[Retrogaming] The Firemen / SNES
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gatsuforever
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[Retrogaming] The Firemen / SNES
The Firemen
Support : Super Nintendo.
Editeur/développeur : Human Entertainment.
Année : 1994.
L'immeuble de la Metrotech Chemical Company brûle. Vous êtes Pete, un pompier moustachu expérimenté, assisté de Daniel, et c'est vous qu'on appelle.
Human Entertainment, plus connu pour ses jeux de sport sur PC Engine, et pour la série F1 Pole position ou Super Soccer sur Super Nintendo, signe un titre qui fait date : un jeu d'action où vous contrôlez un pompier. Un pari difficile et des contraintes nombreuses, pour un genre rarement porté à l'écran.
Une fois n'est pas coutûme, l'histoire a une importance capitale dans le jeu et rythme toute votre progression, en proposant des rebondissements nombreux et un environnement cohérent. Vous êtes à New-york le jour de Noël en 2010, et l'immeuble d'une énorme entreprise de produits chimiques est en flammes. Le MDL, un produit particulièrement dangereux, doit échapper aux feu, sans quoi l'immeuble, ses occupants et les pompiers seront pulvérisés.
Une brève narration met dans l'ambiance dès l'introduction, avec des effets de distorsion et de déformations pour simuler les flammes, tout à fait réussies. Le jeu propose dans le menu des options de choisir la langue, c'est une bonne chose car le français est disponible pour tous les dialogues pendant votre partie, en bas de l'écran, c'est un très gros plus !
Vous démarrez donc au rez-de-chaussée de l'immeuble, avec votre équipier Daniel. Vous contrôlez Pete, en dehors des scènes rythmant l'histoire et les dialogues. Daniel possède une hache, et Pete porte la lance à incendie, avec une réserve d'eau illimitée et sans tuyau. Nous sommes en 2010 et la technologie permet de s'affranchir de certaines contraintes, pour notre plus grand plaisir de joueur, qui nous fait pardonner sans aucune difficulté cette entorse au réalisme, vite oubliée.
Il y a le feu, et il faut agir vite. Un chronomètre en haut à gauche décompte le temps restant avant la scène suivante, à sa droite se trouve un radar pour retrouver des survivants, puis le plan de l'étage où vous vous trouvez avec son code couleur pour les salles en flammes, l'étage lui-même et votre barre de vie. En bas à droite se trouvent les bombes à eau, votre arme d'inondation massive.
Pete peut utiliser son arme de deux manières. Avec le bouton Y la lance à incendie projette un jet continu pour éteindre les flammes les plus hautes, tandis que le bouton B éclabousse vers le bas, autour du personnage, de manière à éteindre les flammes au ras du sol, devant les pieds du héros.
Les flammes seront vos principaux ennemis, il y en a de tous les types : au sol en plaques, en mur qui avance vers vous (baissez-vous avez le bouton A), en groupe, en nuages, etc. Vous apprendrez vite à les différencier du premier coup d'oeil, de manière à bien ajuster le tir. Les boutons L et R permettent de bloquer le jet de façon à faire des déplacements latéraux sans modifier l'angle d'attaque. Vous pouvez arroser dans les huit directions et faire des pas de côté : très pratique !
Pendant votre progression, vous rencontrerez des blessés ou des survivants dans le brasier qui vous entoure. Votre équipier Daniel les évacuera en les portant hors de l'écran, et il reviendra au bout de quelques secondes. Au passage, outre la bonne action qui ne motive pas forcément le joueur et fait perdre du temps, chaque sauvetage remet votre barre de vie à son niveau maximum, motivation garantie !
Ces sauvetages seront indispensables dans les derniers niveaux ; le jeu en compte 6, qui correspondent grosso modo aux étages du bâtiment. La difficulté progresse doucement, au fur et à mesure que vous découvrez de nouvelles flammes, ou des ennemis inattendus comme les robots d'entretien, les aspirateurs autonomes déréglés par les flammes et rendus particulièrement agressifs, ou d'autres éléments de l'immeuble. Vous visiterez la chaufferie où les tuyaux crevés font apparaître des flammes que vous ne pourrez éviter qu'en rampant, le décor est souvent de la partie !
Peu à peu, vous progressez. Au début vous devez mettre la main sur le fameux MDL, cette substance très dangereuse, ce qui vous conduira directement à la chaufferie. Une fois en posession du MDL, l'histoire reprend, mais sans vous couper du jeu : les dialogues en bas de l'écran s'ajoutent à l'action et vous donnent des indications. Vous êtes en liaison avec la caserne et vos coéquipiers, puis l'architecte de l'immeuble, tout le monde vous donnera la marche à suivre et des indications sur les lieux où vous rendre.
A la fin de chaque niveau, vous aurez à affronter un boss. Chacun d'entre eux a la forme de flammes et résistera à tout sauf à vos bombes à eau, qu'il est préférable de conserver pour les derniers d'entre eux. Gros sprites au menu, les boss sont souvent gros et rapides. La musique change dès qu'ils apparaissent. A ce propos la bande son est de qualité, présente sans gêner, bien rythmée, elle accompagne parfaitement l'action.
Si les premiers boss ne sont pas énormes et ne posent pas de réels problèmes, les suivants seront plus complexes à éliminer.
Vous pourrez trouver des bombes à eau dans les niveaux, mais en nombre très réduit, il faut absolument les économiser, car vous n'en portez que trois au maximum. Le bouton X sert à les utiliser, ce qui se traduit par un petit lob devant vous, c'est une arme de corps à corps dont le rayon d'action est important.
Côté vies, vous disposez... d'une seule vie bien sûr, avec 3 continues. Il est donc indispensable de secourir les blessés pour recharger votre barre d'énergie. Au fur et à mesure que vous montez dans l'immeuble, les pièges et les passages difficiles sont plus nombreux. Votre lance à incendie est puissante et permet de briser les fenêtres. L'appel d'air créé est dangereux et peux provoquer une explosion, comme dans la réalité (le backdraft). Daniel, qui se charge des blessés, a également pour mission de vous ouvrir les portes. Restez à distance car les ouvrir peut également créer une explosion, signalée par un sifflement immédiatement avant.
Vous l'avez sans doute constaté, le graphisme est techniquement simple, mais très détaillé. Les développeurs n'ont pas hésité à nous proposer des meubles avec des ordinateurs, des tables cassées barrant le passages, d'autres sous lesquelles vous pouvez passer, un arbre de Noël dans une pièce, une rivière à franchir dehors, de la pluie sur le toit, avec des effets de transparences et des scrollings décalés en vue plongeante sur les étages inférieurs, des calques de brouillards ou de distorsion qui représentent la fumée ou la chaleur. Le soin apporté à l'aspect des pièces contribue à créer un environnement réaliste et peut rappeler certains jeux de rôle, on aurait presque envie d'interagir avec le décor pour y trouver des bonus. On trouvera quelques victimes, des bombes bonus, et des raccourcis. Les niveaux sont très variés, de la chaudière à la cuisine en passant par un espace de stockage, entre autres temps forts.
Même les ventilateurs sont animés et vous aspirent vers eux. Les développeurs n'ont pas économisé les sprites.
La difficulté est tout à fait honnête. Le jeu se termine rapidement, comptez une heure et demie maximum, mais la difficulté est paramétrable, ce qui prolonge la durée de vie du jeu, le mode le plus facile étant un très bon début pour prendre ses marques, la première fois j'ai perdu au boss de fin, et progressé la fois suivante. On s'en sort, à condition de connaître un minimum le jeu et le parcours. A ce propos, Daniel vous ouvre les portes et une énorme flèche indique où se rendre. Si vous ne prenez pas la bonne porte, la flèche vous proposera un demi-tour : impossible de se perdre. Grâce à cette indication, le temps limité n'est pas un problème.
Le coéquipier, qui ne peut pas être remplacé par un deuxième joueur (dommage !) est bien programmé. Daniel peut en effet éteindre les grandes flammes et vous aider, parfois il vous évitera d'être touché. Comme il ne peut pas arroser au sol et qu'il n'est pas suicidaire, il restera toujours près de vous et c'est vous qui éteindrez les flammes qui sont à vos pieds et l'empêchent d'avancer. De cette manière, les développeurs ont habilement rendu le personnage autonome sans qu'il soit intrépide ou qu'il se perde, la gestion est excellente. C'est également lui qui agira sur l'environnement pendant que l'histoire progresse.
Il n'y a pratiquement aucun point négatif. Un détail qui peut agacer le joueur qui recommence est que les dialogues ne peuvent pas être accélérés ou sautés, dans la mesure où ils donnent des indications. La première fois cela ne gêne pas, mais à la longue cela peut énerver. On pourra regretter de ne pas pouvoir jouer à deux en même temps ou le nombre de niveaux réduit, mais le jeu est et reste solo, on y passe un bon moment sans s'éterniser. Avec les amis, on pourra toujours jouer tour par tour, chacun un niveau, au pire.
The Firemen est un véritable bijou. Non seulement la réalisation technique est excellente et nous tient en haleine, mais le gampeplay est pour moi irréprochable. De bonnes musiques, un concept pour le moins original malgré beaucoup de contraintes, et des personnages attachants, tous les ingrédients sont là pour créer un jeu d'exception. Difficile à trouver, car de plus en plus connu, le jeu s'établit une cote à la hauteur de sa qualité, et sans proposer de licence connue. A essayer absolument !
Suppos : 6/6
Support : Super Nintendo.
Editeur/développeur : Human Entertainment.
Année : 1994.
L'immeuble de la Metrotech Chemical Company brûle. Vous êtes Pete, un pompier moustachu expérimenté, assisté de Daniel, et c'est vous qu'on appelle.
Human Entertainment, plus connu pour ses jeux de sport sur PC Engine, et pour la série F1 Pole position ou Super Soccer sur Super Nintendo, signe un titre qui fait date : un jeu d'action où vous contrôlez un pompier. Un pari difficile et des contraintes nombreuses, pour un genre rarement porté à l'écran.
Une fois n'est pas coutûme, l'histoire a une importance capitale dans le jeu et rythme toute votre progression, en proposant des rebondissements nombreux et un environnement cohérent. Vous êtes à New-york le jour de Noël en 2010, et l'immeuble d'une énorme entreprise de produits chimiques est en flammes. Le MDL, un produit particulièrement dangereux, doit échapper aux feu, sans quoi l'immeuble, ses occupants et les pompiers seront pulvérisés.
Une brève narration met dans l'ambiance dès l'introduction, avec des effets de distorsion et de déformations pour simuler les flammes, tout à fait réussies. Le jeu propose dans le menu des options de choisir la langue, c'est une bonne chose car le français est disponible pour tous les dialogues pendant votre partie, en bas de l'écran, c'est un très gros plus !
Vous démarrez donc au rez-de-chaussée de l'immeuble, avec votre équipier Daniel. Vous contrôlez Pete, en dehors des scènes rythmant l'histoire et les dialogues. Daniel possède une hache, et Pete porte la lance à incendie, avec une réserve d'eau illimitée et sans tuyau. Nous sommes en 2010 et la technologie permet de s'affranchir de certaines contraintes, pour notre plus grand plaisir de joueur, qui nous fait pardonner sans aucune difficulté cette entorse au réalisme, vite oubliée.
Il y a le feu, et il faut agir vite. Un chronomètre en haut à gauche décompte le temps restant avant la scène suivante, à sa droite se trouve un radar pour retrouver des survivants, puis le plan de l'étage où vous vous trouvez avec son code couleur pour les salles en flammes, l'étage lui-même et votre barre de vie. En bas à droite se trouvent les bombes à eau, votre arme d'inondation massive.
Pete peut utiliser son arme de deux manières. Avec le bouton Y la lance à incendie projette un jet continu pour éteindre les flammes les plus hautes, tandis que le bouton B éclabousse vers le bas, autour du personnage, de manière à éteindre les flammes au ras du sol, devant les pieds du héros.
Les flammes seront vos principaux ennemis, il y en a de tous les types : au sol en plaques, en mur qui avance vers vous (baissez-vous avez le bouton A), en groupe, en nuages, etc. Vous apprendrez vite à les différencier du premier coup d'oeil, de manière à bien ajuster le tir. Les boutons L et R permettent de bloquer le jet de façon à faire des déplacements latéraux sans modifier l'angle d'attaque. Vous pouvez arroser dans les huit directions et faire des pas de côté : très pratique !
Pendant votre progression, vous rencontrerez des blessés ou des survivants dans le brasier qui vous entoure. Votre équipier Daniel les évacuera en les portant hors de l'écran, et il reviendra au bout de quelques secondes. Au passage, outre la bonne action qui ne motive pas forcément le joueur et fait perdre du temps, chaque sauvetage remet votre barre de vie à son niveau maximum, motivation garantie !
Ces sauvetages seront indispensables dans les derniers niveaux ; le jeu en compte 6, qui correspondent grosso modo aux étages du bâtiment. La difficulté progresse doucement, au fur et à mesure que vous découvrez de nouvelles flammes, ou des ennemis inattendus comme les robots d'entretien, les aspirateurs autonomes déréglés par les flammes et rendus particulièrement agressifs, ou d'autres éléments de l'immeuble. Vous visiterez la chaufferie où les tuyaux crevés font apparaître des flammes que vous ne pourrez éviter qu'en rampant, le décor est souvent de la partie !
Peu à peu, vous progressez. Au début vous devez mettre la main sur le fameux MDL, cette substance très dangereuse, ce qui vous conduira directement à la chaufferie. Une fois en posession du MDL, l'histoire reprend, mais sans vous couper du jeu : les dialogues en bas de l'écran s'ajoutent à l'action et vous donnent des indications. Vous êtes en liaison avec la caserne et vos coéquipiers, puis l'architecte de l'immeuble, tout le monde vous donnera la marche à suivre et des indications sur les lieux où vous rendre.
A la fin de chaque niveau, vous aurez à affronter un boss. Chacun d'entre eux a la forme de flammes et résistera à tout sauf à vos bombes à eau, qu'il est préférable de conserver pour les derniers d'entre eux. Gros sprites au menu, les boss sont souvent gros et rapides. La musique change dès qu'ils apparaissent. A ce propos la bande son est de qualité, présente sans gêner, bien rythmée, elle accompagne parfaitement l'action.
Si les premiers boss ne sont pas énormes et ne posent pas de réels problèmes, les suivants seront plus complexes à éliminer.
Vous pourrez trouver des bombes à eau dans les niveaux, mais en nombre très réduit, il faut absolument les économiser, car vous n'en portez que trois au maximum. Le bouton X sert à les utiliser, ce qui se traduit par un petit lob devant vous, c'est une arme de corps à corps dont le rayon d'action est important.
Côté vies, vous disposez... d'une seule vie bien sûr, avec 3 continues. Il est donc indispensable de secourir les blessés pour recharger votre barre d'énergie. Au fur et à mesure que vous montez dans l'immeuble, les pièges et les passages difficiles sont plus nombreux. Votre lance à incendie est puissante et permet de briser les fenêtres. L'appel d'air créé est dangereux et peux provoquer une explosion, comme dans la réalité (le backdraft). Daniel, qui se charge des blessés, a également pour mission de vous ouvrir les portes. Restez à distance car les ouvrir peut également créer une explosion, signalée par un sifflement immédiatement avant.
Vous l'avez sans doute constaté, le graphisme est techniquement simple, mais très détaillé. Les développeurs n'ont pas hésité à nous proposer des meubles avec des ordinateurs, des tables cassées barrant le passages, d'autres sous lesquelles vous pouvez passer, un arbre de Noël dans une pièce, une rivière à franchir dehors, de la pluie sur le toit, avec des effets de transparences et des scrollings décalés en vue plongeante sur les étages inférieurs, des calques de brouillards ou de distorsion qui représentent la fumée ou la chaleur. Le soin apporté à l'aspect des pièces contribue à créer un environnement réaliste et peut rappeler certains jeux de rôle, on aurait presque envie d'interagir avec le décor pour y trouver des bonus. On trouvera quelques victimes, des bombes bonus, et des raccourcis. Les niveaux sont très variés, de la chaudière à la cuisine en passant par un espace de stockage, entre autres temps forts.
Même les ventilateurs sont animés et vous aspirent vers eux. Les développeurs n'ont pas économisé les sprites.
La difficulté est tout à fait honnête. Le jeu se termine rapidement, comptez une heure et demie maximum, mais la difficulté est paramétrable, ce qui prolonge la durée de vie du jeu, le mode le plus facile étant un très bon début pour prendre ses marques, la première fois j'ai perdu au boss de fin, et progressé la fois suivante. On s'en sort, à condition de connaître un minimum le jeu et le parcours. A ce propos, Daniel vous ouvre les portes et une énorme flèche indique où se rendre. Si vous ne prenez pas la bonne porte, la flèche vous proposera un demi-tour : impossible de se perdre. Grâce à cette indication, le temps limité n'est pas un problème.
Le coéquipier, qui ne peut pas être remplacé par un deuxième joueur (dommage !) est bien programmé. Daniel peut en effet éteindre les grandes flammes et vous aider, parfois il vous évitera d'être touché. Comme il ne peut pas arroser au sol et qu'il n'est pas suicidaire, il restera toujours près de vous et c'est vous qui éteindrez les flammes qui sont à vos pieds et l'empêchent d'avancer. De cette manière, les développeurs ont habilement rendu le personnage autonome sans qu'il soit intrépide ou qu'il se perde, la gestion est excellente. C'est également lui qui agira sur l'environnement pendant que l'histoire progresse.
Il n'y a pratiquement aucun point négatif. Un détail qui peut agacer le joueur qui recommence est que les dialogues ne peuvent pas être accélérés ou sautés, dans la mesure où ils donnent des indications. La première fois cela ne gêne pas, mais à la longue cela peut énerver. On pourra regretter de ne pas pouvoir jouer à deux en même temps ou le nombre de niveaux réduit, mais le jeu est et reste solo, on y passe un bon moment sans s'éterniser. Avec les amis, on pourra toujours jouer tour par tour, chacun un niveau, au pire.
The Firemen est un véritable bijou. Non seulement la réalisation technique est excellente et nous tient en haleine, mais le gampeplay est pour moi irréprochable. De bonnes musiques, un concept pour le moins original malgré beaucoup de contraintes, et des personnages attachants, tous les ingrédients sont là pour créer un jeu d'exception. Difficile à trouver, car de plus en plus connu, le jeu s'établit une cote à la hauteur de sa qualité, et sans proposer de licence connue. A essayer absolument !
Suppos : 6/6
Dernière édition par onels4 le Lun 3 Oct 2011 - 17:30, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Yes, preums pour le tant attendu nouveau test de maître Onels4. Je vais lire ça avant de me coucher!
Dernière édition par lessthantod le Mar 27 Sep 2011 - 0:26, édité 2 fois
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
- Nombre de messages : 73866
Age : 42
Localisation : Ô Toulouuuse
Date d'inscription : 28/07/2009
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
ca donne grave envie ...
j'ai vu , j'ai touché mais je le jamais acheté celui la ... c'est con !
j'ai vu , j'ai touché mais je le jamais acheté celui la ... c'est con !
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
C'est cher, mais c'est bien ! Autre chose qu'un VK, ça.
Ca fait un moment que je voulais un test où je note 6/6. Il m'a fallu plusieurs parties et pus de 100 photos pour le faire. ^^
Ca fait un moment que je voulais un test où je note 6/6. Il m'a fallu plusieurs parties et pus de 100 photos pour le faire. ^^
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Et dire, que je l'avais échangé à l'époque contre un super punch out qui ne fonctionnait même pas .... J'en garde un très bon souvenir de ce jeux.
Tu as parfaitement retranscri ce que je pensais du jeu onels4 , mais perso le jeu est quand même ps facile et il faut s'y reprendre au moins à 4 ou 5 fois pour voir enfin le dernier boss.
Ps: Une suite est sortie sur Ps1 mais uniquement en jap
Tu as parfaitement retranscri ce que je pensais du jeu onels4 , mais perso le jeu est quand même ps facile et il faut s'y reprendre au moins à 4 ou 5 fois pour voir enfin le dernier boss.
Ps: Une suite est sortie sur Ps1 mais uniquement en jap
gatsuforever- Guéri miraculeux
- Nombre de messages : 2762
Age : 44
Date d'inscription : 01/01/2011
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
alors là je ne connaisais absoluement pas ce jeu ni aucunes des productions de cet éditeur, mais ton test m'a sacrément donné envie de m'y essayer. C'est une belle découverte et tu as réussi à éveiller ma curiosité, merci à toi pour celà!
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
- Nombre de messages : 73866
Age : 42
Localisation : Ô Toulouuuse
Date d'inscription : 28/07/2009
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
ah yes il a l'air sympa ce jeu, je le met dans un coin de ma tête tiens.
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
En mode facile je suis arrivé directement au dernier boss à ma première partie, je ne suis pas très bon ni un psyho player (^^), par contre j'ai de l'entraînement en shoot'em up et beat'em all, ça aide sans doute côté réflexes de jeu.gatsuforever a écrit:Tu as parfaitement retranscri ce que je pensais du jeu onels4 , mais perso le jeu est quand même ps facile et il faut s'y reprendre au moins à 4 ou 5 fois pour voir enfin le dernier boss.
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Ce sera le dernier avant le bouclage des 1000 pour le doc.
J'en ferai d'autres après, évidemment. S'il y a des commandes, des jeux que j'ai que vous voudriez en test, vous pouvez me faire signe (tant que je les ai), surtout NES/SNES/MS/MD.
J'aurais bien des jeux NeoGeo à proposer en test mais peu de gens les ont, donc pour le moment je n'en fais pas.
J'en ferai d'autres après, évidemment. S'il y a des commandes, des jeux que j'ai que vous voudriez en test, vous pouvez me faire signe (tant que je les ai), surtout NES/SNES/MS/MD.
J'aurais bien des jeux NeoGeo à proposer en test mais peu de gens les ont, donc pour le moment je n'en fais pas.
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
excellent jeu et comme je l'ai déjà dit il faut l'acheter en Allemagne parce que chez nous les prix sont vraiment bidons ...
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
inscription au concours du 1000e test
_______________________________________________________
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Bon test, plaisant à lire.
Quelques fautes repérées, cependant :
Quelques fautes repérées, cependant :
entres autres temps forts
Si vous ne prendez pas la bonne porte
Chat-Minou- Infirmier
- Nombre de messages : 4766
Age : 43
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 27/11/2007
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Voilà un jeu de ma wishlist!! Merci pour le test... mais maintenant j'ai encore plus envie de l'avoir!
Incognito- Patient incurable
- Nombre de messages : 1071
Age : 37
Localisation : Var
Date d'inscription : 30/03/2010
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Arf, fautes de frappe et éditions multiples. :/Chat-Minou a écrit:Bon test, plaisant à lire.
Quelques fautes repérées, cependant :entres autres temps fortsSi vous ne prendez pas la bonne porte
Très sympa le jeu oui. :)
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Excellent ton test onel !! J'adore ton style! 8) Et ce jeu par la même :lol:
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Merci ! :)
Il y en aura d'autres, des tests, toujours en photographiant ma télé tant qu'elle tient le coup. :lol:
J'adore ce jeu, il est tellement à part, et tellement réussi je trouve.
Il y en aura d'autres, des tests, toujours en photographiant ma télé tant qu'elle tient le coup. :lol:
J'adore ce jeu, il est tellement à part, et tellement réussi je trouve.
Invité- Invité
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
J'aimerais tant le tester...
Incognito- Patient incurable
- Nombre de messages : 1071
Age : 37
Localisation : Var
Date d'inscription : 30/03/2010
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Je suis d'accord avec les autres, très bon test. J'aime bien les détails concernant le backdraft par exemple, c'est instructif ! :)
Ca me donne envie de rédiger un test moi. Quand je serai au Japon, sûrement.
Ca me donne envie de rédiger un test moi. Quand je serai au Japon, sûrement.
gigoutou- Patient incurable
- Nombre de messages : 1545
Age : 33
Date d'inscription : 13/04/2010
Re: [Retrogaming] The Firemen / SNES
Hop, archivage de ce test dans le labo
_______________________________________________________
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