[TEST] Blackthorne - Game boy advance
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[TEST] Blackthorne - Game boy advance
BLACKTHORNE
Editeur : Universal Interactive
Développeur : Blizzard Entertainment
Sortie : 2003
Support : GBA (également sorti sur SNES, 32X et PC)
Blackthorne est un jeu d'action - réflexion sorti initialement sur SNES en 1994. Fin 2002, Blizzard décide de rééditer sur Game Boy Advance quelques titres de leurs débuts. Blackthorne en fait parti (avec The Lost Vikings et Rock'n roll racing).
Depuis peu, je collectionne les jeux Blizzard, ayant tout particulièrement affectionné The Lost Vikings et ayant été il y a quelques années une aficionado de World of Warcraft. Blizzard soigne ses jeux. Il n'y a qu'à regarder les univers dans lesquels ils se déroulent : toute une mythologie instaurée, un background qui permet d'expliquer comment on en est arrivé là avant de débuter le jeu. Pour Blackthorne, il suffit d'ouvrir la notice pour découvrir pas moins de 17 pages consacrées aux origines du héros, Kyle Blackthorne, héritié du royaume d'Androth, envoyé dès son plus jeune âge sur Terre pour échapper aux griffes du cruel Sarlac.
On démarre par une cinématique teintée de rouge et bleu. Le démoniaque Sarlac, chef des Ka'dra'suuls et sous l'emprise de la pierre d'ombre, lance l'assaut sur Androth et ordonne de tuer le roi et son héritié, gardiens de la pierre de lumière. Blackthorne est alors envoyé sur Terre pour son bien et son peuple devient esclave de ses assaillants. Les Androthi survivants sont emmenés dans les mines pour extraire la Xandralite, métal nécessaire pour produire chaleur et lumière. Vingt ans plus tard, le temps est venu pour Blackthorne de revenir sur sa planète d'origine afin de libérer son peuple du joug de Sarlac. On commence donc dans une mine, équipé d'un fusil à pompe. (Sur Terre, Kyle a bénéficié d'une formation de militaire et sait donc parfaitement manier les armes).
Pendant toute votre aventure, vous rencontrez des esclaves. Vous ne pouvez malheureusement rien faire pour eux. Pire, l'échange de coups de feu avec l'ennemi les exposent et les condamnent à une mort certaine. Libre à vous de les épargnez... ou non, ça ne modifiera pas votre parcours. Par contre, il est bon de savoir que certains de ces esclaves pourront vous donner des indices pour votre progression et même vous donner des objets.
Blackthorne n'est pas un jeu d'action bourrin. Il demande de la patience et une touche de réflexion pour progresser dans les niveaux. Les ennemis, d'anciens humains transformés en gobelins hideux par la pierre sombre, se mettent à couvert dès qu'ils vous voient et ne se découvrent que pour vous tirer dessur... ou pour se fendre la poire quand ils vous ont touché. Ce ne sont pas vos seuls ennemis : il y a aussi les golems de pierre qui tentent de vous transformer en crêpe (désolé c'est la chandeleur !) en vous roulant dessus et quelques Androthi qui ont choisi le chemin de la traîtrise pour sauver leur peau. Quelques plantes carnivores et autres bestioles sont aussi de la partie.
Vous pouvez vous aussi vous mettre à couvert pour vous protéger et il faudra en faire bon usage, la vie se perd assez vite au début. Vous devez aussi faire attention de ne pas chuter de trop haut sous peine de terminer la partie.
Vous aurez l'occasion de parcourir 4 mondes : les mines, une forêt , un canyon et enfin le château de Sarlac. Pour avancer, il vous faudra trouver des clés de ponts (réutilisable dans le niveau si vous parvenez à la récupérer) ou de portes (usage unique). Vous disposez d'un inventaire accessible avec la touche select dans lequel vous pouvez stocker toutes sortes de bombes (qui roulent, qui explosent au contact du sol et même des bombes dirigeables) ou de clés. Vous pourrez aussi y mettre des potions de soin et un objet assez insolite : un lévitateur, qui vous permettra d'atteindre des zones non accessibles avec les sauts. Vous trouverez ces objets sur la dépouille de vos ennemis ou vous seront offert par des esclaves. Beaucoup d'objets sont aussi cachés dans le décor.
Les 2 premiers mondes se parcourent sans trop de soucis. Les 2 suivants sont un peu plus compliqués, non pas en terme de difficulté élevée, mais à cause de certaines commandes qui s'avèrent imprécises, notamment pour les longs sauts, alors quand il faut les enchaîner, c'est un vrai calvaire car souvent la chute est mortelle et il faut recommencer le niveau. Certains passages sont assez techniques et demandent un enchaînement de sauts en temps limité. De quoi mettre vos nerfs à rude épreuve. Blackthorne a quand même une belle panoplie d'actions et ça prend du temps pour bien les maîtriser : saut simple, saut long, tir, tir en arrière, roulade, utilisation d'objets, ramassage, se mettre à couvert... D'ailleurs, le menu du jeu propose un niveau d'entraînement qui sert de tutoriel. On pourrait trouver pénible le fait de devoir ranger son arme pour les sauts ou pour courir, mais on s'y fait assez vite.
Ce qui est intéressant, c'est que la progression dans le jeu n'est pas linéaire. On n'est pas toujours obligé de faire les actions dans un ordre donné. Ça permet de privilégier les passages difficiles au début comme ça si on se loupe, on ne s'est pas tapé tout le niveau et on recommence rapidement. Ça diminue la frustration !
Si j'ai adoré parcourir les quatre mondes, j'ai été un peu déçue par le combat final contre le boss. Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Ce que je peux dévoiler sans problème, c'est que Sarlac a une certaine ressemblance avec Diablo, personnage phare de Blizzard, qui naîtra quelques mois après la sortie de Blackthorne sur snes.
J'ai l'impression que le portage sur gba a réduit la hauteur de l'écran, donc par rapport à la version snes, certaines choses ne sont pas directement visible comme par exemple des plateformes en hauteur ou en contrebas, ça demandera donc un peu plus d'exploration. De plus, la version gba a été amputé de la version française, seul l'anglais est disponible. Mais le niveau demandé n'est pas très élevé. On note l'apparition d'un système de sauvegarde alors que sur snes, c'était un système de mots de passe.
Blackthorne est un jeu d'action - réflexion assez sympa. Si vous arrivez à bien prendre en main le héros, vous avancerez sans trop de difficulté dans les quatre mondes que propose le jeu.
SCENARIO : J'ai lu les 17 pages du manuel pour bien m'imprégner de l'histoire de Blackthorne. La partie sur les origines de Kyle est très intéressante, celle sur ce qu'il a fait sur Terre en tant que militaire un peu moins, quoi que ça explique son caractère combatif. L'écart entre réalité sur Terre et heroïc fantasy sur Tuul m'a un peu surpassé à vrai dire.
GRAPHISMES : Les différents niveaux d'un monde se ressemblent beaucoup, plus de détails auraient été appréciables. De plus, les décors tout au long du jeu sont assez sombres.
SONS : Les musiques d'ambiance font très bien leur boulot et nous plonge dans l'univers du jeu, un bon point !
JOUABILITE : Kyle a une panoplie d'actions conséquentes ce qui peut parfois alourdir certaines séquences de jeu mais dès qu'on maîtrise tout ça, on prend beaucoup de plaisir à avancer dans le jeu. Malheureusement, certains mouvements ont une commande imprécise et ça gâche la fête. Certains passages sont assez frustrants et la répétition de l'échec ayant pour cause une mauvaise réponse de la machine est bien énervant.
DUREE DE VIE : J'ai bien ri quand j'ai lu sur jeuxvideo.com qu'il fallait environ 2 à 3 heures pour finir le jeu. Il en faut au moins le double.
NOTE : 4/6
Editeur : Universal Interactive
Développeur : Blizzard Entertainment
Sortie : 2003
Support : GBA (également sorti sur SNES, 32X et PC)
Blackthorne est un jeu d'action - réflexion sorti initialement sur SNES en 1994. Fin 2002, Blizzard décide de rééditer sur Game Boy Advance quelques titres de leurs débuts. Blackthorne en fait parti (avec The Lost Vikings et Rock'n roll racing).
Depuis peu, je collectionne les jeux Blizzard, ayant tout particulièrement affectionné The Lost Vikings et ayant été il y a quelques années une aficionado de World of Warcraft. Blizzard soigne ses jeux. Il n'y a qu'à regarder les univers dans lesquels ils se déroulent : toute une mythologie instaurée, un background qui permet d'expliquer comment on en est arrivé là avant de débuter le jeu. Pour Blackthorne, il suffit d'ouvrir la notice pour découvrir pas moins de 17 pages consacrées aux origines du héros, Kyle Blackthorne, héritié du royaume d'Androth, envoyé dès son plus jeune âge sur Terre pour échapper aux griffes du cruel Sarlac.
On démarre par une cinématique teintée de rouge et bleu. Le démoniaque Sarlac, chef des Ka'dra'suuls et sous l'emprise de la pierre d'ombre, lance l'assaut sur Androth et ordonne de tuer le roi et son héritié, gardiens de la pierre de lumière. Blackthorne est alors envoyé sur Terre pour son bien et son peuple devient esclave de ses assaillants. Les Androthi survivants sont emmenés dans les mines pour extraire la Xandralite, métal nécessaire pour produire chaleur et lumière. Vingt ans plus tard, le temps est venu pour Blackthorne de revenir sur sa planète d'origine afin de libérer son peuple du joug de Sarlac. On commence donc dans une mine, équipé d'un fusil à pompe. (Sur Terre, Kyle a bénéficié d'une formation de militaire et sait donc parfaitement manier les armes).
Pendant toute votre aventure, vous rencontrez des esclaves. Vous ne pouvez malheureusement rien faire pour eux. Pire, l'échange de coups de feu avec l'ennemi les exposent et les condamnent à une mort certaine. Libre à vous de les épargnez... ou non, ça ne modifiera pas votre parcours. Par contre, il est bon de savoir que certains de ces esclaves pourront vous donner des indices pour votre progression et même vous donner des objets.
Blackthorne n'est pas un jeu d'action bourrin. Il demande de la patience et une touche de réflexion pour progresser dans les niveaux. Les ennemis, d'anciens humains transformés en gobelins hideux par la pierre sombre, se mettent à couvert dès qu'ils vous voient et ne se découvrent que pour vous tirer dessur... ou pour se fendre la poire quand ils vous ont touché. Ce ne sont pas vos seuls ennemis : il y a aussi les golems de pierre qui tentent de vous transformer en crêpe (désolé c'est la chandeleur !) en vous roulant dessus et quelques Androthi qui ont choisi le chemin de la traîtrise pour sauver leur peau. Quelques plantes carnivores et autres bestioles sont aussi de la partie.
Vous pouvez vous aussi vous mettre à couvert pour vous protéger et il faudra en faire bon usage, la vie se perd assez vite au début. Vous devez aussi faire attention de ne pas chuter de trop haut sous peine de terminer la partie.
Vous aurez l'occasion de parcourir 4 mondes : les mines, une forêt , un canyon et enfin le château de Sarlac. Pour avancer, il vous faudra trouver des clés de ponts (réutilisable dans le niveau si vous parvenez à la récupérer) ou de portes (usage unique). Vous disposez d'un inventaire accessible avec la touche select dans lequel vous pouvez stocker toutes sortes de bombes (qui roulent, qui explosent au contact du sol et même des bombes dirigeables) ou de clés. Vous pourrez aussi y mettre des potions de soin et un objet assez insolite : un lévitateur, qui vous permettra d'atteindre des zones non accessibles avec les sauts. Vous trouverez ces objets sur la dépouille de vos ennemis ou vous seront offert par des esclaves. Beaucoup d'objets sont aussi cachés dans le décor.
Les 2 premiers mondes se parcourent sans trop de soucis. Les 2 suivants sont un peu plus compliqués, non pas en terme de difficulté élevée, mais à cause de certaines commandes qui s'avèrent imprécises, notamment pour les longs sauts, alors quand il faut les enchaîner, c'est un vrai calvaire car souvent la chute est mortelle et il faut recommencer le niveau. Certains passages sont assez techniques et demandent un enchaînement de sauts en temps limité. De quoi mettre vos nerfs à rude épreuve. Blackthorne a quand même une belle panoplie d'actions et ça prend du temps pour bien les maîtriser : saut simple, saut long, tir, tir en arrière, roulade, utilisation d'objets, ramassage, se mettre à couvert... D'ailleurs, le menu du jeu propose un niveau d'entraînement qui sert de tutoriel. On pourrait trouver pénible le fait de devoir ranger son arme pour les sauts ou pour courir, mais on s'y fait assez vite.
Ce qui est intéressant, c'est que la progression dans le jeu n'est pas linéaire. On n'est pas toujours obligé de faire les actions dans un ordre donné. Ça permet de privilégier les passages difficiles au début comme ça si on se loupe, on ne s'est pas tapé tout le niveau et on recommence rapidement. Ça diminue la frustration !
Si j'ai adoré parcourir les quatre mondes, j'ai été un peu déçue par le combat final contre le boss. Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Ce que je peux dévoiler sans problème, c'est que Sarlac a une certaine ressemblance avec Diablo, personnage phare de Blizzard, qui naîtra quelques mois après la sortie de Blackthorne sur snes.
J'ai l'impression que le portage sur gba a réduit la hauteur de l'écran, donc par rapport à la version snes, certaines choses ne sont pas directement visible comme par exemple des plateformes en hauteur ou en contrebas, ça demandera donc un peu plus d'exploration. De plus, la version gba a été amputé de la version française, seul l'anglais est disponible. Mais le niveau demandé n'est pas très élevé. On note l'apparition d'un système de sauvegarde alors que sur snes, c'était un système de mots de passe.
Blackthorne est un jeu d'action - réflexion assez sympa. Si vous arrivez à bien prendre en main le héros, vous avancerez sans trop de difficulté dans les quatre mondes que propose le jeu.
SCENARIO : J'ai lu les 17 pages du manuel pour bien m'imprégner de l'histoire de Blackthorne. La partie sur les origines de Kyle est très intéressante, celle sur ce qu'il a fait sur Terre en tant que militaire un peu moins, quoi que ça explique son caractère combatif. L'écart entre réalité sur Terre et heroïc fantasy sur Tuul m'a un peu surpassé à vrai dire.
GRAPHISMES : Les différents niveaux d'un monde se ressemblent beaucoup, plus de détails auraient été appréciables. De plus, les décors tout au long du jeu sont assez sombres.
SONS : Les musiques d'ambiance font très bien leur boulot et nous plonge dans l'univers du jeu, un bon point !
JOUABILITE : Kyle a une panoplie d'actions conséquentes ce qui peut parfois alourdir certaines séquences de jeu mais dès qu'on maîtrise tout ça, on prend beaucoup de plaisir à avancer dans le jeu. Malheureusement, certains mouvements ont une commande imprécise et ça gâche la fête. Certains passages sont assez frustrants et la répétition de l'échec ayant pour cause une mauvaise réponse de la machine est bien énervant.
DUREE DE VIE : J'ai bien ri quand j'ai lu sur jeuxvideo.com qu'il fallait environ 2 à 3 heures pour finir le jeu. Il en faut au moins le double.
NOTE : 4/6
Re: [TEST] Blackthorne - Game boy advance
Salut,
Excellent ton test, je le connaissais sur super nintendo seulement
"DUREE DE VIE : J'ai bien ri quand j'ai lu sur
jeuxvideo.com qu'il fallait environ 2 à 3 heures pour finir le jeu. Il
en faut au moins le double."
tu m'étonnes , pour Zelda Skyward Sword et je cite jeuxvideo.com "
Excellent ton test, je le connaissais sur super nintendo seulement
"DUREE DE VIE : J'ai bien ri quand j'ai lu sur
jeuxvideo.com qu'il fallait environ 2 à 3 heures pour finir le jeu. Il
en faut au moins le double."
tu m'étonnes , pour Zelda Skyward Sword et je cite jeuxvideo.com "
- Comptez entre une trentaine d'heures maximum pour la quete principale[...].....mais bien sur....avec la tronche sur you tube oui peut etre.
heyjoe07- Guéri miraculeux
- Nombre de messages : 2301
Localisation : Nantes
Date d'inscription : 25/03/2012
Re: [TEST] Blackthorne - Game boy advance
excellent ! Encore un titre que je ne connaissais pas
_______________________________________________________
Re: [TEST] Blackthorne - Game boy advance
5 suppo$, publié
_______________________________________________________
Re: [TEST] Blackthorne - Game boy advance
A noter que pour les versions de 1994 :
Studio : Blizzard
Editeur : Interplay (US et Euro)
Titre US : Black Thorne
Titre PAL : Black Hawk (au moins pour la version PC).
Existe sur :
-SNES/SNIN (Blizzard/Interplay), septembre 1994.
-SFC, édité par Kotobuki System, aout 95
-PC DOS (Blizzard/Interplay), décembre 1994.
-Sega 32X (Blizzard/Interplay), 1995. Porté par Paradox Development
-PC-98 (japon uniquement) édité et porté par Micromouse, janvier 96
-Mac (porté et édité par MacPlay, la branche Mac d'Interplay). 1996
-GBA : Edité par VUG (Vivendi Universal Games), porté par Mass Media. 2003
Pour la version GBA de 2003, c'est évidemment pas Blizzard qui a fait le portage (ils étaient occupés avec Warcraft III et WoW) mais Mass Media, Inc.
Pour la petite histoire c'est le premier jeu publié sous le nom de Blizzard : pendant le développement le studio s'appelait encore Silicon&Synaps. Il a eu brièvement le nom de Chaos Studios (lors de l'annonce de la sortie prochaine du jeu), mais le nom posait un problème de droits. Le studio s'est donc renommé Blizzard à l' automne 1994, au moment de la sortie du jeu (quelques semaines avant la sortie de Warcraft)
Sinon un des points forts de ce jeu (moins évident en 2003, mais ça sautait aux yeux en 94) c'est la fluidité de l'animation et le nombre de trames décomposant les mouvements... c'est simple : c'est aussi fluide que dans Flashback... mais les sprites sont ici beaucoup plus détaillés que les polygones servant à l'animation vectorielle de FB.
Studio : Blizzard
Editeur : Interplay (US et Euro)
Titre US : Black Thorne
Titre PAL : Black Hawk (au moins pour la version PC).
Existe sur :
-SNES/SNIN (Blizzard/Interplay), septembre 1994.
-SFC, édité par Kotobuki System, aout 95
-PC DOS (Blizzard/Interplay), décembre 1994.
-Sega 32X (Blizzard/Interplay), 1995. Porté par Paradox Development
-PC-98 (japon uniquement) édité et porté par Micromouse, janvier 96
-Mac (porté et édité par MacPlay, la branche Mac d'Interplay). 1996
-GBA : Edité par VUG (Vivendi Universal Games), porté par Mass Media. 2003
Pour la version GBA de 2003, c'est évidemment pas Blizzard qui a fait le portage (ils étaient occupés avec Warcraft III et WoW) mais Mass Media, Inc.
Pour la petite histoire c'est le premier jeu publié sous le nom de Blizzard : pendant le développement le studio s'appelait encore Silicon&Synaps. Il a eu brièvement le nom de Chaos Studios (lors de l'annonce de la sortie prochaine du jeu), mais le nom posait un problème de droits. Le studio s'est donc renommé Blizzard à l' automne 1994, au moment de la sortie du jeu (quelques semaines avant la sortie de Warcraft)
Sinon un des points forts de ce jeu (moins évident en 2003, mais ça sautait aux yeux en 94) c'est la fluidité de l'animation et le nombre de trames décomposant les mouvements... c'est simple : c'est aussi fluide que dans Flashback... mais les sprites sont ici beaucoup plus détaillés que les polygones servant à l'animation vectorielle de FB.
barbarian_bros- Docteur *
- Nombre de messages : 5384
Age : 47
Localisation : 33
Date d'inscription : 29/11/2009
Re: [TEST] Blackthorne - Game boy advance
Forcément aprés THE LOST VIKINGS ça ne pouvait être que celui-là, et un test encore une fois très agréable à lire!
Bon aprés qu'est-ce que tu as prévu ... ROCK'N ROLL RACING peut-être? Lui aussi a été adapté sur GBA!
Bon aprés qu'est-ce que tu as prévu ... ROCK'N ROLL RACING peut-être? Lui aussi a été adapté sur GBA!
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
- Nombre de messages : 73872
Age : 42
Localisation : Ô Toulouuuse
Date d'inscription : 28/07/2009
Re: [TEST] Blackthorne - Game boy advance
je l'ai pas encore, mais ça ne saurait tarderlessthantod a écrit: Forcément aprés THE LOST VIKINGS ça ne pouvait être que celui-là, et un test encore une fois très agréable à lire!
Bon aprés qu'est-ce que tu as prévu ... ROCK'N ROLL RACING peut-être? Lui aussi a été adapté sur GBA!
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