[TEST] Zelda Phantom Hourglass
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[TEST] Zelda Phantom Hourglass
Test: The Legend of Zelda Phantom Hourglass
(ゼルダの伝説 夢幻の砂時計 - Zelda no Densetsu : Mugen no Sunadokei)
Éditeur : Nintendo
Développeur : Nintendo EAD
Support : Nintendo DS
Sortie :
Japon : 23 juin 007
États-Unis : 1er octobre 2007
Europe : 19 octobre 2007
Twilight Princess aura marqué une forme de renoncement. En effet, lors de la première vidéo du jeu à l’E3 2004, la saga Zelda semblait revenir en arrière par rapport au grand bouleversement qu’a été The Wind Waker. Twilight Princess tirait en effet un trait sur ses graphismes en Cel shading et ses voyages en bateau sur un immense océan. Même si il en avait séduit certain, le pari du changement radicale en avait déboussolé plus d’un.
Eiji Aonuma semblait avoir abandonné l’air marin mais en fait, il n’en était rien ! L’arrivée de la DS va lui permettre de faire perdurer cet univers à part dans la saga.
Continuons notre voyage :
Phantom Hourglass continue exactement là où The Wind Waker s’est arrêté. Les événements passés sont ainsi relatés sous forme de dessins comme pour son prédécesseur. Après cette aventure, Link et Tetra décident de partir à bord du bateau pirate. Ils sont à la conquête du vaste océan et pour découvrir de nouvelles terres. Au cours de leurs pérégrinations, ils croiseront le chemin d’un vaisseau fantômes. Contre l’avis de tous, Tetra décide de l’explorer mais y est prise au piège. Link tente de la sauver mais en vain et se retrouve échoué inconscient sur une plage. Réveillé par une fée nommée Ciela, il va chercher par tous les moyens à retrouver ce bateau fantôme qui sévit régulièrement dans les parages et est responsable de plusieurs enlèvements déjà.
Juste un doigt …un stylet :
En effet, le point important sur ce nouveau Zelda, c’est qu’il se joue intégralement au stylet. C’est un peu déroutant au début pour les purs et durs de la croix directionnelle. Link va bouger selon la position du stylet par rapport à lui. Ce système n’est pas nouveau, on a déjà pu s’y essayer sur Final Fantasy III. Le déplacement ne semble pas poser de problème surtout que même si l’environnement est entièrement en 3D, on demeure constamment en vue du dessus (sauf quelques rares exceptions). Il en résulte que le gameplay est pensé comme un jeu 2D. Mais laissons les graphismes pour plus tard et revenons sur l’usage du stylet. Pour le maniement de l’épée, il suffira de pointer l’ennemi pour le pourfendre si vous êtes assez prêt de lui. Sinon tracez un trait partant de Link et allant vers la direction d’attaque souhaitée. Un cercle autour de lui entrainera la fameuse attaque tornade. En bref, l’attaque se fait avec une extrême précision même si certains auront du mal à exécuter la roulade.
Hormis votre épée, les autres objets de votre équipement que vous allez acquérir au fur et à mesure s’adaptent au stylet. On peut trouver au passage le nombre d’objets limité par rapport autres opus. Bref, vous désignerez votre cible avec l’arc, tracez la trajectoire du boomerang et des missiles sur l’écran… Dans tout les cas, il faut s’adapter et vous appréciez la précision que cela offre ensuite.
Au passage, vous résoudrez certaines énigmes en traçant des dessins et en utilisant le micro (honte publique garantie au passage !)
Vous accédez à vos armes et aux menus (cartes et options) toujours au stylet. Les touches ne sont normalement jamais utilisées sauf 2 exceptions : L et R offrent un raccourci pour l’arme sélectionnée et la croix directionnelle pour la carte des lieux.
C’est pas l’homme qui prend la mer…
La progression et son déroulement se font en digne héritier de The Wind Waker. Peu après le début du jeu, vous parvenez à trouver un moyen de transport auprès du "courageux" Linebeck. Grâce à son bateau, vous pourrez parcourir l’océan et aller d’île en île. Les fans remarqueront immédiatement la taille plus réduite des "eaux" à explorer, surtout quand on pense à l’océan immense de The Wind Waker. D’autres feront la remarque que les voyages deviennent moins monotones. La contemplation fait place à une plus grande efficacité. La carte réduite à 4 grandes zones, vous tracez au stylet votre trajet sur celle-ci et en avant ! A vous d’éviter les obstacles : récifs, ennemis volants divers et variés et autres animaux marins. Vos parcours seront courts mais toujours mouvementés. On ne s’ennuie pas, croyez moi, le canon de votre bateau servira souvent.
Zelda, c’est bien sur une alternance entre explorations et donjons. Pour la progression, on repense tout de suite à la façon dont se déroule un donjon d’un Zelda 2D. Vous enchainez les énigmes et les combats. On avance assez rapidement et les donjons s’avèrent assez facile. Par contre, les boss s’avèrent coriaces, c’est surprenant. Ici il n’y a plus de carte du donjon ni de boussoles dans des coffres, les vieux habitués seront ici à nouveaux surpris. Si vous êtes un cancre et que vous avez une mémoire de poisson rouge, sachez que vous pouvez noter toute sorte de chose sur la carte, le plus souvent la solution à une énigme. Vous pouvez mettre des notes sur toutes les cartes du jeu : Repères sur la mer, nouvelles îles à trouver… C’est l’antisèche du joueur à proprement parler. (Petite astuce : vos notes sur les cartes restent même si vous n’avez pas sauvegarder !)
Dans cette routine, il y aura un donjon central que vous devrez refaire après chaque boss : Le temple du roi des mers. Il est indispensable d’y retourner pour trouver l’information donnant accès au donjon suivant. Il est un peu particulier dans le sens où celui-ci aspire votre énergie hormis sur des zones protégées. Seule parade, le fameux sablier du temps qui vous protégera de ces effets mais sa protection ne sera active tant que le sable s’y écoule. Vous êtes limité dans le temps pendant votre exploration. Vous devrez évitez les spectres qui vous assommeront et vous ferons perdre du temps dans le sablier. Sans compter les pièges vicieux qu’il faut prévoir. Vous gagnerez du sable supplémentaire à chaque boss vaincu et des armes nouvellement acquises pour vous enfoncez un peu plus profondément dans le temple. Cela semble un peu monotone de redémarrer depuis le début à chaque exploration mais le défi ici consistera à trouver des raccourcis avec vos nouveaux objets et à économiser au maximum votre sable.
Et à côté de tout ça, qu’est ce qu’on fait ? Et bien, on recherche les quarts de cœur se disent les fans ! Et bien encore non ! En cherchant bien, vous gagnerez des réceptacles de cœur (entiers donc !) et du sable supplémentaire. À travers divers mini jeux, vous trouverez de nombreuses pièces pour personnaliser votre bateau et elles sont nombreuses. Petit plus pour les coffres submergés indiqués par des cartes au trésor : leur récupération se fait à l’aide d’un mini jeu. Autre détail : vous pouvez revendre certains objets ou les échanger avec d’autres joueurs en ligne.
Cel shading un jour, cel shading toujours !
J’en parlais plus haut : si la façon de jouer ressemble à un jeu en 2D, la réalisation, elle, est bien en 3D. On peut émettre des doutes sur des graphismes et une réalisation qui doivent hériter d’un jeu Gamecube. Mais là rien à dire, votre DS crache littéralement ses poumons. La meilleur 3D que l’on puisse trouver avec encore Final Fantasy III. C’est encore plus réussi si on prend en compte les graphismes en cel shading. L’astuce ici bien sur, c’est que tout se passe sur un seul écran (l’autre affichant la carte), économisant ainsi les ressources de la console. Les textures simplifiées du cel shading donnent un aspect propre et net. Il suffit de voir la surface de l’eau lors des voyages en bateau pour se souvenir de celle de l’opus Gamecube.
Mais les graphismes ne sont rien s’ils ne servent pas une bonne ambiance. Toujours dans la même optique, l’esprit reste enfantin mais l’humour et le loufoque sont décuplés. On rencontre des peuples bizarres, on se vante, on ironise et ce pauvre Link en verra des vertes et des pas murs.
Musicalement, on retrouve beaucoup de morceaux issus des opus précédents et surtout The Wind Waker. Mais le plus souvent, ils sont retravaillés avec toujours cet esprit d’aventure (La musique sur l’océan en est un parfait exemple).
Il parait que c’est meilleur à plusieurs…
À l’aventure classique en solo, cet opus inclus un mode multi et en ligne ! Une première dans la série. Vous décidez de jouer en réseau local, contre un adversaire de votre continent ou du reste du monde. Bien sûr, il y a toujours votre liste d’amis.
Le jeu consiste à jouer à cache-cache à un contre un dans un petit jeu repris du parcours du temple du roi des Mers. Vous incarnez tour à tour Link qui doit récupérer des fragments de Force pour les déposer dans son camp puis les spectres : au nombre de 3, ils doivent stopper Link dans sa quête. Vous et votre adversaire échangez de rôles sur 3 tours. Celui qui a rassemblé le plus de fragments est victorieux. Comme pour le donjon en solo, certaines zones protègent Link des spectres mais peut aussi s’aider de bonus répartis sur le niveau. Les spectres sont dirigés au stylet en traçant leur parcours sur la carte. Ce petit jeu du chat et de la souris est avant tout tactique, il faudra bien placer vos spectres et réfléchir à son parcours quand on incarne Link.
Durée de vie et Conclusion :
Il y a suffisamment à faire sur la partie solo : 8 donjons et les nombreuses quêtes secondaires. Il faut prendre en compte que la progression se fait très rapidement étant donné la facilité des donjons. Une durée de vie déjà bonne auquel il faut adjoindre le mode multi qui pourra maintenir votre intérêt pendant des heures.
En conclusion, les nostalgiques de The Wind Waker retrouveront leur univers fétiches mais avec une recette rendue moins contemplative mais plus efficace. Le jeu reste dans la continuité de la saga en revoyant en même temps ses mécanismes (le gameplay au stylet aide beaucoup). Que dire de plus finalement sinon que nous avons encore à faire à un grand Zelda.
Note : 5 suppos sur 6
(ゼルダの伝説 夢幻の砂時計 - Zelda no Densetsu : Mugen no Sunadokei)
Éditeur : Nintendo
Développeur : Nintendo EAD
Support : Nintendo DS
Sortie :
Japon : 23 juin 007
États-Unis : 1er octobre 2007
Europe : 19 octobre 2007
Twilight Princess aura marqué une forme de renoncement. En effet, lors de la première vidéo du jeu à l’E3 2004, la saga Zelda semblait revenir en arrière par rapport au grand bouleversement qu’a été The Wind Waker. Twilight Princess tirait en effet un trait sur ses graphismes en Cel shading et ses voyages en bateau sur un immense océan. Même si il en avait séduit certain, le pari du changement radicale en avait déboussolé plus d’un.
Eiji Aonuma semblait avoir abandonné l’air marin mais en fait, il n’en était rien ! L’arrivée de la DS va lui permettre de faire perdurer cet univers à part dans la saga.
Continuons notre voyage :
Phantom Hourglass continue exactement là où The Wind Waker s’est arrêté. Les événements passés sont ainsi relatés sous forme de dessins comme pour son prédécesseur. Après cette aventure, Link et Tetra décident de partir à bord du bateau pirate. Ils sont à la conquête du vaste océan et pour découvrir de nouvelles terres. Au cours de leurs pérégrinations, ils croiseront le chemin d’un vaisseau fantômes. Contre l’avis de tous, Tetra décide de l’explorer mais y est prise au piège. Link tente de la sauver mais en vain et se retrouve échoué inconscient sur une plage. Réveillé par une fée nommée Ciela, il va chercher par tous les moyens à retrouver ce bateau fantôme qui sévit régulièrement dans les parages et est responsable de plusieurs enlèvements déjà.
Juste un doigt …un stylet :
En effet, le point important sur ce nouveau Zelda, c’est qu’il se joue intégralement au stylet. C’est un peu déroutant au début pour les purs et durs de la croix directionnelle. Link va bouger selon la position du stylet par rapport à lui. Ce système n’est pas nouveau, on a déjà pu s’y essayer sur Final Fantasy III. Le déplacement ne semble pas poser de problème surtout que même si l’environnement est entièrement en 3D, on demeure constamment en vue du dessus (sauf quelques rares exceptions). Il en résulte que le gameplay est pensé comme un jeu 2D. Mais laissons les graphismes pour plus tard et revenons sur l’usage du stylet. Pour le maniement de l’épée, il suffira de pointer l’ennemi pour le pourfendre si vous êtes assez prêt de lui. Sinon tracez un trait partant de Link et allant vers la direction d’attaque souhaitée. Un cercle autour de lui entrainera la fameuse attaque tornade. En bref, l’attaque se fait avec une extrême précision même si certains auront du mal à exécuter la roulade.
Hormis votre épée, les autres objets de votre équipement que vous allez acquérir au fur et à mesure s’adaptent au stylet. On peut trouver au passage le nombre d’objets limité par rapport autres opus. Bref, vous désignerez votre cible avec l’arc, tracez la trajectoire du boomerang et des missiles sur l’écran… Dans tout les cas, il faut s’adapter et vous appréciez la précision que cela offre ensuite.
Au passage, vous résoudrez certaines énigmes en traçant des dessins et en utilisant le micro (honte publique garantie au passage !)
Vous accédez à vos armes et aux menus (cartes et options) toujours au stylet. Les touches ne sont normalement jamais utilisées sauf 2 exceptions : L et R offrent un raccourci pour l’arme sélectionnée et la croix directionnelle pour la carte des lieux.
C’est pas l’homme qui prend la mer…
La progression et son déroulement se font en digne héritier de The Wind Waker. Peu après le début du jeu, vous parvenez à trouver un moyen de transport auprès du "courageux" Linebeck. Grâce à son bateau, vous pourrez parcourir l’océan et aller d’île en île. Les fans remarqueront immédiatement la taille plus réduite des "eaux" à explorer, surtout quand on pense à l’océan immense de The Wind Waker. D’autres feront la remarque que les voyages deviennent moins monotones. La contemplation fait place à une plus grande efficacité. La carte réduite à 4 grandes zones, vous tracez au stylet votre trajet sur celle-ci et en avant ! A vous d’éviter les obstacles : récifs, ennemis volants divers et variés et autres animaux marins. Vos parcours seront courts mais toujours mouvementés. On ne s’ennuie pas, croyez moi, le canon de votre bateau servira souvent.
Zelda, c’est bien sur une alternance entre explorations et donjons. Pour la progression, on repense tout de suite à la façon dont se déroule un donjon d’un Zelda 2D. Vous enchainez les énigmes et les combats. On avance assez rapidement et les donjons s’avèrent assez facile. Par contre, les boss s’avèrent coriaces, c’est surprenant. Ici il n’y a plus de carte du donjon ni de boussoles dans des coffres, les vieux habitués seront ici à nouveaux surpris. Si vous êtes un cancre et que vous avez une mémoire de poisson rouge, sachez que vous pouvez noter toute sorte de chose sur la carte, le plus souvent la solution à une énigme. Vous pouvez mettre des notes sur toutes les cartes du jeu : Repères sur la mer, nouvelles îles à trouver… C’est l’antisèche du joueur à proprement parler. (Petite astuce : vos notes sur les cartes restent même si vous n’avez pas sauvegarder !)
Dans cette routine, il y aura un donjon central que vous devrez refaire après chaque boss : Le temple du roi des mers. Il est indispensable d’y retourner pour trouver l’information donnant accès au donjon suivant. Il est un peu particulier dans le sens où celui-ci aspire votre énergie hormis sur des zones protégées. Seule parade, le fameux sablier du temps qui vous protégera de ces effets mais sa protection ne sera active tant que le sable s’y écoule. Vous êtes limité dans le temps pendant votre exploration. Vous devrez évitez les spectres qui vous assommeront et vous ferons perdre du temps dans le sablier. Sans compter les pièges vicieux qu’il faut prévoir. Vous gagnerez du sable supplémentaire à chaque boss vaincu et des armes nouvellement acquises pour vous enfoncez un peu plus profondément dans le temple. Cela semble un peu monotone de redémarrer depuis le début à chaque exploration mais le défi ici consistera à trouver des raccourcis avec vos nouveaux objets et à économiser au maximum votre sable.
Et à côté de tout ça, qu’est ce qu’on fait ? Et bien, on recherche les quarts de cœur se disent les fans ! Et bien encore non ! En cherchant bien, vous gagnerez des réceptacles de cœur (entiers donc !) et du sable supplémentaire. À travers divers mini jeux, vous trouverez de nombreuses pièces pour personnaliser votre bateau et elles sont nombreuses. Petit plus pour les coffres submergés indiqués par des cartes au trésor : leur récupération se fait à l’aide d’un mini jeu. Autre détail : vous pouvez revendre certains objets ou les échanger avec d’autres joueurs en ligne.
Cel shading un jour, cel shading toujours !
J’en parlais plus haut : si la façon de jouer ressemble à un jeu en 2D, la réalisation, elle, est bien en 3D. On peut émettre des doutes sur des graphismes et une réalisation qui doivent hériter d’un jeu Gamecube. Mais là rien à dire, votre DS crache littéralement ses poumons. La meilleur 3D que l’on puisse trouver avec encore Final Fantasy III. C’est encore plus réussi si on prend en compte les graphismes en cel shading. L’astuce ici bien sur, c’est que tout se passe sur un seul écran (l’autre affichant la carte), économisant ainsi les ressources de la console. Les textures simplifiées du cel shading donnent un aspect propre et net. Il suffit de voir la surface de l’eau lors des voyages en bateau pour se souvenir de celle de l’opus Gamecube.
Mais les graphismes ne sont rien s’ils ne servent pas une bonne ambiance. Toujours dans la même optique, l’esprit reste enfantin mais l’humour et le loufoque sont décuplés. On rencontre des peuples bizarres, on se vante, on ironise et ce pauvre Link en verra des vertes et des pas murs.
Musicalement, on retrouve beaucoup de morceaux issus des opus précédents et surtout The Wind Waker. Mais le plus souvent, ils sont retravaillés avec toujours cet esprit d’aventure (La musique sur l’océan en est un parfait exemple).
Il parait que c’est meilleur à plusieurs…
À l’aventure classique en solo, cet opus inclus un mode multi et en ligne ! Une première dans la série. Vous décidez de jouer en réseau local, contre un adversaire de votre continent ou du reste du monde. Bien sûr, il y a toujours votre liste d’amis.
Le jeu consiste à jouer à cache-cache à un contre un dans un petit jeu repris du parcours du temple du roi des Mers. Vous incarnez tour à tour Link qui doit récupérer des fragments de Force pour les déposer dans son camp puis les spectres : au nombre de 3, ils doivent stopper Link dans sa quête. Vous et votre adversaire échangez de rôles sur 3 tours. Celui qui a rassemblé le plus de fragments est victorieux. Comme pour le donjon en solo, certaines zones protègent Link des spectres mais peut aussi s’aider de bonus répartis sur le niveau. Les spectres sont dirigés au stylet en traçant leur parcours sur la carte. Ce petit jeu du chat et de la souris est avant tout tactique, il faudra bien placer vos spectres et réfléchir à son parcours quand on incarne Link.
Durée de vie et Conclusion :
Il y a suffisamment à faire sur la partie solo : 8 donjons et les nombreuses quêtes secondaires. Il faut prendre en compte que la progression se fait très rapidement étant donné la facilité des donjons. Une durée de vie déjà bonne auquel il faut adjoindre le mode multi qui pourra maintenir votre intérêt pendant des heures.
En conclusion, les nostalgiques de The Wind Waker retrouveront leur univers fétiches mais avec une recette rendue moins contemplative mais plus efficace. Le jeu reste dans la continuité de la saga en revoyant en même temps ses mécanismes (le gameplay au stylet aide beaucoup). Que dire de plus finalement sinon que nous avons encore à faire à un grand Zelda.
Note : 5 suppos sur 6
Jayetbobfr- Docteur *
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Localisation : Près de Lille
Date d'inscription : 20/06/2007
Re: [TEST] Zelda Phantom Hourglass
Excellent test Jayetbobfr
Mais comme tu l'indiques dans ta conclusion, bien que ce soit un très bon titre, il s'adresse avant tout à ceux qui ont aimés Wind Walker ...
A quand donc un VRAI Zelda sur cette console style OOT .... je croyais pourtant que la DS était capable de proposer le même rendu que celui de la N64 ... je ne peux sentir le design "Wind walker style" ... :no
Mais comme tu l'indiques dans ta conclusion, bien que ce soit un très bon titre, il s'adresse avant tout à ceux qui ont aimés Wind Walker ...
A quand donc un VRAI Zelda sur cette console style OOT .... je croyais pourtant que la DS était capable de proposer le même rendu que celui de la N64 ... je ne peux sentir le design "Wind walker style" ... :no
Invité- Invité
Re: [TEST] Zelda Phantom Hourglass
Je dirai meme que la DS peut mieux faire que la N64 : le processeur est plus véloce. OOT est tout a fait realisable sur la DS.
Tres bon test, pas de fautes, 1.5 suppo$ !
Tres bon test, pas de fautes, 1.5 suppo$ !
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Re: [TEST] Zelda Phantom Hourglass
Merci, heureusement que je me relie car des fois, on se rend compte qu'on a écrit des phrases sans aucun sens.drfloyd a écrit:Je dirai meme que la DS peut mieux faire que la N64 : le processeur est plus véloce. OOT est tout a fait realisable sur la DS.
Tres bon test, pas de fautes, 1.5 suppo$ !
Jayetbobfr- Docteur *
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