau du level design : posséder les deux n'est donc pas superflu. De même les mots de passe ne sont identiques.
Chaque niveau sera présenté par une petite image montrant l'ambiance de la planète et son nom : votre première mise en jambe se fera sur la planète Flora.
L'interface du jeu est très sobre, de manière à ne pas gâcher de la précieuse place sur le petit écran de la Game Gear :
_ en haut à droite les points de vie de l'héroïne représentés par plusieurs étoiles.
_ en bas à gauche, le nombre de vies, suivi du nombre d'étoiles récoltés : vous gagnez une vie à chaque fois que vous en avez 100 ( je sais, c'est pas original).
Il est également possible de voir le score en appuyant sur Start pour mettre le jeu en pause.
Les commandes du jeu sont simples : le bouton 1 sert à étirer les bras ressorts de Ristar, le bouton 2 sert à sauter.
Simples, mais diaboliques de richesse. Pour éliminer ses ennemis, votre personnage devra étirer ses bras pour attraper sa cible, puis se projeter vers elle en lui assénant un magnifique coup de boule, mais ce n'est pas la seule utilité de ces bras.
Si votre adversaire est dans les airs alors que vous l'attrapez, vous pouvez vous en servir comme d'un point d'attache pour vous vous balancer et vous propulser plus haut. Les bras permettent également d'attraper des attaches fixées aux parois et aux plafonds, et de s'accrocher à divers branches et plateformes pour se hisser dessus. Si la paroi est verticale sans attaches, il est tout de même possible de l'escalader avec la technique dite du "coup de de boule ascendant" : attraper la paroi en diagonal et se laisser tirer par les ressorts pour donner un coup de tête, puis rapidement réétirer les bras en diagonal afin de progresser.
Enfin certains ennemis laissent parfois un objet après avoir été éliminé : il est possible de l'attraper et de l'utiliser plus loin. Une lance plantée dans un support peut servir de plateforme flexible, un casque de projectile ou de poids pour se catapulter grâce à certains mécanismes.
Quand on y regarde finalement, c'est tout une palette d'acrobaties que peut réaliser le personnage. Les mouvements sont tels qu'il est régulièrement possible de se déplacer sans mettre un pied à terre pendant quelques temps : ca procure un sentiment grisant de légèreté, et on en vient à tenter de rester en l'air le plus longtemps possible.
Les niveaux comportent aussi régulièrement des points d'attache que Ristar peut attraper et autour desquels elle peut tourner en accélérant. Après avoir gagner suffisamment de vélocité, lâchez vous pour que le personnage s'envole comme une étoile filante, détruisant ennemis et blocs cassables sur son passage dans un état d'invincibilité temporaire ( les piques ne vous blesseront pas). C'est l'occasion parfaite pour atteindre certains endroits en hauteur autrement dur d'accès.
Chaque planète a son ambiance propre et aucune ne se ressemble. La première Flora est dominée par les plantes, et vous pouvez vous y déplacer de branche en branche, en vous accrochant à des graines emportées par le vent. La deuxième Terra est un gigantesque bateau pirate : cordages, mats et poulies sont au rendez-vous.
Les différences ne sont pas juste au niveau des graphismes ou des musiques, mais également au niveau de la progression. par exemple dans l'un des stages de la planète Sonata, vous serez régulièrement bloqué dans votre progression par un oiseau. Il n'y a qu'une solution pour lui rendre la joie de chanter ( et le faire partir au passage) : transporter jusque lui un métronome trouvé plus en avant. Sur la planète Fréon, vous devrez régulièrement réaliser des courses contre la montre pour ne pas être blessé.
Quelque soit la planète, une chose reste constante : chacun de ses rounds comporte un bonus en forme de sphère bleue, sans effets immédiats. Ramassez toutes les sphères d'une planète et vous aurez droit, une fois son boss terrassé, à un niveau bonus. Ces niveaux sont des exercices de voltige, où il faut collecter le plus d'étoiles possible sans tomber dans le vide. Avec de l'entrainement, il est possible de se faire plusieurs vies par ce moyen.
Tout comme aucun niveau ne se ressemble, aucun boss n'est identique, et chacun a sa façon unique de le vaincre qu'il faudra déduire avec observation et essais. Le deuxième boss notamment ne peut être blessé qu'une fois réveillé de son cauchemar.
Au niveau de la réalisation technique, on touche au chef d'oeuvre. J'ai déjà mentionné en partie la maniabilité qui se révèle exemplaire : le personnage répond parfaitement aux commandes et fait ce que vous désirez, enchainant acrobatie sur acrobatie.
Deuxième point remarquable : les graphismes. C'est de la Game Gear et pourtant ils sont extrêmement fins, détaillés, et variés. Même les rounds d'une même planète sont différents visuellement.
Je citerais également en exemple les musiques. Les bruitage ne sont pas exceptionnels, mais les musiques des niveaux sont très réussies, et on les écoute avec plaisir.
Mais finalement LE point mémorable du titre, ce qui m'a fait penser à ressortir ma cartouche/émulateur, c'est l'animation. Non seulement elle est toujours fluide durant le jeu, sans jamais un ralentissement pour gêner, mais en plus on se rend compte que Ristar est une véritable diva : au bord d'une plateforme, elle tentera à tout prix de ne pas tomber. Le mieux est encore de la laisser inactive : sur Sonata la planète musicale, elle battra la mesure; sur Fréon la planète froide, elle s'amusera en faisant un bonhomme de neige. Et sur la première planète, elle se balancera puis se tournera vers le joueur pour l'encourager.
Le seule défaut que je peux voir au jeu se trouve dans ses niveaux qui semblent assez courts On atteint sans grande difficulté le quatrième monde, même si le tout dernier boss est particulièrement coriace. Des niveaux plus longs, rendant l'utilisation des mots de passe vraiment utile, aurait été apprécié. Peut être que la version Megadrive est plus consistante, à voir.
Un mot au sujet de ces fameux password : ils s'obtiennent après un GameOver : vu la facilité du jeu au début, ne vous étonnez pas de pas voir ceux des premières planètes.
Finalement devant ce constat, je ne peux que me demander : pourquoi si tard ? Pourquoi en 1995, alors que les consoles sur lesquelles le jeu est sorti sont en fin de vie, et que les joueurs se sont déjà tournés ailleurs ? Ristar est un jeu méconnu, alors que la petite étoile avait tout de la mascotte réussie : un personnage adorable, des animations très réussies, et un gameplay riche. Une sortie quelques années plus tôt, une bonne suite, et on se serait souvenue de cette star.
Une réalisation technique sans faille, un gameplay riche, des niveaux variés et des boss originaux : voici les ingrédients de Ristar. Nous avons ici un des meilleurs jeux de plateforme de la console, dont le seule défaut est d'être sorti trop tard. Preuve s'il en fallait, il est disponible sur la console virtuelle de Nintendo, et en bonus sur PS2 et Gamecube dans les Sonic MegaCollection. Il n'est pas trop tard pour rendre hommage à un titre dont le seul tort est d'avoir été publié à une époque où les joueurs rêvaient déjà devant les promesses polygonées.
Note 5,5 suppos.
Développeur : Sonic Team
Genre : plateforme
Nombre de joueurs : un
Support: Game Gear
Existe aussi sur : Megadrive, console virtuelle Wii, Playstation 2 ( déblocable dans Sonic Mega Collection Plus) et Gamecube ( déblocable dans Sonic Mega Collection ).
Sortie : 1995
J'ai aussi le livret ... quelque part dans la maison ...
1995, une année où les joueurs découvraient ébahis la Playstation et la Saturn, raz de marée 32 bits avec support CD. Le front de la guerre des consoles semble s'être déplacé et pourtant à la même époque, Sega sortait encore un jeu pour sa Megadrive et sa Game Gear. Ultime chant du cygne ou pétard mouillé, nous allons découvrir ca.
Ristar est donc l'un des derniers jeux Sega officiels sortis sur cartouche. Le titre met en scène une étoile filante réveillée pour protéger le système solaire de Valdi envahi par le pirate de l'espace Greedy. Ristar devra nettoyer 6 planètes, et ce n'est pas parce qu'elle a une bouille adorable qu'elle est sans défense !
Après une petite introduction vous expliquant le contexte du jeu, vous accédez à l'écran titre où vous pouvez aller dans les options : pas de de niveaux de difficultés sélectionnables, mais la possibilité d'écouter les différentes musiques du jeu et de rentrer un mot de passe pour reprendre votre progression.
On notera au passage que les versions Game Gear et Megadrive se distinguent au niveau du level design : posséder les deux n'est donc pas superflu. De même les mots de passe ne sont identiques.
Chaque niveau sera présenté par une petite image montrant l'ambiance de la planète et son nom : votre première mise en jambe se fera sur la planète Flora.
L'interface du jeu est très sobre, de manière à ne pas gâcher de la précieuse place sur le petit écran de la Game Gear :
_ en haut à droite les points de vie de l'héroïne représentés par plusieurs étoiles.
_ en bas à gauche, le nombre de vies, suivi du nombre d'étoiles récoltés : vous gagnez une vie à chaque fois que vous en avez 100 ( je sais, c'est pas original).
Il est également possible de voir le score en appuyant sur Start pour mettre le jeu en pause.
Les commandes du jeu sont simples : le bouton 1 sert à étirer les bras ressorts de Ristar, le bouton 2 sert à sauter.
Simples, mais diaboliques de richesse. Pour éliminer ses ennemis, votre personnage devra étirer ses bras pour attraper sa cible, puis se projeter vers elle en lui assénant un magnifique coup de boule, mais ce n'est pas la seule utilité de ces bras.
Si votre adversaire est dans les airs alors que vous l'attrapez, vous pouvez vous en servir comme d'un point d'attache pour vous vous balancer et vous propulser plus haut. Les bras permettent également d'attraper des attaches fixées aux parois et aux plafonds, et de s'accrocher à divers branches et plateformes pour se hisser dessus. Si la paroi est verticale sans attaches, il est tout de même possible de l'escalader avec la technique dite du "coup de de boule ascendant" : attraper la paroi en diagonal et se laisser tirer par les ressorts pour donner un coup de tête, puis rapidement réétirer les bras en diagonal afin de progresser.
Enfin certains ennemis laissent parfois un objet après avoir été éliminé : il est possible de l'attraper et de l'utiliser plus loin. Une lance plantée dans un support peut servir de plateforme flexible, un casque de projectile ou de poids pour se catapulter grâce à certains mécanismes.
Quand on y regarde finalement, c'est tout une palette d'acrobaties que peut réaliser le personnage. Les mouvements sont tels qu'il est régulièrement possible de se déplacer sans mettre un pied à terre pendant quelques temps : ca procure un sentiment grisant de légèreté, et on en vient à tenter de rester en l'air le plus longtemps possible.
Les niveaux comportent aussi régulièrement des points d'attache que Ristar peut attraper et autour desquels elle peut tourner en accélérant. Après avoir gagner suffisamment de vélocité, lâchez vous pour que le personnage s'envole comme une étoile filante, détruisant ennemis et blocs cassables sur son passage dans un état d'invincibilité temporaire ( les piques ne vous blesseront pas). C'est l'occasion parfaite pour atteindre certains endroits en hauteur autrement dur d'accès.
Chaque planète a son ambiance propre et aucune ne se ressemble. La première Flora est dominée par les plantes, et vous pouvez vous y déplacer de branche en branche, en vous accrochant à des graines emportées par le vent. La deuxième Terra est un gigantesque bateau pirate : cordages, mats et poulies sont au rendez-vous.
Les différences ne sont pas juste au niveau des graphismes ou des musiques, mais également au niveau de la progression. par exemple dans l'un des stages de la planète Sonata, vous serez régulièrement bloqué dans votre progression par un oiseau. Il n'y a qu'une solution pour lui rendre la joie de chanter ( et le faire partir au passage) : transporter jusque lui un métronome trouvé plus en avant. Sur la planète Fréon, vous devrez régulièrement réaliser des courses contre la montre pour ne pas être blessé.
Quelque soit la planète, une chose reste constante : chacun de ses rounds comporte un bonus en forme de sphère bleue, sans effets immédiats. Ramassez toutes les sphères d'une planète et vous aurez droit, une fois son boss terrassé, à un niveau bonus. Ces niveaux sont des exercices de voltige, où il faut collecter le plus d'étoiles possible sans tomber dans le vide. Avec de l'entrainement, il est possible de se faire plusieurs vies par ce moyen.
Tout comme aucun niveau ne se ressemble, aucun boss n'est identique, et chacun a sa façon unique de le vaincre qu'il faudra déduire avec observation et essais. Le deuxième boss notamment ne peut être blessé qu'une fois réveillé de son cauchemar.
Au niveau de la réalisation technique, on touche au chef d'oeuvre. J'ai déjà mentionné en partie la maniabilité qui se révèle exemplaire : le personnage répond parfaitement aux commandes et fait ce que vous désirez, enchainant acrobatie sur acrobatie.
Deuxième point remarquable : les graphismes. C'est de la Game Gear et pourtant ils sont extrêmement fins, détaillés, et variés. Même les rounds d'une même planète sont différents visuellement.
Je citerais également en exemple les musiques. Les bruitage ne sont pas exceptionnels, mais les musiques des niveaux sont très réussies, et on les écoute avec plaisir.
Mais finalement LE point mémorable du titre, ce qui m'a fait penser à ressortir ma cartouche/émulateur, c'est l'animation. Non seulement elle est toujours fluide durant le jeu, sans jamais un ralentissement pour gêner, mais en plus on se rend compte que Ristar est une véritable diva : au bord d'une plateforme, elle tentera à tout prix de ne pas tomber. Le mieux est encore de la laisser inactive : sur Sonata la planète musicale, elle battra la mesure; sur Fréon la planète froide, elle s'amusera en faisant un bonhomme de neige. Et sur la première planète, elle se balancera puis se tournera vers le joueur pour l'encourager.
Le seule défaut que je peux voir au jeu se trouve dans ses niveaux qui semblent assez courts On atteint sans grande difficulté le quatrième monde, même si le tout dernier boss est particulièrement coriace. Des niveaux plus longs, rendant l'utilisation des mots de passe vraiment utile, aurait été apprécié. Peut être que la version Megadrive est plus consistante, à voir.
Un mot au sujet de ces fameux password : ils s'obtiennent après un GameOver : vu la facilité du jeu au début, ne vous étonnez pas de pas voir ceux des premières planètes.
Finalement devant ce constat, je ne peux que me demander : pourquoi si tard ? Pourquoi en 1995, alors que les consoles sur lesquelles le jeu est sorti sont en fin de vie, et que les joueurs se sont déjà tournés ailleurs ? Ristar est un jeu méconnu, alors que la petite étoile avait tout de la mascotte réussie : un personnage adorable, des animations très réussies, et un gameplay riche. Une sortie quelques années plus tôt, une bonne suite, et on se serait souvenue de cette star.
Une réalisation technique sans faille, un gameplay riche, des niveaux variés et des boss originaux : voici les ingrédients de Ristar. Nous avons ici un des meilleurs jeux de plateforme de la console, dont le seule défaut est d'être sorti trop tard. Preuve s'il en fallait, il est disponible sur la console virtuelle de Nintendo, et en bonus sur PS2 et Gamecube dans les Sonic MegaCollection. Il n'est pas trop tard pour rendre hommage à un titre dont le seul tort est d'avoir été publié à une époque où les joueurs rêvaient déjà devant les promesses polygonées.
Note 5,5 suppos.
Dernière édition par sylesis le Sam 5 Avr 2014 - 9:12, édité 2 fois
GR- Guéri miraculeux
- Nombre de messages : 2678
Age : 43
Localisation : Boulogne-sur-Mer (62)
Date d'inscription : 20/07/2010
Re: [Test]Ristar pour Game Gear
Sylesis, fan n°1 mondial de la Gamegear
_______________________________________________________
Re: [Test]Ristar pour Game Gear
Il faut dire que j'ai grandi avec cette machine : les copains avaient des Megadrive voir surtout des superNes, moi j'ai eu la Master System en 87 et plus tard la Game Gear. Arena, Fatal Fury Special, Ristar, Defenders of Oasis, ce sont des titres que j'ai découvert à cette époque là, et vraiment aimé. J'essaie de communiquer le plaisir que j'ai vécu avec cette belle machine ( et connais toujours : je reprend régulièrement ma cartouche de Fatal Fury ), et de travailler mon expression écrite au passage .
Re: [Test]Ristar pour Game Gear
Tiens je connaissais pas la version GG de RISTAR, c'est magnifique et sacrément impressionnant pour la petite portable de SEGA ... merci à toi pour cette découverte!
EDIT: existe-il aussi sur cartouche SMS? ... apparemment non!
EDIT: existe-il aussi sur cartouche SMS? ... apparemment non!
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
- Nombre de messages : 73872
Age : 42
Localisation : Ô Toulouuuse
Date d'inscription : 28/07/2009
Re: [Test]Ristar pour Game Gear
Enfin un test GamGear :) ! Merci pour la découverte.
Ca à l'air très plaisant, même si je ne connais rien à la console !
Je guette une bonne affaire pour découvrir cet univers !
Ca à l'air très plaisant, même si je ne connais rien à la console !
Je guette une bonne affaire pour découvrir cet univers !
marchapite- Patient incurable
- Nombre de messages : 1697
Age : 34
Localisation : Paris / Grenoble
Date d'inscription : 08/04/2013
Re: [Test]Ristar pour Game Gear
Et l'intro elle-même est une merveille sur GG : distorsions du même genre que la planète de feu dans Thunder Force III sur MD,
Nodoka75- Guéri miraculeux
- Nombre de messages : 2670
Age : 47
Localisation : Paris
Date d'inscription : 03/10/2011
Re: [Test]Ristar pour Game Gear
excellent sur megadrive je savais même pas qu'il était sortit sur GG, merci à toi :)
Meeyavi- Patient contaminé
- Nombre de messages : 930
Age : 39
Localisation : Au taff
Date d'inscription : 02/08/2012
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