[TEST] Sunset Overdrive
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drfloyd
antoniomontana71
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[TEST] Sunset Overdrive
Sunset Overdrive
Support : Xbox One
Développeur : Insomniac Games
Editeur : Microsoft Studios
Année : 2014
Après des perles telles que Spyro le dragon, Ratchet and Clank ou Resistance sur les consoles Sony, le meilleur ennemi de Naughty Dog, Insomniac Games, passe de l’autre coté et associe son image à la dernière console de chez Microsoft. Trahison envers Sony ou cadeau empoisonné à destination du Redmond ? Verdict
Scénario
Sunset Overdrive tire son nom du lieu du déroulement de l’action, Sunset City, une ville où règne le chaos créé par la société Fizzco qui a le profil des sociétés « à l’américaine » actuelle avec un appât du gain indéniable. En effet, ces derniers vont complètement changer la face de la ville en organisant une soirée promotionnelle en l’honneur de leur nouvelle boisson énergisante : l’Overcharge Delirium XT. Au cours de cette soirée, toutes les personnes ingurgitant de l’Overcharge vont se transformer peu à peu en une sorte de zombie appelé « Overdosé ». Dans une situation aussi apocalyptique, là où tout semble perdu, un homme (ou une femme) balèze (ou pas) va réussir à s’extirper afin de quitter la ville au plus vite. Vous l’aurez compris, il s’agit du protagoniste que vous choisirez d’incarner. La première étape post-tutoriel est la création du personnage. Là où certains jeux sont lourds avec une personnalisation aussi fade qu’inutile, Sunset Overdrive nous offre une panoplie de costume et d’accessoire nous faisant comprendre dès le départ le comique et l’humour du jeu. Personnellement j’ai opté pour un gros costaud, frisé et moustachu comme un mexicain, arborant un petit shorty rose et tablette apparente : la classe à Dallas. Tout au long de votre aventure, vous serez aidé par des PNJ qui vous proposeront des quêtes qui vous permettront une fois réalisées d’avoir un retour d’ascenseur en échange. Comme quoi même en situation où tout semble perdu, la solidarité n’existe pas ! C’est d’un triste … Les quêtes sont assez variées : elles vont du simple scoring à des missions de récupération d’objets en passant par des phases de BTA. Assez fréquemment, vous aurez l’honneur de combattre des Boss qui seront soit des overdosés, soit des robots de la sécurité de chez Fizzco. Avec ces différences de cibles, le choix de votre arme sera déterminant, alors ne vous trompez pas ! L’ambiance générale du jeu est, comme évoquée précédemment, hyper fun. L’histoire est bourrée de référence cinématographique (Le seigneur des anneaux, Le silence des agneaux, The big Lebowsky, Inspecteur Harry, Mission impossible, Terminator, Gremlins, et tellement d’autres) ainsi que de clin d’oeil à la culture geek (Jeu de rôle, Assassins Creeds, Game of Thrones, Breaking Bad, etc.). Les dialogues sont très second degré et j’avoue n’avoir jamais autant ri avec un jeu vidéo.
Gameplay
J’ai beaucoup de choses à dire sur ce point. Tout d’abord, lors de la première prise en main avec le tutoriel, on trouve le jeu vraiment très speed. Nous devons « grinder », « undergrider », bondir ou courir sur les murs tout en shootant de l’overdosé. Ça perturbe au début, les repères de nos expériences de shoot sont un peu bancals mais l’on s’y fait assez rapidement. Au lieu d’avoir des cibles mouvantes comme dans la plupart des jeux, c’est nous qui sommes en mouvement. Cette propriété est la raison du coté speed et nerveux de sunset overdrive et le différencie de ce qui se fait ailleurs. Au niveau du choix des armes, vous pourrez opter pour différents modèles que l’on vous donnera au fil de l’histoire ou que vous pourrez acheter auprès de l’armurier. Elles seront de natures diverses entre armes au coup par coup, automatiques, explosives et même des pièges. A cela rajoutez une arme de corps à corps toujours sur vous (batte de baseball ou épée). Elles sont toutes plus loufoques les unes que les autres entre le Dirty Harry (le magnum de Clint) et le Bazourska (bazooka ayant des nounours en guise de projectile) en passant par la Kalash-NIQ … On s’habitue très vite à certaines armes ce qui fait que l’on a tendance à garder les mêmes malgré une panoplie de plus de 30 armes. A savoir que les armes s’upgradent sur 5 niveaux et que chaque niveau permet l’acquisition d’un bonus d’arme comme le temps de recharge plus court ou le stock de munitions augmenté. Ensuite, on peut également parler des rushs qui octroient des pouvoirs au protagoniste en améliorant la puissance de son arme ou bien en accroissant ses capacités de déplacement. Les rushs s’obtiennent également chez l’armurier en échange de divers objets collectés à travers la ville (papier toilette, chaussures, téléphone, etc.). Enfin, il y a les overdrives qui sont similaires aux rushs dans le principe mais qui s’obtiennent grâce à des badges que l’on récupère grâce à des prouesses dans le jeu. Je n’ai rien contre le principe mais je trouve ça extrêmement fouillis et très mal expliqué. De plus, le jeu nous apporte toutes ces informations dès le départ alors c’est très difficile à assimiler : Mal de crâne assuré. Cet aspect m’a fortement déplu et sans un peu de témérité, j’aurai pu mettre ce jeu de coté par manque d’attrait. J’ai commencé à comprendre leurs intérêts sur la fin du jeu et encore, je n’ai pas encore tout saisi au niveau du fonctionnement. Vraiment le gros point noir et si par hasard un deuxième volet venait à voir le jour, il sera inconcevable de ne pas simplifier les mécanismes du jeu.
Durée de vie
Le jeu est un open world assez vaste que vous devrez parcourir pour aller aux différentes quêtes du jeu. Au total 27 missions principales, 32 missions secondaires, 54 défis de scoring et pas moins 880 objets à récupérer ou lieux à parcourir. Pour ma part, j’en suis à 48 heures de jeu et 910G avec uniquement du solo. C’est tout à fait correct même si on avoue qu’une dizaine de missions principales en plus n’aurait pas été de trop. On ne meurt pas si souvent que ça car en tuant des ennemis, on peut récupérer des trousses de soins et des munitions ce qui permet de se refaire une santé assez souvent. Aucun choix de difficulté n'est possible mais je la trouve assez bien dosée mine de rien. Finir les missions principales et secondaire ont été assez simple pour mon cas mais j'ai eu du fil à retordre pour les défis de scoring qui m'ont fait passer des sales quart d'heure. Les succès sont néanmoins assez facile à obtenir, pourvu que l'on soit organiser dans ses déplacements.
Graphisme et bande son
Les graphismes sont les points forts du jeu. Ils émerveillent et régalent par leur style pas du tout singulier : un univers haut en couleur et un aspect graphique oscillant entre le style comics et cartoons. Pour un open world, les détails sont très présents et les jeux de lumière sont un vrai plus pour ce jeu qui à la base séduit plus par son gameplay que par son visuel à l’écran. Pour un jeu aussi nerveux, on attendait avec impatience du 60 FPS et ce n’est malheureusement que du 30. Qu’à cela ne tienne, son absence n’est nullement préjudiciable et le 30 FPS est toujours stable. La bande son est aussi en adéquation avec le jeu : Des musiques rock-punk rythmant les grinds et les fracas de crânes ennemis. Que demandez de plus ? Et bien de la quantité car les musiques sont assez restreintes en nombre et au bout de deux heures de jeu, on commence un peu à les connaître par cœur. Concernant les doublages, ils sont assez raccords avec les personnages sans être exceptionnels : ils font le taf comme on dit !
Fun, déjanté, coloré, surprenant, étonnant, ahurissant. Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier ce petit bijou de chez Insomniac qui devrait figurer dans toutes les ludothèques des possesseurs d’Xbox One. Malgré une difficulté à comprendre certains mécanismes du jeu, il brille par sa nervosité, son ambiance et ses graphismes. Un assemblage de plusieurs référence vidéoludique tel que Jet Set Radio (pour le grind), Borderland (pour le coté barré) et Dead Rising (pour le shoot post-apocalypse) qui pourrait faire de ce jeu un classique comme l’ont été Spyro et Ratchet.SUPPOS : 5/6
Support : Xbox One
Développeur : Insomniac Games
Editeur : Microsoft Studios
Année : 2014
Après des perles telles que Spyro le dragon, Ratchet and Clank ou Resistance sur les consoles Sony, le meilleur ennemi de Naughty Dog, Insomniac Games, passe de l’autre coté et associe son image à la dernière console de chez Microsoft. Trahison envers Sony ou cadeau empoisonné à destination du Redmond ? Verdict
Scénario
Sunset Overdrive tire son nom du lieu du déroulement de l’action, Sunset City, une ville où règne le chaos créé par la société Fizzco qui a le profil des sociétés « à l’américaine » actuelle avec un appât du gain indéniable. En effet, ces derniers vont complètement changer la face de la ville en organisant une soirée promotionnelle en l’honneur de leur nouvelle boisson énergisante : l’Overcharge Delirium XT. Au cours de cette soirée, toutes les personnes ingurgitant de l’Overcharge vont se transformer peu à peu en une sorte de zombie appelé « Overdosé ». Dans une situation aussi apocalyptique, là où tout semble perdu, un homme (ou une femme) balèze (ou pas) va réussir à s’extirper afin de quitter la ville au plus vite. Vous l’aurez compris, il s’agit du protagoniste que vous choisirez d’incarner. La première étape post-tutoriel est la création du personnage. Là où certains jeux sont lourds avec une personnalisation aussi fade qu’inutile, Sunset Overdrive nous offre une panoplie de costume et d’accessoire nous faisant comprendre dès le départ le comique et l’humour du jeu. Personnellement j’ai opté pour un gros costaud, frisé et moustachu comme un mexicain, arborant un petit shorty rose et tablette apparente : la classe à Dallas. Tout au long de votre aventure, vous serez aidé par des PNJ qui vous proposeront des quêtes qui vous permettront une fois réalisées d’avoir un retour d’ascenseur en échange. Comme quoi même en situation où tout semble perdu, la solidarité n’existe pas ! C’est d’un triste … Les quêtes sont assez variées : elles vont du simple scoring à des missions de récupération d’objets en passant par des phases de BTA. Assez fréquemment, vous aurez l’honneur de combattre des Boss qui seront soit des overdosés, soit des robots de la sécurité de chez Fizzco. Avec ces différences de cibles, le choix de votre arme sera déterminant, alors ne vous trompez pas ! L’ambiance générale du jeu est, comme évoquée précédemment, hyper fun. L’histoire est bourrée de référence cinématographique (Le seigneur des anneaux, Le silence des agneaux, The big Lebowsky, Inspecteur Harry, Mission impossible, Terminator, Gremlins, et tellement d’autres) ainsi que de clin d’oeil à la culture geek (Jeu de rôle, Assassins Creeds, Game of Thrones, Breaking Bad, etc.). Les dialogues sont très second degré et j’avoue n’avoir jamais autant ri avec un jeu vidéo.
Gameplay
J’ai beaucoup de choses à dire sur ce point. Tout d’abord, lors de la première prise en main avec le tutoriel, on trouve le jeu vraiment très speed. Nous devons « grinder », « undergrider », bondir ou courir sur les murs tout en shootant de l’overdosé. Ça perturbe au début, les repères de nos expériences de shoot sont un peu bancals mais l’on s’y fait assez rapidement. Au lieu d’avoir des cibles mouvantes comme dans la plupart des jeux, c’est nous qui sommes en mouvement. Cette propriété est la raison du coté speed et nerveux de sunset overdrive et le différencie de ce qui se fait ailleurs. Au niveau du choix des armes, vous pourrez opter pour différents modèles que l’on vous donnera au fil de l’histoire ou que vous pourrez acheter auprès de l’armurier. Elles seront de natures diverses entre armes au coup par coup, automatiques, explosives et même des pièges. A cela rajoutez une arme de corps à corps toujours sur vous (batte de baseball ou épée). Elles sont toutes plus loufoques les unes que les autres entre le Dirty Harry (le magnum de Clint) et le Bazourska (bazooka ayant des nounours en guise de projectile) en passant par la Kalash-NIQ … On s’habitue très vite à certaines armes ce qui fait que l’on a tendance à garder les mêmes malgré une panoplie de plus de 30 armes. A savoir que les armes s’upgradent sur 5 niveaux et que chaque niveau permet l’acquisition d’un bonus d’arme comme le temps de recharge plus court ou le stock de munitions augmenté. Ensuite, on peut également parler des rushs qui octroient des pouvoirs au protagoniste en améliorant la puissance de son arme ou bien en accroissant ses capacités de déplacement. Les rushs s’obtiennent également chez l’armurier en échange de divers objets collectés à travers la ville (papier toilette, chaussures, téléphone, etc.). Enfin, il y a les overdrives qui sont similaires aux rushs dans le principe mais qui s’obtiennent grâce à des badges que l’on récupère grâce à des prouesses dans le jeu. Je n’ai rien contre le principe mais je trouve ça extrêmement fouillis et très mal expliqué. De plus, le jeu nous apporte toutes ces informations dès le départ alors c’est très difficile à assimiler : Mal de crâne assuré. Cet aspect m’a fortement déplu et sans un peu de témérité, j’aurai pu mettre ce jeu de coté par manque d’attrait. J’ai commencé à comprendre leurs intérêts sur la fin du jeu et encore, je n’ai pas encore tout saisi au niveau du fonctionnement. Vraiment le gros point noir et si par hasard un deuxième volet venait à voir le jour, il sera inconcevable de ne pas simplifier les mécanismes du jeu.
Durée de vie
Le jeu est un open world assez vaste que vous devrez parcourir pour aller aux différentes quêtes du jeu. Au total 27 missions principales, 32 missions secondaires, 54 défis de scoring et pas moins 880 objets à récupérer ou lieux à parcourir. Pour ma part, j’en suis à 48 heures de jeu et 910G avec uniquement du solo. C’est tout à fait correct même si on avoue qu’une dizaine de missions principales en plus n’aurait pas été de trop. On ne meurt pas si souvent que ça car en tuant des ennemis, on peut récupérer des trousses de soins et des munitions ce qui permet de se refaire une santé assez souvent. Aucun choix de difficulté n'est possible mais je la trouve assez bien dosée mine de rien. Finir les missions principales et secondaire ont été assez simple pour mon cas mais j'ai eu du fil à retordre pour les défis de scoring qui m'ont fait passer des sales quart d'heure. Les succès sont néanmoins assez facile à obtenir, pourvu que l'on soit organiser dans ses déplacements.
Graphisme et bande son
Les graphismes sont les points forts du jeu. Ils émerveillent et régalent par leur style pas du tout singulier : un univers haut en couleur et un aspect graphique oscillant entre le style comics et cartoons. Pour un open world, les détails sont très présents et les jeux de lumière sont un vrai plus pour ce jeu qui à la base séduit plus par son gameplay que par son visuel à l’écran. Pour un jeu aussi nerveux, on attendait avec impatience du 60 FPS et ce n’est malheureusement que du 30. Qu’à cela ne tienne, son absence n’est nullement préjudiciable et le 30 FPS est toujours stable. La bande son est aussi en adéquation avec le jeu : Des musiques rock-punk rythmant les grinds et les fracas de crânes ennemis. Que demandez de plus ? Et bien de la quantité car les musiques sont assez restreintes en nombre et au bout de deux heures de jeu, on commence un peu à les connaître par cœur. Concernant les doublages, ils sont assez raccords avec les personnages sans être exceptionnels : ils font le taf comme on dit !
Fun, déjanté, coloré, surprenant, étonnant, ahurissant. Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier ce petit bijou de chez Insomniac qui devrait figurer dans toutes les ludothèques des possesseurs d’Xbox One. Malgré une difficulté à comprendre certains mécanismes du jeu, il brille par sa nervosité, son ambiance et ses graphismes. Un assemblage de plusieurs référence vidéoludique tel que Jet Set Radio (pour le grind), Borderland (pour le coté barré) et Dead Rising (pour le shoot post-apocalypse) qui pourrait faire de ce jeu un classique comme l’ont été Spyro et Ratchet.
Dernière édition par antoniomontana71 le Ven 30 Jan 2015 - 7:58, édité 3 fois
antoniomontana71- Interne
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Re: [TEST] Sunset Overdrive
Génial, un test XOne !!!! Merci Antonio
Ca va me donne renvie d'acheter le jeu...
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Re: [TEST] Sunset Overdrive
Si mon test peut servir à ça au moins
antoniomontana71- Interne
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Re: [TEST] Sunset Overdrive
Bon test Antonio, je suis d'accord avec toi sur le principe d'overdrive pas super bien expliqué et un peu fouilli dans le jeu, une fois compris ça va mais c'est vrai que c'est rebutant au premier abord.
saeba13- Infirmier
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Re: [TEST] Sunset Overdrive
J'ai eu ce jeu à Noel car je le voulais vraiment ! Et quand je l'ai commencé je me suis dit : "putain c'est quoi cette merde". J'ai horreur des jeux avec des tutos à rallonge avec toute sortes de truc à savoir. je préfère la simplicité d'un gameplay (comme Ryse par exemple) à un jeu avec plein de fonction donc j'ai failli décrocher avant le premier niveau. Le problème, c'est que tu prends trop d'information d'un coup et ça blaze ! Mais au final je me suis dit "j'ai rien compris, tant j'avance quand même" et finalement ça c'est excellemment bien passé
antoniomontana71- Interne
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Re: [TEST] Sunset Overdrive
J'ai eu exactement le meme ressenti, par exemple sur un Jet set c'est beaucoup plus simple mais bon le jeu vaut le détour du moment qu'on s'y investi un minimum.
saeba13- Infirmier
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Re: [TEST] Sunset Overdrive
Merci pour le test, cela donne envie de prendre une One pour le coup
mateo- Docteur *
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Re: [TEST] Sunset Overdrive
Ryse et Sunset donnent envie c'est sûr, je garde ça en tête, on verra pour plus tard
Snoz- Interne
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Date d'inscription : 30/05/2009
Re: [TEST] Sunset Overdrive
Merci les mecs
antoniomontana71- Interne
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Date d'inscription : 11/11/2012
Re: [TEST] Sunset Overdrive
test publié, 10 suppo$
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Re: [TEST] Sunset Overdrive
Merci doc c'est cool
antoniomontana71- Interne
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Date d'inscription : 11/11/2012
Re: [TEST] Sunset Overdrive
Merci pour la chronique ça donne envie de le tester.
MD-psychedoomelic- Patient contaminé
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Localisation : Le Plessis Trévise (94)
Date d'inscription : 06/09/2014
Re: [TEST] Sunset Overdrive
Pour ceux qui possèdent le jeu (ou l'ont possédé), vous trouverez dans votre boite de réception xbox live un code permettant d'obtenir des costumes et des armes !
antoniomontana71- Interne
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Date d'inscription : 11/11/2012
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