Netflix, OCS & Co, le topic officiel
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
pour ceux qui ont Netflix
Je ne sais pas quoi penser de la musique , même si çà colle bien
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pedro- Patient incurable
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Gilles_fx a écrit:Sinon vous êtes abonnés à quels services ?
Netflix, à 4€/mois en HD/3 comptes on le sent pas passer et c'est tellement plus pratique...
Agréablement surpris par Sweet Tooth, une fable de science-fiction sur fond de pandémie, découvert par hasard au gré des suggestions/recommandations !
Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Idem sweet tooth est pas mal je viens de commencer.Matari a écrit:Gilles_fx a écrit:Sinon vous êtes abonnés à quels services ?
Netflix, à 4€/mois en HD/3 comptes on le sent pas passer et c'est tellement plus pratique...
Agréablement surpris par Sweet Tooth, une fable de science-fiction sur fond de pandémie, découvert par hasard au gré des suggestions/recommandations !
Très agréablement surpris par LOKI vraiment un gros potentiel contrairement aux autres série marvel ou j'ai été obligé de me forcer pour finir le 1er épisode
2la99- Patient contaminé
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Je ne regarde jamais de séries, je n'ai pas de temps à consacrer à regarder plein d'épisodes.
A si, je fais une exception, je regarde Mythic Quest.
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Gilles_fx- Patient incurable
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Après c'est surtout que certaines histoires permettent un développement plus élaboré mais le plus souvent passé les saisons 1/2 c'est juste un moyen de faire de l'audienceGilles_fx a écrit:Je ne regarde jamais de séries, je n'ai pas de temps à consacrer à regarder plein d'épisodes.
A si, je fais une exception, je regarde Mythic Quest.
2la99- Patient contaminé
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Matari a écrit:Gilles_fx a écrit:Sinon vous êtes abonnés à quels services ?
Netflix, à 4€/mois en HD/3 comptes on le sent pas passer et c'est tellement plus pratique...
Agréablement surpris par Sweet Tooth, une fable de science-fiction sur fond de pandémie, découvert par hasard au gré des suggestions/recommandations !
j'hésite, car c'est quand meme rare qu'on regarde plusieurs prog netflix en meme temps
et pour la 4K, franchement, des fois je n'arrive pas a savoir si un prog est en 4K ou pas.... la différence visuelle n'est pas folle.
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Netflix à 4euros ??? ça sort d'où ??
Ataré- Dr du Suppo Suprême *****
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Ataré a écrit:Netflix à 4euros ??? ça sort d'où ??
Petite astuce que je ne préfère pas afficher en clair ici, on sait jamais. Tu trouves ça facilement sur le net sinon MP pour ceux que ça peut intéresser (j'ai déjà évoqué le sujet il y a plusieurs mois).
Sinon Netflix pour moi c'est consommation de série à 99%, les (bons) films je préfère les posséder.
Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
pedro a écrit:pour ceux qui ont Netflix
Je ne sais pas quoi penser de la musique , même si çà colle bien
ce qui est bien c'est que je viens de voir toute la saison dans cette bande annonce qui spoil tout.
une bouzasse en moins
Ataré- Dr du Suppo Suprême *****
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Matari a écrit:Ataré a écrit:Netflix à 4euros ??? ça sort d'où ??
Petite astuce que je ne préfère pas afficher en clair ici, on sait jamais. Tu trouves ça facilement sur le net sinon MP pour ceux que ça peut intéresser (j'ai déjà évoqué le sujet il y a plusieurs mois).
Sinon Netflix pour moi c'est consommation de série à 99%, les (bons) films je préfère les posséder.
ah, j'avais cru comprendre que t'avais pris l'option 4K pour 4e en rab.....
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
drfloyd a écrit:
ah, j'avais cru comprendre que t'avais pris l'option 4K pour 4e en rab.....
Non, je n'ai pas encore de TV 4K, je reste en FHD pour un moment encore...
Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Bon, j'ai repris GOT que j'avais lâché à la fin de la saison 6. Hier soir j'ai donc maté le dernier épisode de la saison 7 ...
(oui je sais, j'ai un wagon de retard)
Daenerys débarque à Westeros, ce qui enclenche la lutte pour le Throne de fer et la guerre contre les marcheurs blancs. Là les choses sérieuses commencent et clairement ça s'accélère. Et en plus, il va falloir raconter tout ça en seulement 7 épisodes au lieu des 10 habituels pour les saisons précédentes. Résultat, Les intrigues secondaires sont bâclées ou trop vites expédiées, tandis que la plupart des personnages secondaires sont délaissés, certains n'apparaissent même que le temps de 1 ou 2 épisodes, 5 minutes par-ci, par-là. Après faut savoir ce qu'on veut, je reprochais aux saison 5 & 6 de démarrer trop doucement. Je ne pourrais pas formuler le même reproche pour cette saison 7. Alors certes, 2 ou 3 épisodes supplémentaires n'auraient pas fait de mal, ça aurait éviter les incohérences temporelles et les "téléportations" d'un lieu à un autre d'un coup de baguette magique. Tout se passe plus vite durant cette saison 7, mais ce n'est pas plus mal finalement, après les 2 saisons précédentes très lentes. Et elle fait la part belle à l'action, la direction artistique est toujours impeccables et les effets spéciaux gagnent encore en qualité.
Cette saison 7 confirme également, que Jon Snow est décidément immortel ! Encore une fois, même quand la situation devient franchement désespérée pour lui, il arrive encore à s'en sortir par "on ne sait quel miracle".
Bref, cette avant dernière saison se révèle être courte, par moment bizarre, mais au finale très prenante. Elle nous offre une belle réalisation, le suspense et l'intensité dramatique sont au rendez vous ... là est bien l'essentiel.
(oui je sais, j'ai un wagon de retard)
Daenerys débarque à Westeros, ce qui enclenche la lutte pour le Throne de fer et la guerre contre les marcheurs blancs. Là les choses sérieuses commencent et clairement ça s'accélère. Et en plus, il va falloir raconter tout ça en seulement 7 épisodes au lieu des 10 habituels pour les saisons précédentes. Résultat, Les intrigues secondaires sont bâclées ou trop vites expédiées, tandis que la plupart des personnages secondaires sont délaissés, certains n'apparaissent même que le temps de 1 ou 2 épisodes, 5 minutes par-ci, par-là. Après faut savoir ce qu'on veut, je reprochais aux saison 5 & 6 de démarrer trop doucement. Je ne pourrais pas formuler le même reproche pour cette saison 7. Alors certes, 2 ou 3 épisodes supplémentaires n'auraient pas fait de mal, ça aurait éviter les incohérences temporelles et les "téléportations" d'un lieu à un autre d'un coup de baguette magique. Tout se passe plus vite durant cette saison 7, mais ce n'est pas plus mal finalement, après les 2 saisons précédentes très lentes. Et elle fait la part belle à l'action, la direction artistique est toujours impeccables et les effets spéciaux gagnent encore en qualité.
Cette saison 7 confirme également, que Jon Snow est décidément immortel ! Encore une fois, même quand la situation devient franchement désespérée pour lui, il arrive encore à s'en sortir par "on ne sait quel miracle".
Bref, cette avant dernière saison se révèle être courte, par moment bizarre, mais au finale très prenante. Elle nous offre une belle réalisation, le suspense et l'intensité dramatique sont au rendez vous ... là est bien l'essentiel.
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Netflix, amazon et shadowz (c po mal shadowz pour voir des vieux nanar d'horreur et autre quatrevindiseries oubliées)
dav1974- Interne
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Je vous présente ma sitcom du moment, Happy Endings ...
Oubliez le synopsis de départ, à savoir "comment un groupe d'amis peut-il résister à la séparation de deux d'entre eux le jour de leur mariage au pied de l'autel ?", il sera vite évacué au bout de 2 ou 3 épisodes. Et puis rien que le titre du show "Happy endings" dévoile le pot aux roses, ça ne peut que finir bien de toute façon. Non en réalité ce que nous avons là, c'est une sitcom "à la Friends", une série sur les trentenaires et pour les trentenaires, une feel-good sitcom drôle avec une pointe de sentiments. Sur le fond Happy Ending reprend donc la formule de Friends, mais sur la forme c'est très différent car ici pas de rires enregistrés et le tout est filmé en multi-caméras. Et puis contrairement à son ainée, Happy Endings tient compte de la diversité. Nous avons un couple interracial Brad et Jane (Damon Wayans Jr et Eliza Coupe), le couple séparé Alex et Dave (Elisha Cuthbert et Zachary Knighton), la bonne amie potelée un peu délurée Penny (Casey Wilson) et le bon pote potelé gay Max (Adam Pally). Comme dans Friends, ils sont donc 6 (3 garçons + 3 filles) et tout s'articule autour de 2 amis Alex et Dave qui se tournent autour tout le long de la série et dont le destin veut qu'ils finissent ensembles, tels les nouveaux Ross et Rachel. Mais clairement, question rires c'est Adam Pally qui vole la vedette à tout le groupe, le gars est hilarant. En plus son interprétation du gay est très subtile et va à l'encontre de tous les clichés du genre, il n'en fait pas une fofolle maniérée comme dans Will & Grace ou Modern Family. Son pouvoir comique est évident, qu'on retrouve également dans The Mindy Project, autre sitcom des années 2010 très drôle. Mention spéciale aussi au couple Damon Wayans Jr (déjà très drôle dans New Girl) et Eliza Coupe (déjà très drôle dans Scrubs), l'alchimie est évidente entre les 2 acteurs. A savoir que Damon Wayans Jr. est le fils de Damon Wayans, plus connu pour sa sitcom Ma Famille d’abord mais aussi pour son rôle dans Le Dernier Samaritain avec Bruce Willis (excellent Buddy Movie de Tony Scott et Shane Black). D'ailleurs, Damon Wayans apparaitra le temps d'un épisode et tout naturellement dans le rôle du père de Brad. Mais dans l'ensemble le casting est très équilibré et la série ne tourne pas autour d'un seul personnage complètement loufoque comme Barney dans HIMYM ou Sheldon dans The Big bang Theory. Non, ici tous les personnages ont droit à leurs petits moments de gloire, tous ont leur importance et forment ensemble une vraie bande potes ... comme au bon vieux temps de Friends, justement. Et à l'inverse de The Big Bang Théory, la série n'en fait jamais trop dans les références à la pop-culture américaine. De plus le ton de la série se veut réaliste, les scénario n'en font pas des tonnes dans le n'importe quoi comme dans HIMYM.
Bref, Happy Ending bénéficie avant tout d'un très bon casting (qualité essentielle à toutes bonne sitcom), tous les personnages sont attachants, l'écriture est soignée, c'est toujours drôle, parfois touchant ... une sitcom qui n'aura pas eu le succès qu'elle méritait, malheureusement :/
Oubliez le synopsis de départ, à savoir "comment un groupe d'amis peut-il résister à la séparation de deux d'entre eux le jour de leur mariage au pied de l'autel ?", il sera vite évacué au bout de 2 ou 3 épisodes. Et puis rien que le titre du show "Happy endings" dévoile le pot aux roses, ça ne peut que finir bien de toute façon. Non en réalité ce que nous avons là, c'est une sitcom "à la Friends", une série sur les trentenaires et pour les trentenaires, une feel-good sitcom drôle avec une pointe de sentiments. Sur le fond Happy Ending reprend donc la formule de Friends, mais sur la forme c'est très différent car ici pas de rires enregistrés et le tout est filmé en multi-caméras. Et puis contrairement à son ainée, Happy Endings tient compte de la diversité. Nous avons un couple interracial Brad et Jane (Damon Wayans Jr et Eliza Coupe), le couple séparé Alex et Dave (Elisha Cuthbert et Zachary Knighton), la bonne amie potelée un peu délurée Penny (Casey Wilson) et le bon pote potelé gay Max (Adam Pally). Comme dans Friends, ils sont donc 6 (3 garçons + 3 filles) et tout s'articule autour de 2 amis Alex et Dave qui se tournent autour tout le long de la série et dont le destin veut qu'ils finissent ensembles, tels les nouveaux Ross et Rachel. Mais clairement, question rires c'est Adam Pally qui vole la vedette à tout le groupe, le gars est hilarant. En plus son interprétation du gay est très subtile et va à l'encontre de tous les clichés du genre, il n'en fait pas une fofolle maniérée comme dans Will & Grace ou Modern Family. Son pouvoir comique est évident, qu'on retrouve également dans The Mindy Project, autre sitcom des années 2010 très drôle. Mention spéciale aussi au couple Damon Wayans Jr (déjà très drôle dans New Girl) et Eliza Coupe (déjà très drôle dans Scrubs), l'alchimie est évidente entre les 2 acteurs. A savoir que Damon Wayans Jr. est le fils de Damon Wayans, plus connu pour sa sitcom Ma Famille d’abord mais aussi pour son rôle dans Le Dernier Samaritain avec Bruce Willis (excellent Buddy Movie de Tony Scott et Shane Black). D'ailleurs, Damon Wayans apparaitra le temps d'un épisode et tout naturellement dans le rôle du père de Brad. Mais dans l'ensemble le casting est très équilibré et la série ne tourne pas autour d'un seul personnage complètement loufoque comme Barney dans HIMYM ou Sheldon dans The Big bang Theory. Non, ici tous les personnages ont droit à leurs petits moments de gloire, tous ont leur importance et forment ensemble une vraie bande potes ... comme au bon vieux temps de Friends, justement. Et à l'inverse de The Big Bang Théory, la série n'en fait jamais trop dans les références à la pop-culture américaine. De plus le ton de la série se veut réaliste, les scénario n'en font pas des tonnes dans le n'importe quoi comme dans HIMYM.
Bref, Happy Ending bénéficie avant tout d'un très bon casting (qualité essentielle à toutes bonne sitcom), tous les personnages sont attachants, l'écriture est soignée, c'est toujours drôle, parfois touchant ... une sitcom qui n'aura pas eu le succès qu'elle méritait, malheureusement :/
Dernière édition par lessthantod le Lun 28 Juin 2021 - 0:44, édité 3 fois
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Le poteau rose ?
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Je voulais vous parler de l'une de mes sitcom favorite, The Office (US) ...
The Office (US) est définitivement l'une des meilleures sitcom que je connaisse. Avec le temps, au fur et à mesure qu'on avance dans les saisons, elle a réussie "chose pas facile" à se démarquer de son ainée UK made in Ricky Gervais. Aussi hilarante que son ainée, elle a su développer ses personnages, en faire évoluer certains et en introduire d'autres. L'humour british très prononcé des premières saisons, un humour très noir, bête et méchant ... peu à peu disparait au profit d'un humour plus standardisé américain. Les personnages sont toujours aussi bêtes, mais moins méchants, en découle des situations plus touchantes.
Et que dire de Steve Carell, il apporte énormément d'empathie pour un personnage qui de base ne l'est pas du tout. Michael Scott est un personnage profondément Idiot, égoïste, bête et méchant, mais qui aime profondément les gens avec qui il travaille (même s'il le démontre très mal). Non vraiment, la prestation de Steve Carell, c'est la classe incarnée. Ensuite il y a l'alchimie entre John Krasinski et Jenna Fischer qui est évidente, le couple Pam et Jim étant l'une des grandes forces de la série et le fil conducteur qui lui aura permis de durer 9 longues années. Et puis Rainn Wilson est hilarant dans son rôle de Dwigth Schrute, l'employé complètement sociopathe et imprévisible. Pour finir j'ai envie de mentionner Ed Helm que j'aime beaucoup dans le rôle d'Andy, un personnage qui a du cœur, tellement drôle et attachant et encore plus attachant lorsque débarque Ellie Kemper dans le rôle d'Erin la nouvelle réceptionniste. J'aime beaucoup la dynamique qui se créé entre ces 2 tourtereaux. Seulement dommage d'avoir complètement gâché cette relation sur les 2 dernières saisons, en faisant d'Andy un personnage pitoyable et détestable au possible (un véritable looser). Et je pourrais continuer longtemps comme ça dans la galerie des personnages, tellement ils sont nombreux à m'avoir profondément marqué et touché.
Mais voilà que la saison 8 arrive et se pose alors la question suivante : comment continuer sans Steve Carell ? Avec son départ au milieu de la saison précédente, je craignais tout naturellement une baisse de régime, mais finalement pas du tout et même au contraire. Cette saison 8 (l'avant dernière) est moins bonne que les premières, mais meilleure que la précédente. La série se réinvente sans Steve Carrel, les second rôles prennent plus d'importance et les intrigues se renouvellent. Il n'y a vraiment que le personnage d'Andy qui pose problème, les scénaristes ayant complètement foiré son évolution. Ed Helm fait ce qu'il peut pour surnager dans tout ça, mais n'y arrive pas ... la faute une fois encore à l'écriture de son personnage qui en fait un looser pathétique.
Au final, qu'est-ce que je retiens de The Office (US) ? Moi je retiens 9 années de vie au bureau entre employés complètement barrés, tous dirigés par un boss encore plus barré. On rit beaucoup, mais ce qui rend cette sitcom vraiment spéciale pour moi, c'est l'émotion qu'elle suscite en nous. Tous les personnages sont tellement attachants, on aime rire et pleurer avec eux ... on aimerait juste que ça ne finisse jamais.
The Office (US) est définitivement l'une des meilleures sitcom que je connaisse. Avec le temps, au fur et à mesure qu'on avance dans les saisons, elle a réussie "chose pas facile" à se démarquer de son ainée UK made in Ricky Gervais. Aussi hilarante que son ainée, elle a su développer ses personnages, en faire évoluer certains et en introduire d'autres. L'humour british très prononcé des premières saisons, un humour très noir, bête et méchant ... peu à peu disparait au profit d'un humour plus standardisé américain. Les personnages sont toujours aussi bêtes, mais moins méchants, en découle des situations plus touchantes.
Et que dire de Steve Carell, il apporte énormément d'empathie pour un personnage qui de base ne l'est pas du tout. Michael Scott est un personnage profondément Idiot, égoïste, bête et méchant, mais qui aime profondément les gens avec qui il travaille (même s'il le démontre très mal). Non vraiment, la prestation de Steve Carell, c'est la classe incarnée. Ensuite il y a l'alchimie entre John Krasinski et Jenna Fischer qui est évidente, le couple Pam et Jim étant l'une des grandes forces de la série et le fil conducteur qui lui aura permis de durer 9 longues années. Et puis Rainn Wilson est hilarant dans son rôle de Dwigth Schrute, l'employé complètement sociopathe et imprévisible. Pour finir j'ai envie de mentionner Ed Helm que j'aime beaucoup dans le rôle d'Andy, un personnage qui a du cœur, tellement drôle et attachant et encore plus attachant lorsque débarque Ellie Kemper dans le rôle d'Erin la nouvelle réceptionniste. J'aime beaucoup la dynamique qui se créé entre ces 2 tourtereaux. Seulement dommage d'avoir complètement gâché cette relation sur les 2 dernières saisons, en faisant d'Andy un personnage pitoyable et détestable au possible (un véritable looser). Et je pourrais continuer longtemps comme ça dans la galerie des personnages, tellement ils sont nombreux à m'avoir profondément marqué et touché.
Mais voilà que la saison 8 arrive et se pose alors la question suivante : comment continuer sans Steve Carell ? Avec son départ au milieu de la saison précédente, je craignais tout naturellement une baisse de régime, mais finalement pas du tout et même au contraire. Cette saison 8 (l'avant dernière) est moins bonne que les premières, mais meilleure que la précédente. La série se réinvente sans Steve Carrel, les second rôles prennent plus d'importance et les intrigues se renouvellent. Il n'y a vraiment que le personnage d'Andy qui pose problème, les scénaristes ayant complètement foiré son évolution. Ed Helm fait ce qu'il peut pour surnager dans tout ça, mais n'y arrive pas ... la faute une fois encore à l'écriture de son personnage qui en fait un looser pathétique.
Au final, qu'est-ce que je retiens de The Office (US) ? Moi je retiens 9 années de vie au bureau entre employés complètement barrés, tous dirigés par un boss encore plus barré. On rit beaucoup, mais ce qui rend cette sitcom vraiment spéciale pour moi, c'est l'émotion qu'elle suscite en nous. Tous les personnages sont tellement attachants, on aime rire et pleurer avec eux ... on aimerait juste que ça ne finisse jamais.
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anachronox offre 1 suppo à ce post!
Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Top 3 des séries comiques pour moi. Je me suis fait l'intégrale 2 fois et rien que d'y repenser j'ai envie de la refaire =)
De la pure merveille, même si ça baisse beaucoup sans Steve Carrel.
Mon personnage préféré : Kevin. Idiot mais tellement attachant =)
De la pure merveille, même si ça baisse beaucoup sans Steve Carrel.
Mon personnage préféré : Kevin. Idiot mais tellement attachant =)
anachronox- Guéri miraculeux
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
lessthantod a écrit:
The Office (US) est définitivement l'une des meilleures sitcom que je connaisse. Avec le temps, au fur et à mesure qu'on avance dans les saisons, elle a réussie "chose pas facile"
Au final, qu'est-ce que je retiens de The Office (US) ? Moi je retiens 9 années de vie au bureau entre employés complètement barrés, tous dirigés par un boss encore plus barré. On rit beaucoup, mais ce qui rend cette sitcom vraiment spéciale pour moi, c'est l'émotion qu'elle suscite en nous. Tous les personnages sont tellement attachants, on aime rire et pleurer avec eux ... on aimerait juste que ça ne finisse jamais.
Tellement d'accord. La meilleure série comique pour moi.
Et quand on a fini la dernière saison, on a juste envie de recommencer la première, c'est pas donné à toutes les séries.
jedibald- Patient contaminé
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
anachronox a écrit:Top 3 des séries comiques pour moi.
Content de voir que je ne suis pas le seul fan de la sériejedibald a écrit:Tellement d'accord. La meilleure série comique pour moi.
Si on considère que Steve Carell/Michael Scott est hors-concours, alors mon perso préféré de la série serait Dwight. Mais si les scénaristes n'avaient pas foiré l'écriture d'Andy sur les 2 dernières saisons ... alors ça aurait été Andy.
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Ca vous rappelle des ambiances de bureau réelles ?
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Si seulement tu lui donnais sa chance pour une fois, au lieu de juger sans l'avoir vu ?drfloyd a écrit:Ca vous rappelle des ambiances de bureau réelles ?
Et en vostfr de préférence
Et pareil pour Seinfeld
lessthantod- Docteur Chef de Service ***
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
??? ce n'etait pas une critique négative de ma part...... Ca peut rappeler des ambiances de bureau non ?
Seinfeld, d'après le philosophe Markus Gabriel (celui qui pense que l'univers n'existe pas) c'est la meilleure série du monde
Là je m'eclate avec FINAL SPACE, je retrouve mes sensations des années 90 quand je suivais les Simpsons !
Seinfeld, d'après le philosophe Markus Gabriel (celui qui pense que l'univers n'existe pas) c'est la meilleure série du monde
Là je m'eclate avec FINAL SPACE, je retrouve mes sensations des années 90 quand je suivais les Simpsons !
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
La meilleure série comique, c'est Malcolm.
Juanito1979- Guéri miraculeux
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Les meilleures séries comiquesJuanito1979 a écrit:La meilleure série comique, c'est Malcolm.
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Mes 2 petites séries du moment que je visionne à la cool, Silicon Valley et The Mindy Project ...
Alors à première vue, si on s'arrête au synopsis de la série, on peut craindre le bête copier-coller de The Big Bang Theory ... mais en réalité ça n'a absolument rien a voir. Dés le premier épisode, le ton est donné et ne laisse donc aucune doute sur les intentions du Show Runner. Même si les personnages sont atypiques et geek dans l'âme, un peu comme dans TBBT, ici ils le jouent avec le plus grand sérieux du monde. C'est donc le décalage entre le ton sérieux de la série et ses personnages décalés, qui suscite le rire. Et même sur le fond les 2 séries sont très différentes, finalement. Alors certes, dans les 2 séries ça parle de nerds et de geeks, mais dans Silicon Valley on visitera plutôt l'environnement bureaux de "l'entrepreneurship" plutôt que l'appartement "à la Friends". On va donc suivre de jeunes développeurs, des geek high-tech asocial, qui rêvent de succès en démarrant une startup. On s'éloigne vraiment du ton et des thèmes abordés dans TBBT avec son humour très (trop ?) référencé aux comics, le cinéma, les super héros, la science fiction, les sciences ...
Gilfoyle et Dinesh sont de très loin mes 2 personnages préférés, j'adore leur dynamique, ça fonctionne très bien entre ces 2 là, alors que Richard m'apparait de plus en plus irritant. Les tics répétés de l'acteur principal Thomas Middleditch, m'agacent furieusement. Quant à Monica, l'attrait féminin de la série, elle est ravissante.
Par contre, plus les saisons avancent, plus le personnage de Peter Gregory me manque. La mort de l'acteur au milieu de la saison 1 a laissé un vide qui ne sera jamais comblé par la suite (RIP Christopher Evan Welch :/ ).
Mindy Kaling s'est d'abord fait connaître auprès du grand public dans The Office (US), grâce au rôle de la très superficielle Kelly Kapoor. Mais ici elle vole de ses propres ailes, The Mindy Project étant réellement son projet à elle (d'où le titre de la série). Créatrice et productrice de la série, elle se donne le rôle principal de Mindy, un rôle très différent de Kelly Kapoor et que j'imagine plus proche de ce qu'elle est vraiment dans la réalité (elle dans la vraie vie, quoi).
Mindy est donc attachante, pétillante ... une véritable boule d'énergie qui ravage tout sur son passage. C'est d'ailleurs la force, mais aussi la limite d'un concept qui est auto centrée sur elle-même, ne laissant que peu de place pour ses collègues de travail. Certains arrivent néanmoins à exister, certains plus que d'autres. Je pense en premier lieu au très talentueux Chris Messina, à la fois drôle et sensible dans le rôle de Danny le "love interest". On retrouve aussi Ike Barinholtz dans le rôle de l'infirmier Morgan, un infirmier complètement barré, un rôle lui permettant de laisser libre cours à toutes ses facéties. Et pour finir, mention spéciale à Adam Pally, qui débarque dans la série après l'annulation de Happy Endings (aka Max l'ami gay). Ici il joue le rôle du Dr Peter Prentice le nouveau collègue de Mindy et son apport humoristique à la série est évidente.
The Mindy Project c'est un humour doux-amer jubilatoire (marque de fabrique de Mindy Kaling) et avec de très nombreux caméos, tous très réussis et venus de toute part (acteurs invités de The Office (US), 30 Rock, SNL, mais aussi Seth Rogen et James Franco). L'équilibre est parfait entre le jeu sobre des acteurs, les dialogues excellemment bien écrits et les situations bien barrées. C'est vraiment un humour et un ton qui "contrairement ce qu'on aurait pu craindre" est à l'opposé d'un Sex & The City ou d'un Ally McBeal par exemple.
Alors à première vue, si on s'arrête au synopsis de la série, on peut craindre le bête copier-coller de The Big Bang Theory ... mais en réalité ça n'a absolument rien a voir. Dés le premier épisode, le ton est donné et ne laisse donc aucune doute sur les intentions du Show Runner. Même si les personnages sont atypiques et geek dans l'âme, un peu comme dans TBBT, ici ils le jouent avec le plus grand sérieux du monde. C'est donc le décalage entre le ton sérieux de la série et ses personnages décalés, qui suscite le rire. Et même sur le fond les 2 séries sont très différentes, finalement. Alors certes, dans les 2 séries ça parle de nerds et de geeks, mais dans Silicon Valley on visitera plutôt l'environnement bureaux de "l'entrepreneurship" plutôt que l'appartement "à la Friends". On va donc suivre de jeunes développeurs, des geek high-tech asocial, qui rêvent de succès en démarrant une startup. On s'éloigne vraiment du ton et des thèmes abordés dans TBBT avec son humour très (trop ?) référencé aux comics, le cinéma, les super héros, la science fiction, les sciences ...
Gilfoyle et Dinesh sont de très loin mes 2 personnages préférés, j'adore leur dynamique, ça fonctionne très bien entre ces 2 là, alors que Richard m'apparait de plus en plus irritant. Les tics répétés de l'acteur principal Thomas Middleditch, m'agacent furieusement. Quant à Monica, l'attrait féminin de la série, elle est ravissante.
Par contre, plus les saisons avancent, plus le personnage de Peter Gregory me manque. La mort de l'acteur au milieu de la saison 1 a laissé un vide qui ne sera jamais comblé par la suite (RIP Christopher Evan Welch :/ ).
Mindy Kaling s'est d'abord fait connaître auprès du grand public dans The Office (US), grâce au rôle de la très superficielle Kelly Kapoor. Mais ici elle vole de ses propres ailes, The Mindy Project étant réellement son projet à elle (d'où le titre de la série). Créatrice et productrice de la série, elle se donne le rôle principal de Mindy, un rôle très différent de Kelly Kapoor et que j'imagine plus proche de ce qu'elle est vraiment dans la réalité (elle dans la vraie vie, quoi).
Mindy est donc attachante, pétillante ... une véritable boule d'énergie qui ravage tout sur son passage. C'est d'ailleurs la force, mais aussi la limite d'un concept qui est auto centrée sur elle-même, ne laissant que peu de place pour ses collègues de travail. Certains arrivent néanmoins à exister, certains plus que d'autres. Je pense en premier lieu au très talentueux Chris Messina, à la fois drôle et sensible dans le rôle de Danny le "love interest". On retrouve aussi Ike Barinholtz dans le rôle de l'infirmier Morgan, un infirmier complètement barré, un rôle lui permettant de laisser libre cours à toutes ses facéties. Et pour finir, mention spéciale à Adam Pally, qui débarque dans la série après l'annulation de Happy Endings (aka Max l'ami gay). Ici il joue le rôle du Dr Peter Prentice le nouveau collègue de Mindy et son apport humoristique à la série est évidente.
The Mindy Project c'est un humour doux-amer jubilatoire (marque de fabrique de Mindy Kaling) et avec de très nombreux caméos, tous très réussis et venus de toute part (acteurs invités de The Office (US), 30 Rock, SNL, mais aussi Seth Rogen et James Franco). L'équilibre est parfait entre le jeu sobre des acteurs, les dialogues excellemment bien écrits et les situations bien barrées. C'est vraiment un humour et un ton qui "contrairement ce qu'on aurait pu craindre" est à l'opposé d'un Sex & The City ou d'un Ally McBeal par exemple.
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Pour ma part, j'ai enfin vu la série Firefly ...
Firefly c'est un mélange assez habile entre la SF, le space opéra et le western. Très vite la comparaison avec l'animé Cowboy Bebop (lui même très inspiré par le cinéma américain) saute aux yeux. Le concept est simple, on mélange le passé et le future pour en faire une série.
On suit donc les aventures d'un équipage de 9 membres, tous avec une identité propre et bien tranchée, explorer des planètes étrangères. Mais ici il n'est pas question de rencontres avec des aliens, on a plutôt l'impression de visiter le passé dans des paysages dignes des western des années 70, avec les chevaux et les gun fight caractéristiques de ce genre de cinéma. Certains vous diront que c'est un cache misère, ce qui n'est pas totalement faux. Pas besoin de designer des aliens, imaginer des planètes avec des écosystèmes jamais vus jusqu'alors. Non il suffit de prendre des chevaux, des costumes de cowboy et filmer tout ça dans le désert. Et le reste du temps, on filme le show dans le vaisseau Serenity. On peut d'ailleurs considérer que le vaisseau est comme qui dirait le dixième membre de l'équipage, tellement on passe du temps à l'intérieur. Son design a vraiment été soigné, comme un "chez soi" avec toutes les pièces dédiées à l'équipage (la cabine de pilotage, la salle à manger, la salle d'opération, la salle des moteurs, les chambres ...). Et puis ça permet de filmer une bonne partie de la série en studio, encore une économie de moyens fort appréciable je présume. Mais c'est clair aussi que Joss Whedon a voulu en faire un symbole de la série, un peu à l'image du Faucon Millenium pour Star Wars.
Les personnages sont tous attachants, chacun avec leur caractère propre et leur compétence (le commandant, le pilote, le médecin, le mécanicien, le "gros bras" ... ), mais c'est vraiment Nathan Fillion qui vole la vedette à tout le monde. Il incarne avec beaucoup d'humour et de charisme le commandant Reynolds, un sorte de Indiana Jones dans l'espace (il ne lui manquerait que le chapeau et le fouet). Je suis presque sûr qu'il a été dirigé dans son jeu par Joss Whedon avec en tête Harrisson Ford comme modèle, tellement le mimétisme dans le jeu de Nathan Fillion est évident. De plus, tous les les personnages semblent cacher bien des secrets, certains plus ou moins mystérieux, mais la série n'aura pas eu le temps de tous les délivrer. 14 épisodes c'est bien trop peu pour approfondir cet univers et explorer les relations entre les personnages. Et puis il y a de film qui, suite à l'annulation de la série, essaie tant bien que mal de recoller les pièces du puzzle en moins de 2h00.
Bref, j'avais déjà vu le film Serenity qui fait office d'épisode final et que j'aime bien (un bon divertissement), mais je n'avais toujours pas vu Firefly ... maintenant, c'est chose faites et je ne le regrette pas. C'est vraiment une bonne série, qui ne révolutionne rien (ça mélange beaucoup d'influences), mais qui prend le temps de développer ses personnages tous très attachants. Le réel intérêt de la série, c'est son équipage ... seulement dommage de l'avoir annulée au bout de seulement 14 épisodes.
Firefly c'est un mélange assez habile entre la SF, le space opéra et le western. Très vite la comparaison avec l'animé Cowboy Bebop (lui même très inspiré par le cinéma américain) saute aux yeux. Le concept est simple, on mélange le passé et le future pour en faire une série.
On suit donc les aventures d'un équipage de 9 membres, tous avec une identité propre et bien tranchée, explorer des planètes étrangères. Mais ici il n'est pas question de rencontres avec des aliens, on a plutôt l'impression de visiter le passé dans des paysages dignes des western des années 70, avec les chevaux et les gun fight caractéristiques de ce genre de cinéma. Certains vous diront que c'est un cache misère, ce qui n'est pas totalement faux. Pas besoin de designer des aliens, imaginer des planètes avec des écosystèmes jamais vus jusqu'alors. Non il suffit de prendre des chevaux, des costumes de cowboy et filmer tout ça dans le désert. Et le reste du temps, on filme le show dans le vaisseau Serenity. On peut d'ailleurs considérer que le vaisseau est comme qui dirait le dixième membre de l'équipage, tellement on passe du temps à l'intérieur. Son design a vraiment été soigné, comme un "chez soi" avec toutes les pièces dédiées à l'équipage (la cabine de pilotage, la salle à manger, la salle d'opération, la salle des moteurs, les chambres ...). Et puis ça permet de filmer une bonne partie de la série en studio, encore une économie de moyens fort appréciable je présume. Mais c'est clair aussi que Joss Whedon a voulu en faire un symbole de la série, un peu à l'image du Faucon Millenium pour Star Wars.
Les personnages sont tous attachants, chacun avec leur caractère propre et leur compétence (le commandant, le pilote, le médecin, le mécanicien, le "gros bras" ... ), mais c'est vraiment Nathan Fillion qui vole la vedette à tout le monde. Il incarne avec beaucoup d'humour et de charisme le commandant Reynolds, un sorte de Indiana Jones dans l'espace (il ne lui manquerait que le chapeau et le fouet). Je suis presque sûr qu'il a été dirigé dans son jeu par Joss Whedon avec en tête Harrisson Ford comme modèle, tellement le mimétisme dans le jeu de Nathan Fillion est évident. De plus, tous les les personnages semblent cacher bien des secrets, certains plus ou moins mystérieux, mais la série n'aura pas eu le temps de tous les délivrer. 14 épisodes c'est bien trop peu pour approfondir cet univers et explorer les relations entre les personnages. Et puis il y a de film qui, suite à l'annulation de la série, essaie tant bien que mal de recoller les pièces du puzzle en moins de 2h00.
Bref, j'avais déjà vu le film Serenity qui fait office d'épisode final et que j'aime bien (un bon divertissement), mais je n'avais toujours pas vu Firefly ... maintenant, c'est chose faites et je ne le regrette pas. C'est vraiment une bonne série, qui ne révolutionne rien (ça mélange beaucoup d'influences), mais qui prend le temps de développer ses personnages tous très attachants. Le réel intérêt de la série, c'est son équipage ... seulement dommage de l'avoir annulée au bout de seulement 14 épisodes.
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Je me suis taper la saison 1 de Terror sur Amazon, wahou j'ai accroché je me m'attendais pas à çà, sans spoiler c'est un fait historique( dans les années 1840) concernant l'exploration de notre terre :) avec pas mal de zones d'ombre, du coup je me suis un peu renseigné ici et là pour comprendre ce qu'il s'est passé dans leur explorations
çà date de 2018 je tombe dessus seulement en 2021
Il y a une saison 2 mais aucun lien avec la saison 1.
çà date de 2018 je tombe dessus seulement en 2021
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Dernière édition par Mizuno94 le Mar 3 Aoû 2021 - 11:31, édité 1 fois
Mizuno94- Patient contaminé
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
C'est vraiment chiant que cette serie n'ai pas trouvé son public. une deuxième saison avec un brin plus de moyens, ça aurait été super. Le film conclu un peu tout ça mais bon....lessthantod a écrit:Pour ma part, j'ai enfin vu la série Firefly ...
Firefly c'est un mélange assez habile entre la SF, le space opéra et le western. Très vite la comparaison avec l'animé Cowboy Bebop (lui même très inspiré par le cinéma américain) saute aux yeux. Le concept est simple, on mélange le passé et le future pour en faire une série.
On suit donc les aventures d'un équipage de 9 membres, tous avec une identité propre et bien tranchée, explorer des planètes étrangères. Mais ici il n'est pas question de rencontres avec des aliens, on a plutôt l'impression de visiter le passé dans des paysages dignes des western des années 70, avec les chevaux et les gun fight caractéristiques de ce genre de cinéma. Certains vous diront que c'est un cache misère, ce qui n'est pas totalement faux. Pas besoin de designer des aliens, imaginer des planètes avec des écosystèmes jamais vus jusqu'alors. Non il suffit de prendre des chevaux, des costumes de cowboy et filmer tout ça dans le désert. Et le reste du temps, on filme le show dans le vaisseau Serenity. On peut d'ailleurs considérer que le vaisseau est comme qui dirait le dixième membre de l'équipage, tellement on passe du temps à l'intérieur. Son design a vraiment été soigné, comme un "chez soi" avec toutes les pièces dédiées à l'équipage (la cabine de pilotage, la salle à manger, la salle d'opération, la salle des moteurs, les chambres ...). Et puis ça permet de filmer une bonne partie de la série en studio, encore une économie de moyens fort appréciable je présume. Mais c'est clair aussi que Joss Whedon a voulu en faire un symbole de la série, un peu à l'image du Faucon Millenium pour Star Wars.
Les personnages sont tous attachants, chacun avec leur caractère propre et leur compétence (le commandant, le pilote, le médecin, le mécanicien, le "gros bras" ... ), mais c'est vraiment Nathan Fillion qui vole la vedette à tout le monde. Il incarne avec beaucoup d'humour et de charisme le commandant Reynolds, un sorte de Indiana Jones dans l'espace (il ne lui manquerait que le chapeau et le fouet). Je suis presque sûr qu'il a été dirigé dans son jeu par Joss Whedon avec en tête Harrisson Ford comme modèle, tellement le mimétisme dans le jeu de Nathan Fillion est évident. De plus, tous les les personnages semblent cacher bien des secrets, certains plus ou moins mystérieux, mais la série n'aura pas eu le temps de tous les délivrer. 14 épisodes c'est bien trop peu pour approfondir cet univers et explorer les relations entre les personnages. Et puis il y a de film qui, suite à l'annulation de la série, essaie tant bien que mal de recoller les pièces du puzzle en moins de 2h00.
Bref, j'avais déjà vu le film Serenity qui fait office d'épisode final et que j'aime bien (un bon divertissement), mais je n'avais toujours pas vu Firefly ... maintenant, c'est chose faites et je ne le regrette pas. C'est vraiment une bonne série, qui ne révolutionne rien (ça mélange beaucoup d'influences), mais qui prend le temps de développer ses personnages tous très attachants. Le réel intérêt de la série, c'est son équipage ... seulement dommage de l'avoir annulée au bout de seulement 14 épisodes.
dav1974- Interne
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Re: Netflix, OCS & Co, le topic officiel
Firefly, une série ancienne avec pas assez de moyens... mais ca reste un genre spécial qui na pas un immense public potentiel.
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